Eric Ciotti a fait une erreur. Et la droite ferait une erreur de voter cette réforme des retraites. Laissons le gouvernement se planter.
dimanche 19 février 2023
Aurélien Pradié, LR et les retraites
mercredi 15 février 2023
Rêver de Jacques Chirac...
Un rêve cette nuit. Particulier, mais qui m’a ému.
Quand je me suis réveillé ce matin, j’ai mis un moment avant
de me rendre compte que Chirac, Pasqua, mon ami Guy, ben ils étaient morts. Et
que non, je n’aurais plus jamais ce genre d’aventure avec eux.
dimanche 12 février 2023
Les arènes d'Arles en hiver (carte poste du dimanche soir)
Enfin, le membre de LR prendra pour lui la phrase de Maxime Tandonnet. Parlant d'un responsable de LR, il disait :
Son unique argument désormais consiste à dire: nous sommes « de droite » et devons être cohérents avec le programme de toujours, y compris de Valérie Pécresse qui préconisait les 65 ans. Etre cohérent avec un programme qui a conduit à trois défaites aux présidentielles et législatives et 4,8% aux dernières présidentielles, est-ce vraiment intelligent?
Le reste, c'est Arles, ce ciel de ma Provence.
samedi 11 février 2023
Joyeux anniversaire Serge Lama
80 ans... J'espère un jour avoir l'honneur de discuter avec lui. J'ai toujours, à portée de main, son livre de chanson. La Vie Lilas est une superbe chanson, son interprétation lors du concert de 2013, avec le tableau sur scène, était fantastique.
lundi 6 février 2023
Théâtre antique d'Arles et soupir de début de semaine
Dont une, son théâtre antique. J'y avais vu, en 2000, un
artiste qui à l'époque était déjà un homme de texte, mais pas un complotiste un
peu effrayant. C'était Jean-Marie Bigard, qui mettait le paquet. Depuis, il a
vrillé pas très bien je trouve.
Ces photos ont été prises y a deux semaines. Quand Arles est encore paré de ses habits de Noel, un dimanche matin donc forcément c’est calme.
J'aurais pu poster plutôt des images de Saint Chamond. Un aller-retour
pour un anniversaire. Quelques photos prises du vieux Saint Chamond. La ville
n'est pas si vilaine que ça, elle a des jolis aspects. Le petit garçon en est
rentré malade. Nous avons pu fuir le vent, violent dans la vallée du Rhône. Ce
weekend des pointes à 130 km/h. Ça fait 15 jours que ça souffle. Je pense que
ça influe forcément sur mon moral. Et que ça peut expliquer les écarts de route
que j’ai faites ces derniers jours.
Impression, en prenant la voiture ce matin, que le vent s’est
calmé. En tous cas il fait un joli soleil.
Ce qui influe sur le moral, c’est aussi l’Olympique de
Marseille, et hier le match était désespérant.
Essayons un jeu et regardons le ciel bleu : tentons de
trouver du positif. Côté boulot je switche, rien de positif en vue. Sinon une
adhérente de plus pour mon syndicat, ça fait toujours plaisir.
Le Marseille – PSG m’inquiète quand je repense à hier soir.
Finalement le positif serait presque le vent qui s’est enfin arrêté de
souffler.
Je laisse Arles tranquille. J’y reviendra, dans le cloitre
ou les arènes. Ca fera des billets « carte postale » et c’est très
bien.
vendredi 3 février 2023
Tourner une vilaine page (confessions personnelles)
Je lui ai présenté des excuses, sincères. Depuis, une
manifestation après et des instances, nous nous sommes revus. Mais le Faucon n’avait
plus de plumes. J’ai dû, lors d’une instance, cesser une prise de parole car
incapable de parler « plus fort », les micros étant HS.
Burn-out ? Il arrive vite… Mais en fait je crois qu’il
y a une logique chez l’être humain : nous sommes toujours convalescent. Ce
mardi était spécial, l’adrénaline est aussi un truc spécial.
Pourquoi est-ce que j’écris ça ici ? Ça coute déjà moins
cher qu’un psy, et écrire me permet de remettre les idées un peu dans l’ordre. Côté
confession également. J’ai honte, j’ai fait honte. Et c’est important.
Par contre, je continue à me flageller. Un ami du boulot,
qui m’a couvert devant la direction, m’a demandé d’être indulgent envers moi. Mais
je porte ce poids. Le christianisme est génial, mais la notion du péché est puissante
quand même. Je ne sais pas si c’est à cause de mon catéchisme cette petite voix
dans ma tête qui me rappelle à mes erreurs, et aujourd’hui m’empêche d’avancer.
Alors j’écris. Pour avancer. Parce que sans ça je
continuerai à me détruire. La parole impeccable m’empêche de dire à voix haute
du mal de moi. Mais la petite voix intérieure ne se gêne pas pour parler fort.
Personne ne l’entend, moi si.
Quand même un truc positif. J’ai une volonté, un objectif.
Le coach qui m’a fait le PCM l’an passé l’avait dit lors du séminaire de mon
service. L’assertivité est une chose simple. « Je suis une belle personne,
je te parle à toi qui est aussi une belle personne ». C’est aussi simple
que ça. Respecter l’autre, mais surtout se respecter. Même plus, « s’aimer ».
Ca me parait con cette phrase, et loin, très loin.
Voilà mon objectif 2023.
La prochaine fois, je parlerai d’autre chose. J’ai bien aimé
l’interview de Cazeneuve sur le Point de cette semaine. J’ai adoré la position
de mon ami Julien Aubert sur les retraites, et la manière dont est amené ce
projet. Moins les
saloperies du petit président de Lyon sur Juninho. En parlant d’Aulas, je
pourrais aussi dire vice président de la FFF et soutien de Le Graet : ça
en dit long sur le personnage.
La prochaine fois on parlera d’autre chose. Aujourd’hui, je
tourne la page.
dimanche 29 janvier 2023
Ne pas être fier de soi...
Je suis fier du précédent billet que j'ai écrit, sur le "travailler mieux". Fruit d'une réflexion qui me tourne dans la tête. En tant que salarié, responsable syndical, cadre, ancien manager qui a morflé... Et puis la semaine dernière, avant que je poste ce billet, j'ai commis une faute. Je sais qu'il est important d'être indulgent avec soi même. Mais quand même.
La semaine prochaine je vais essayer d'écrire sur d'autres sujets.
mardi 24 janvier 2023
Travailler mieux
Le « travailler plus » me rappelle ce que Eric Berne défini dans le « fais des efforts ». Le « travailler moins », à l’extrême le « travailler plus du tout », est une ode à la paresse. Mais qui veut dire que le « fais toi plaisir » sera financé par d’autres.
Y a un an j’ai vécu l’enfer au travail. « Travailler mieux » est en effet une notion flou. Mais le
débat sur les retraites est avant tout un débat sur la « valeur travail ».
Si on peut la considérer comme « valeur ». Je pense que c’est une
obligation car on ne peut pas vivre de manière autonome sans quelques efforts.
Mais le travail ne doit pas être un enfer. L’entreprise ne doit pas être cette « comédie
inhumaine » qui avait fait l’objet d’un livre remarquable.
Le « travailler
mieux » impose déjà de se connaitre. Et de connaitre, et accepter ses
besoins. Certains ont besoin du travail pour se sentir utile, vivant, bien. Ils
sont respectables. Mais ils doivent aussi comprendre que pour d’autre, le
travail n’est pas un but mais un moyen. Un moyen pour vitre, pour être
autonome. Adapter ses exigences vis-à-vis des autres. Le perfectionniste qui
veut que tout le monde soit parfait, vive et dorme « travail », va être
un problème pour lui et les autres.
Le « travailler mieux » implique de fait le « travailler ensemble ». Et accepter l’autre. Je parle souvent du process PCM qui permet de se connaitre. J’ai connu un enfer car j’avais un besoin de solitude et une envie que tout « ne soit pas grave » dans le travail, et j’avais une N+2 pour qui le travail c’est la vie, pour qui tout était grave et urgent, et qui m’en demandait toujours plus. La couleur rouge du PCM, l’action. Alors que j’étais marron jaune. Ça n’a pas marché. Et cette N+2 continue à mettre des gens en arrêt de travail.
Le management est un point essentiel du « travailler mieux ». Nous ne pouvons plus avoir le management d’il y a trente ans. Le management directif, par la terreur, cela ne peut plus marcher. Cela ne doit plus exister. Si les syndicats ont un combat à mener, c’est bien celui-là.
Venir au travail la boule au
ventre, avoir envie que la voiture loupe un virage, combien de fois n’ai-je
entendu ces témoignages ? Ils existent. J’avais lu deux ouvrages co-écrit
par des sociologues et des experts du cabinet Technologia « Idées reçues
sur le Burn-Out » et « idées reçues sur le suicide ».
Le « manager
toxique » est également une notion particulière. Mais il existe.
Le lien donne des définitions intéressantes sur le management toxique. Mais
prenons « toxique » au sens littéral du terme : « qui agit
comme un poison ». On peut le voir aussi comme « qui te prend ton
énergie, ton oxygène, pour te rendre du dioxyde de Carbonne ». Un jour, en
me parlant de son lieu de travail, la personne me disait « j’ai l’impression
de travailler dans un garage où un camion benne a tourné à vide toute la nuit… ».
Un endroit toxique, nous sommes loin du « travailler mieux ».
J'ai connu des managers qui étaient des jardiniers. Ils faisaient éclore les belles fleurs, ils faisaient grandir des beaux raisins et ont terminé par produire des magnifiques vins. Tout le monde était gagnant.
« Travailler
mieux », c’est travailler en ayant l’impression d’être utile. C’est un point personnel, mais
je suis convaincu qu’un travail sans sens n’a aucun sens. C’est aux managers et
à la direction de donner un sens au travail du salarié. Pour celui qui est à
son compte, trouver du sens à ce qu’il fait est important.
Là encore, combien de fois n’ai-je entendu des « ça ne sert à rien ce que je fais… ». Vivre et avoir le sentiment de ne servir à rien.
Le « travailler mieux » est sans doute un mix de
tout ça. J’avais écrit sur les 4 accords Toltèques, déjà ne pas prendre les
choses trop à cœur (personnellement) et pour soi, faire de son mieux en acceptant de ne pas être
parfait, ça peut aller vers le « travailler mieux ».
Mais aujourd’hui, à l’heure de la démission silencieuse,
pour beaucoup le travail est un moyen et non un but. Déjà accepter cela. Ce n’est
pas remettre en cause la « valeur travail ». Au contraire.
mercredi 18 janvier 2023
lundi 16 janvier 2023
Blue Monday, et leçon de non optimisme
dimanche 15 janvier 2023
vendredi 13 janvier 2023
Reprendre le blouson syndical...
lundi 9 janvier 2023
LR ne devrait pas suivre la majorité sur les retraites
J’ai écrit hier dans mon billet « carte postale » le pourquoi de mon opposition à la réforme des retraites, et mes contradictions assumées, d’un garçon de droite qui ne met pas (plus) la valeur « travail » comme cardinale. J’ai apprécié la lecture du billet de Maxime Tandonnet, qui explique pourquoi LR ne devrait pas soutenir le projet sur les retraites. Je reprends ses arguments.
Cette réforme est
politique et sert à présenter Macron en réformiste, alors qu’en 10 ans chez
Hollande ou en président il n’a que peu fait. Lui donner ce quitus sera ressenti comme un ralliement de fait.
Oui, c’est vrai. D’autant plus que c’est l’aider sur une réforme impopulaire, et c’est le
deuxième que met en avant Maxime. La soutenir revient à se ranger dans le camp
du président et de la majorité. Et ainsi laisser le monopole de l’opposition populaire au RN et à la LFI, car LR
aura perdu la légitimé. Les extrêmes n’en demandaient pas tant !
Opposition « populaire ». J’avais écrit dans mon
billet précédent que LR a perdu son ancrage populaire. Droite du bon sens, du
travailleur, de l’épicier, du commerçant, du salarier, de l’agriculteur. En
caricaturant, LR parle trop au retraité de Cannes, pas assez au commerçant de
Bagnols/cèze, qui se fait part au RN. Quel message lancé aux travailleurs,
cadres moyens qui ont commencé leur travail à 22, 23 ans, si déjà en plus de
leur dire qu’on veut leur faire travailler plus pour le même salaire, on va les
faire travailler plus longtemps ? Le RN n’en demande pas autant. Les
patrons et les riches sont chez Macron, donc stop à la fuite.
« Une politique
se juge sur un ensemble et la réforme des retraites n’en est qu’un volet:
c’est sur cet ensemble qu’il faut se prononcer, sur 11 ans de
socialo-macronisme (y compris l’explosion de la dette publique, le saccage de
l’Education nationale, l’effondrement des services publics, l’Absurdistan
bureaucratique sous le covid-19 et l’exubérance narcissique quotidienne) ».
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas envie que mon parti fasse un cadeau
sur une réforme majeure pour l’exécutif. Cette politique de « voter projet
par projet » est mortifère, surtout sur une mesure qui va mettre le pays
en feu : « LR n’a pas intérêt
à se montrer en suppôt d’un pouvoir détesté » d’après Maxime, et il a
raison. D’autant plus que le pouvoir a toute les chances d’échouer si la
contestation prend : nous avons vu que le pouvoir Macron n’était pas très
courageux. Des gilets jaunes et des zadistes crasseux ont fait reculer ce
pouvoir. Que LR ne s’associe pas à cette
défaire annoncée.
Et puis y a le fond. Cette réforme nous est présentée
nécessaire : elle ne l’est pas, sinon symboliquement. Pour reprendre ce
que dit Maxime, « Que pèsent les 33
milliards € avant 2035 que permettra la réforme des retraites devant
l’augmentation de la dette publique de 560 milliards en deux ans (2020-2022)?
Cette réforme n’aurait de sens que dans le cadre d’un changement radical de
politique et de garanties sur la fin du « quoi qu’il en coûte ».
Et les « incohérences
autour de cette réforme ne sont toujours pas levées ». Maxime rappelle
que le ministre chargée de la porter était un farouche opposant de relèvement
de l’âge de départ à la retraite. Vous me répondrez que bon, la cohérence, tout
ça… Ne donnons pas un chèque en blanc.
D’autant plus que les
français en ont marre de ces magouilles politiciennes. Macron a été un
parfait alchimiste : il a créé un monstre LFI, Janus du RN. Soyons clair :
LR est dans l’opposition. Une opposition responsable qui a vocation à retrouver
le pouvoir. S’allier au coup par coup avec les maitres de la trahison seraient
un mauvais message envoyé aux électeurs qui ont voté LR.
Enfin, Maxime rappelle que « cela fait 10 ans que la France vit dans un climat anxiogène. N’ajoutons
pas une nouvelle secousse ». Les français sont lassés. Peut on laisser la
société française tranquillet ?
Excellent billet de Maxime. J’adhère. Alors oui, y a du
calcul politique. Mais tout le monde en fait. Et philosophiquement et sur le
fond, je suis très aligné avec le fait de ne pas soutenir cette réforme des
retraites.
dimanche 8 janvier 2023
Lever de soleil forézien et pensées dominicales
Quelques photos prises la semaine dernière, un matin vers 8 heure dans le Forez. J'adore partir marcher tôt. Les couleurs sont superbes, c'est calme. Et même s'il fait froid, c'est bien. Nous n'aurons pas eu de neige cette année dans le Forez (mais l'hiver n'est pas fini). Nous avons quand même eu ces blanches couleurs.
Par contre, l'année dernière le boulot m'a rendu malade. Je vois autour de moi des gens malades à cause de leur boulot.
Alors oui, j'aurais toujours plus de sympathie vis à vis du salarié ou de l'artisan qui se lève le cul pour faire vivre sa famille que pour les bobos assités de Dernière Rénovation qui vont bloquer des routes par des sittings ridicule ou vont maculer des ministères de peintures. Là où je me rapproche de mon camp c'est que si le travail n'est pas forcément un plaisir, c'est une nécessité. Et que faire porter la double peine à celui qui bosse de bosser et de payer des impôts pour financer une solidarité qui donne un peu mal au ventre, ça ne tiendra pas longtemps.
mercredi 4 janvier 2023
Penser à soi (les 4 accords Toltèques)
J’avais écrit un billet qui parlait des accords Toltèques. Je vais y revenir. Car le sujet me parait important, et étant revenu au bureau j’essaie de les appliquer.
Les accords sont simples :
- Que ta parole soit impeccable : ne médis pas et de
ne te dévalorise pas,
- Ne prends pas les choses personnellement,
- Ne fais pas de suppositions, et ais le courage de
poser la question,
- Quelques soient les circonstances, fais de ton mieux...
Ces règles de vie sont d’une
simplicité enfantine. La parole impeccable, chez mes parents ou mes beaux-parents
pendant les fêtes, je ne l’ai pas eu. Quand j’en ai eu marre d’entendre dire du
mal de tout le quartier et du restant de la famille, j’ai tapé la main sur la
table et ait demandé une parole impeccable. Parce que j’en avais marre. Et que
je pouvais partir…
J’ai écrit un texte que je
vais retravailler sur les 4 contre-accords Toltèques, mais d’une manière
essayons de les appliquer. « Ne prends pas les choses personnellement »
par exemple. J’ai eu une chef qui attaquait personnellement. Rarement de
manière frontale. En médisant, elle transgressait le premier accord. Ce qui t’obligeait
à transgresser le troisième, parce que forcément tu faisais des suppositions.
Le fait de vivre tout ça mal ne te permettait pas de donner le meilleur de toi-même,
transgressant le quatrième accord.
Alors oui, c’est dur d’arriver à ne pas prendre le choses personnellement. J’ai commandé à ma libraire le livre de Don Miguel Ruiz sur ces accords, parce que cela donne des clefs.
Des clefs, j’en ai eu d’autres.
J’ai suivi un coaching sur mon profil
PCM qui m’a là encore beaucoup appris sur moi, et sur ce qui a pu se
passer. Dans mon boulot et en dehors. Certains de ma famille, vieille droite
conservatrice, diraient que ceux sont des conneries de psychologie de bazar… Je
ne réponds pas en disant que la NASA utilise ces outils basés sur l’analyse
transactionnelle (Eric Berne, un des auteurs « table de chevet ») pour
leurs programme spatiaux. Savoir comme tu réagis en période de stress, et
apprendre à te contrôler, mais aussi à contrôler les autres. C’est passionnant.
Tout ça pour en arriver sur
une conclusion de billet qui vaut ce qu’elle vaut. Aujourd’hui, je n’ai pas
pris de résolution. Sinon celle d’arrêter de me retourner vers un passé qui de
fait est dépassé, et ne reviendra pas. Ne pas chercher à supposer le futur, qui
est un mystère. Profiter du présent. Ca fait très messe, mais le « présent »
est un présent, un cadeau. A force de ressasser le passé et de craindre le
mystère du demain, je ne profite pas du présent.
Aujourd’hui, j’ai envie d’écrire
et de lire. En parlant d’écriture, je pense aller plus dans ce projet d’écriture
personnelle. J’ai aussi envie de comprendre cette drôle de bestiole qu’est l’être
humain. Vaste programme, mais passionnant programme.
Et j’ai 5 kilos à perdre.
Donc j’écris ce billet avant d’aller boire mon whisky du mercredi soir. J’ai
quand même passer une heure dans la salle de sport. Ça fait du bien.
Et relire ce que j’ai écrit en gras : « j’ai envie ». Ecouter ses besoins, ses envies. C’est un des points cardinal de l’analyse PCM : connaitre ses besoins et ses motivations. Et les assouvir.
Sinon la photo que j’ai prise est un Olmèque, des mystérieuses Citées d’Or.
Je n’ai pas trouvé de Toltèques. Et la croix sous ma phrase très « chrétienne »,
elle vient du Forez.