Oui, la société est violente.
Je ne reviens sur la violence de cette campagne électorale
qui aura été abjecte de bout en bout.
L’abjection totale est l’alliance maintenant assumée et
décomplexée à Paris d’une gauche normale, de gouvernement, avec des soumis à l’extrême
gauche racialiste et antiflic. En ce sens, le maintien de la liste LREM,
dont les seuls faits d’armes auront été d’essayer de casser et de pourrir la
campagne, est une faute politique. Christian Jacob a raison quand il rappelle
que le Front Républicain doit contre les deux extrêmes. Mélenchon, Autain et
Obono ne sont pas plus sympathiques que la bande à le Pen.
Pour finir ce volet politique, je me félicite de voir que
Carole Delga, chef de file PS dans ma région, a refusé de s’allier les verts
rouge-brun et avec la France Insoumise. Il y a des gauches dignes. Je serai m’en
souvenir dimanche.
La violence est partout. Début de semaine au boulot. Réunion avec la direction dans le cadre d’un problème dans un service que nous essayons de régler intelligemment avec le syndicat. La réunion se passe bien, et un directeur m’insulte et me menace. Je regarde les autres membres de la direction, contrit. Le médecin du travail. Mes collègues. Et je dis « bon… Insultes, menaces… Je ne suis pas assez fort pour supporter… Je vous propose de clore la réunion ».
Je me suis levé et je suis parti, accompagné par mes
collègues et le médecin du travail, qui a validé ma manière de faire.
La violence est partout. On l’accepte.
En bas de ma rue un sens interdit. Que personne ne prend, ce qui occasionnera un accident un jour. Hier soir alors que j’allais courir, deux « jeunes » le prennent, bien au-delà de la vitesse autorisée. Ils n’étaient pas si pressé puisque voyant mon soupir et ma tête dodelinante, ils se sont arrêtés.
« Tu as un
problème ? ». Moi « si j’avais été en face en voiture j’en
aurais eu un, oui… ». « Tu es de la police ». Moi, « non, mais (prenant mon téléphone) si
vous voulez j’appelle le premier adjoint qui habite à deux pas et qui viendra
avec la gendarmerie ».
Un « enculé » avec un doigt et ils sont parti. Moi
je leur envoyé un bisou avec la main.
La violence est partout. Pourtant j’ai apprécié faire un Fortnite avec bébé 2, qui n’est pas violent.
Le monde d'après, il pue un peu quand même...
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