En ce moment, les délinquants et une extrême gauche violente sont en train de foutre le bordel à Barbès. Théo à bon dos d'être le prétexte de ceux qui veulent détruire la République et l'ordre.
Il faut soutenir la police républicaine. Fermement. Solidement. Et condamner férocement ceux qui mettent en doute sa légitimité et sa valeur.
Condamner également cette frange politique, de Hamon jusqu'à l'extrême gauche en passant par les amis de Mélenchon, qui attaquent la police républicaine. Et défendent les délinquants et les violents, qui sont une manne électorale non négligeable. Et légitiment les actes de violence que l'on est en train de vivre.
Evidemment en ce moment, il est difficile de rappeler ce genre de position. Mais en quoi ce qu'aurait éventuellement fait (ou pas fait) la femme du candidat de droite à l'élection présidentielle légitimerait ces violences urbaines, et cette affirmation violente d'une pseudo-jeunesse qui n'existe qu'en dehors de la loi ?
Malheureusement, en ce moment, ceux sont ces vandales et les casseurs qui ont gain de cause. A Notre-Dame-des-Landes, même la légitimité populaire d'un référendum n'a pas résisté à la puissance de délinquants qui ont eu le dernier mot.
Inquiétude toujours. A défaut d'avoir une option politique envisageable pour dans moins de trois mois, au moins garder des positions fermes.
Et rappeler que plus de 20 policiers ou gendarmes sont morts pour avoir fait leur métier de policiers en 2016, et que le nombre de blessé est exponentiel.
Ce quinquennat aura été terrifiant jusqu'au bout décidément. La République aura morflé...