jeudi 29 octobre 2020
Reconfinement et période de merde
dimanche 25 octobre 2020
Conflans-Saint-Honorine : une islamo-tolérance qui date...
J'ai écrit le 15 Janvier 2015 (quelques jours après les attentats de Charlie) ce billet sur cette islamo tolérance d'état : "ils ont reçu l'ordre de fermer les yeux sur le port de la burka". Des préfets qui donnent ordre aux maires de fermer les yeux sur les lois contre la burka, et sur tout ce qui pourrait heurter les musulmans.
Ce billet a presque 6 ans. Je le remet tel quel.
On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. Et qu'on ne dise que l'ennemi est à nos portes...
Dans la nuit de mardi à mercredi (22 au 23/07) à Marseille, trois policiers ont été tabassés après un contrôle d’identité qui a mal tourné. Vers 00h45 à proximité de la mosquée Es-Sunna, trois agents de police se sont approchés d’une jeune femme de 18 ans qui portait un voile intégral, le niqab. Conformément à la loi de 2010 sur le voile intégral, des policiers ont décidé de faire un contrôle d'identité. Mais cette dernière a refusé de se soumettre à l’autorité policière.
« Je n'obéis pas aux lois de la République », a-t-elle expliqué. Elle s'est alors mise à crier et a dénoncé une agression de la police. Elle a même donné des coups de poing au visage d'un policier. C'est là que le compagnon de la jeune femme s'est interposé, de manière à empêcher définitivement le contrôle d'identité. L'homme a ensuite appelé à la rescousse. Une cinquantaine de personnes ont rejoint la bagarre et roué de coups les policiers de la tête aux pieds. L'arrivée de renforts a permis l'interpellation de quatre personnes dont la femme voilée. Mais tous ont été remis en liberté dans la nuit par le parquet de Marseille dans un souci d'apaisement en période de ramadan.
samedi 24 octobre 2020
Ecrire pour quelqu'un qui chantera ?
Avant d'en parler à ma psy, j'en parle sur mon blog...
Souvent, dans mes rêves, j'écris un texte. Une chanson. Je me réveille, et je n'ai que deux, trois phrases... C'est frustrant. Autant faire des rêves cochons. Mais visiblement à 43 ans on ne fait plus de rêves qui font que les draps s'en souviennent, puisque je ne me souviens plus des textes que j'écris et qui me paraîtraient pas si laids que ça...Je me rends compte qu'en fait je suis pire. J'aimerais écrire...
"Une partie de cartes"...
vendredi 23 octobre 2020
Tu ne la croiseras plus tous les matins...
Non Johnny... Déjà tu n'es plus là et tu nous manques.
Mais non, tu ne la croiseras "plus tous les matins, à 5h40, elle prend son train, et toi tu rentres". On est dans le couvre feu... Tu ne rentreras pas, elle ne partira pas...
Ce soir je peux encore sortir. J'ai pas envie. En pyjama. Envie de regarder un concert de Johnny avec les enfants.
Elle va prendre son train et moi je rentre.
Moi, la lumière me fait peur.
Elle a cette assurance inaccessible
De ceux qu'ont de la chance de naissance.
Comme celles qui n'ont rien à cacher
Et moi j'attends toujours, avant de rentrer, juste pour la regarder.
La vie qu'on imagine, avant de plonger, celle que je n'aurai jamais
Moi je suis né coupable, coupable d'envies, son monde est interdit.
Jusqu'au lundi matin, cinq heures quarante.
Elle va prendre son train, et moi je rentre.
mardi 20 octobre 2020
Adieu Bruno Martini
dimanche 18 octobre 2020
La France est divisée
samedi 17 octobre 2020
Ne jamais citer cet ennemi qui tue...
mercredi 14 octobre 2020
Dans les villes de grandes solitudes...
Ceux que nous prépare Macron c'est cette chanson de Michel Sardou. Rien à récupérer de cette intervention d'un président aux abois et d'un pouvoir qui navigue à vue.
On bosse, on rentre, on paie nos impôts et on ferme sa gueule.
Moi le passant bien protégé
Par deux mille ans de servitude
Et quelques clous sur la chaussée
De nouvel-an en nouveaux nés
Quand j'ai bu plus que d'habitude
Me vient la faim d'un carnassier
De me crucifier le caissier
D'emporter tout l'or qui me manque
Et de disparaître en fumée
Tous les héros se sont pollués
Aux cheminées du crépuscule
Et leurs torrents se sont calmés
Sur le premier sens interdit
Aucun feu rouge ne m'arrête
Je me sens bien dans ma folie
De les forcer à m'admirer
Envie de boire toutes leurs larmes
Et de disparaître en fumée
Quand l'alcool s'est évaporé
Je replonge dans la multitude
Qui défile au pas cadencé
D'avoir réveillé les voisins
Mais je suis rassuré très vite
C'est vrai que je ne casse rien
lundi 12 octobre 2020
Instagram du Font Saint André à Villeneuve lez Avignon #Gard
Je réserve d'habitude ce type de billet à mon grenier du Faucon. Sur lequel j'aime bien alimenter en photos. Des blagues et des bêtises je n'en fais plus. Pourquoi ? Peut être car la période ne me donne pas envie de rire.
Ces photos ont été prises fin Septembre 2019. Il faisait pluvieux et les enfants étaient heureux. Ils le sont toujours. Moi, je me reconstruisais. J'avais un ami à Villeneuve qui deviendra plus tard mon chef. Maintenant, il ne m'adresse plus la parole...
Devant la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon, on imagine le ciel se couvrir. Ce n'est pas l'effet Instagram, nous avons pris une grosse pluie.
Une semaine d'arrêt maladie pour moi. Sauf que aujourd'hui à la différence des deux premiers je ne travaille pas. Je blogue un peu. Mais c'est tout. Le weekend a été difficile mais ça ira.
Je n'ai pas le Covid, c'est déjà ça.
On bloguera utile une prochaine fois. J'aimerais écrire sur la phrase de Claude Chirac qui expliquait pour son père a refusé un gouvernement d'union nationale après le 21 Avril 2002. Pour qu'il y ait une gauche et une droite, qui puissent être l'une l'alternative de l'autre.
Tellement différent de ce qu'aura fait Macron.
Allez... Couché tôt ce soir encore. On va essayer de manger un peu quand même...
jeudi 8 octobre 2020
20 cm dans le nez...
mardi 6 octobre 2020
L'islamogauchisme de la France Insoumise et des verts
La phrase de Gérald Darmanin fait réagir.
"Je ne m'explique pas qu'un parti comme le vôtre, qui a dénoncé pendant longtemps l'opium du peuple, en soit désormais lié avec un islamo-gauchisme qui détruit la République"lundi 5 octobre 2020
Je pourrais être ton père
J'aurais pu titrer ce billet "passer de la Loire à la Haute-Loire". Le jour de mes 43 ans... Pour ceux qui ne sont pas familiers du jeu des plaques d'immatriculation, le 42 est la Loire et le 43 la Haute-Loire. Cet age est amusant. Le village de ma femme dans le Forez est à cheval entre le 42 et le 43. J'ai basculé...
jeudi 1 octobre 2020
Je t'ai revue et pas par hasard...
Mais sait-on? Peut-être pas
Quelques braises échappées des cendres
D'un amour si loin déjà
Nous étions fous de nous
Nos raisons renoncent, mais pas nos mémoires
Tendres adolescences
J'y pense et j'y repense
Tombe mon soir et je voudrais vous revoir
Arrogants comme sont les amants
Nous avions l'orgueil ordinaire
Du "nous deux c'est différent"
Nos vies seraient un bal
Les jolies danses sont rares
On l'apprend plus tard
Le temps sur nos visages
A soumis tous les orages
Je voudrais vous revoir et pas par hasard
Qui sont vos rois, vos royaumes? Mais je ne veux que savoir
Même si c'est dérisoire, juste savoir
Avons-nous bien vécu la même histoire?
Un quai de gare et l'on s'en va
Il ne faut prendre en ses bagages
Que ce qui vraiment compta
Et se dire merci
De ces perles de vie
Il est certaines blessures au goût de victoire
Et vos gestes, y reboire
Tes parfums, ton regard
Ce doux miroir
Où je voudrais nous revoir
samedi 26 septembre 2020
Adieu compagnon conservateur catholique
Décidément, cette certaine idée de la France est mal. Y penser me rend triste.
vendredi 25 septembre 2020
Respirer devant un texte, une chanson...
Il y a des textes de chansons qui sont les poèmes d'aujourd'hui.
Je sais que Serge Lama écrit les textes. Et il demande à des musiciens de les mettre en chanson. Son dernier album, des Cabrel ou Calogero qui sont des as de la mélodie ont mis en oeuvre des textes de Serge Lama. Qui je pense a loupé comme moi les cours de Solfège.
Les muses sont un de ces textes que Cabrel a mis en musique. Lui n'a écrit que le texte. Mais qu'il est beau.
Et en l’occurrence celle du titre. Moi les chansons me touchent. "Souvenir attention danger" de Serge Lama est ma chanson maitre. Ce soir je vois que le texte est vrai, et que les souvenirs sont des dangers. Mais sans eux nous ne pouvons pas construire.
Les amies d'hier (volontairement au féminin) peuvent être les fondations de demain, même si elles ont fait mal. Mais ce qui s'est passé y a 20 ans s'est passé y a 20 ans.
(après je suis le responsable de tout...)