Nous nous souvenons tous où on était quand on a appris les attentats, déjà islamistes contre l’occident et une certaine manière de vivre ensemble, du 11 Septembre. Nous n’avions pas de smartphones.
Je me souviens Charlie Hebdo. J’étais à la cantine et j’avais laissé mon iPhone à mon bureau. Au retour, c’était la consternation. Nous étions, tout le boulot, l’après-midi devant Internet, et sommes rentrés tôt. Ils avaient tué Cabu…
Je me souviens aussi l’Hyper Casher, en réunion cette fois avec mon iPhone, à suivre les évènements.
Enfin la traque. Début de varicelle pour bébé1. Ce qui m’a empêché d’aller marcher le dimanche : Bébé2 attaquait aussi la varicelle, et j’étais porteur du virus.
Le reste du billet pourrait être polémique. Mais non, pas de polémiques. « Pas d’amalgames » non plus… Mais n'oublions que ces attentats étaient "islamistes". Les mots sont importants et les taire ne sert à rien.
Par contre, les marches blanches et les bougies, vous les ferez sans moi.
Tu dis : "nous nous souvenons tous où on était". J'allais répondre "pas moi" et depuis ce matin je me demande mais en voulant écrire ce commentaire, je me suis rappelé (j'étais en train de manger un sandwich au comptoir à côté du bureau et, comme tout le monde, j'avais du mal à y croire). Toujours est-il que j'ai passé une journée (aujourd'hui) étrange à me demander pourquoi j'avais certains souvenir précis (comme la manifestation monstre du dimanche) ou des attentats du Bataclan mais pas celui-là...
RépondreSupprimerSalut Nicolas, tu vois que tu te souviens :) Par contre je ne me souviens plus ce que j'ai mangé.
SupprimerLes souvenirs sont bizarres. Mais j'ai un problème, c'est que j'ai une mémoire des dates et des lieux (parfois ça me pose des soucis :) )