jeudi 7 août 2025

Face au feu : un souvenir qui brûle encore

J’ai été élu local de 2001 à 2014. J’ai commencé jeune, et j’ai fini jeune. En 2002 et 2003, j’ai connu les grandes inondations qui ont frappé le Gard. Je me souviens avoir traversé le village en barque pour apporter de l’eau potable aux sinistrés. C’était particulier, surréaliste même.
En 2010, autre épisode marquant : une neige incroyable s’est abattue sur la région. J’étais alors vice-président de la communauté de communes, en charge des personnels, dont les équipes techniques. Cet épisode s’est soldé pour moi par une mauvaise chute, une entorse, et un mois d’arrêt. Ce fut aussi l’occasion de découvrir Assassin’s Creed et Uncharted. Un drôle de souvenir.

Mais l’épisode qui m’a le plus marqué, reste un incendie, dans mon village d’enfance. Le feu est parti vite, et il a rapidement menacé l’école communale, installée sur une colline de chênes. On a évacué tous les enfants à la mairie.
Puis un fonctionnaire de l’académie est venu nous reprocher notre décision. Il a dit que nous avions été imprudents. Le maire – médecin de profession – l’a très mal pris. Il était furieux. Et derrière cette colère, il y avait la peur, bien réelle : celle de perdre le contrôle.

Les inondations, c’était statique. L’eau monte, lentement, on peut gérer. En 2002, il y a pourtant eu des morts, emportés par les eaux de ruissellement.
Mais le feu… le feu, c’est autre chose. C’est incontrôlable. Ça va vite. C’est le vent, c’est la panique, c’est le risque immédiat.


Hier soir, en rentrant du boulot, je suivais un utilitaire qui roulait à fond, puis le type a balancé un mégot par la fenêtre. J’ai eu envie de le rattraper, de coller ma Mégane en mode sport, de lui faire une queue de poisson à ce connard. Mais bon… à quoi bon ?
Je pense aux pompiers de l’Aude, aujourd’hui, face à un front de feu long de 90 kilomètres. Un coin que je connais, que j’adore. À ces habitants qui ont perdu leur maison. En juillet, des amis ont vu les flammes arriver jusqu’à leur jardin aux Pennes-Mirabeau. Leur maison a tenu. Le feu n’a "fait que" brûler le jardin.

L'image est inspirée de Fire Force, un animé où des pompiers sont des héros, face à flammes démoniaques. L'ogre qui ravage les Corbières l'est assurément démoniaque. À l’heure où j’écris ces lignes, rien ne dit quand — ni comment — cette histoire se terminera.

Pensées émues pour les pompiers, et pour les habitants de l’Aude.

lundi 4 août 2025

Changeons les noms de nos partis politiques

Discussions intéressantes suite à mon billet d’hier, et quelques commentaires qui m’ont fait sourire.
Certains ont été hypés par mes images IA, d’autres se sont laissés embarquer dans les souvenirs de foot et de vacances. Puis il y a eu l’aspect politique.
C’est là-dessus que j’ai envie d’écrire ce soir, après une discussion avec Nicolas et Juliette sur les « changements de noms » en politique.


Renaissance, d’abord.
Gabriel Attal veut à la fois « tuer le père » en se détachant de Macron, et éviter la confusion Renaissance / Reconquête. Bref, il cherche un nouveau nom pour son parti — que je qualifierais, si j’étais moqueur, de Playmobil : l’Assemblée LREM 2017-2022, trop lisse, incolore, inodore… et pour beaucoup, battue en 2022.

Au mieux, une troupe d’opportunistes de 2017 qui ont couru derrière le vainqueur. 2022, c’était autre chose. Je vais l’aider, je suis gentil.
Gabriel Attal se veut rassembleur du bloc central. Un bloc central, donc « uni », et plutôt libéral.
Je lui propose donc : Centre Unitaire Libéral. 
Je suis convaincu que, dans une classe politique en quête de renouveau, le C.U.L pourrait faire son trou.

Plus sérieusement (ou pas), il faudrait aussi que LR change de nom.

Deux raisons : En finir avec l’héritage sarkozyste, qui a été un délire pour la droite. Rompre avec l’image même de la looserie politique.
L’UMP, c’était une marque, chiraquienne d’abord, puis préemptée par Sarkozy. Bon, il faudrait éviter de ressortir un lipdub aussi catastrophique que celui de 2010 (on bloguait déjà à l’époque…), mais la plupart des jeunes UMP d’alors ont depuis rejoint les macronistes. Aujourd’hui, c’est surtout l’aile RPR qui reste.

Or LR, aujourd’hui, reste d’essence gaulliste. Et je pense que la République est en danger. A cause de LFI principalement, qui devrait être notre adversaire politique prioritaire.
Je verrais donc bien renaître l’UDR : Union pour la Défense de la République.
Ou, pour remonter encore plus loin, le RPF : Rassemblement du Peuple Français.

Il reste des marques fortes. Le PS en est une : ce n’est pas de nom qu’il faut changer, mais de dirigeants. Si j’étais leur conseiller, je virerais Faure et je reviendrais à une social-démocratie ancrée dans la classe ouvrière.
Pour le reste : LFI et RN ont pris racine. Du chiendent ils sont là.
PC et EELV : rien à dire.

Modem… bon. L’UDI existe-t-elle encore ? Et DLF ? Mystère. 

Après changer de nom ne fait pas tout. Mais on en reparlera un autre jour. Là, j'ai du rosé sur la table.
(Chat m'a trouvé une image que je trouve marrante...)

dimanche 3 août 2025

Dimanche soir avant vacances...

Un dimanche soir avant trois semaines de vacances. Quel pied. Dans quelques jours je serais à 2000 mètres, et je laisserai l'iphone l'ipad et le PC pour un truc fabuleux. Les mots croisés de l'été du parisien. 

Dimanche soir... Je sais que la dernière semaine avant fermeture est dure.

Sinon, morceau de vie. Falconette est partie avec deux amies, écouter je n'ai toujours pas compris quoi aux théatre antique d'Orange. Profitez c'est génial. 

les deux enfants se battaient pour me demander une vidéo. Mon plus match était la question du deuxième. J'ai déjà le 5-4 du Marseille Montpellier où j'étais. France Brésil France Italie... Et je me souviens d'un Lyon Marseille 5-5. Gros match.
J'aurais du mal à ne pas oublier mardi et agressions d'une connaissance et de ma chef. Le dos est un réceptable, mais je pense qu'on est tous fatigués. 

Mon dos va mieux. J'ai un combo docteur kiné super.

A part ça...

A part ça de rie de voir de "Renaissance", un parti sans colonne vertébrale, veut changer de nom. Car trop proche du parti de Zemmour... L'opportunisme est souvent comparable avec l'incompétence. Qui nous dirige depuis 2017. Bientôt fini.

Le reste.. C'est le risque nucléaire de deux tarés, Poutine et Trump. Ca ne me fait pas du tout sourire....

samedi 2 août 2025

NostalJOie

À quelques encablures de mes vacances, je me surprends à replonger dans hier. Je suis comme ça : mélancolique incurable.

Je m’attendais à un été tendu, presque dramatique. J’avais tort. Les JO ont été une parenthèse enchantée… dans un pays sans gouvernement. C’est ironique, et ça ne m’empêche pas d’en vouloir encore à Emmanuel Macron pour sa dissolution, à un moment où la France avait besoin de calme.

En boucle dans mes oreilles : Kavinsky, Angèle, Parade… Et sur YouTube, je retombe sur Skyfall. J’adore. Ça me ramène à mon premier cinéma « en ami » — L’Arme Fatale 3 — avec la fille que j’aimais en troisième. C’était au cinéma de la rue de la République. Et c’était It’s Probably Me.

Le dos toujours en vrac, je m’installe dans le passé. Le maître de conférence que je suis (titre obtenu sous un Premier ministre gaulliste, merci le gouvernement Barnier) devrait sans doute donner une leçon ici — même si ce n’est pas mon domaine. Mais parfois, le maître de conférence, et l’homme de mon âge, se mettent d’accord : il y a du bon à s’asseoir dans le canapé de ses meilleurs souvenirs.

vendredi 1 août 2025

Pleins (et surtout mal) au dos

Un échange vif et désagréable avec une connaissance, tôt le matin, sur Twitter. De vieux souvenirs qui remontent, et et des souffrances qui piquent encore. Puis un mail au boulot de ma hiérarchie, mal pris. Résultat : deux blessures invisibles.

Dans l’après-midi, une douleur a commencé à descendre dans le bas du dos. Le soir, ça tirait, mais je tenais debout.

Mercredi, j’étais un petit vieux. À 9h, je marchais encore. À midi, j’étais bloqué. Merci la boîte auto pour rentrer chez moi. Le kiné devait s’occuper de ma cheville ? Changement de programme… Il a trouvé le noeud qui me faisait souffrir... Mais je n'arrivais plus à marcher le soir. 

Jeudi, passage chez le médecin. Consultation express : la position parlait pour moi. Lombalgie violente. Pas de nerf touché, donc « de la chance », paraît-il. Mauvais mouvement ? Non. Juste un corps qui dit stop. J’ai raconté mon mardi, ma fatigue. Le médecin a hoché la tête. Et m’a donné kiné + anti-inflammatoires. À moi de réparer ce dos et… de ménager le reste.

Vacances dans une semaine, à la montagne. En espérant que d’ici là, dos et chevilles se soient mis d’accord pour me laisser respirer.

mardi 29 juillet 2025

Danger de l'écrit deuxième lame

J’écrivais y a une semaine un billet sur les dangers de l’écrit. Ce matin, deux éléments m’ont blessé. 

D’abord, un tweet. D’une personne qui me connaît. Blessant. Un seul mot, vu à 7h40. Et, avec lui, dix ans d'incompréhensions non réglés qui refont surface. Dix ans de souvenirs moches, amers. Et une douleur que je croyais cicatrisée.

Puis ensuite je me connecte sur mon PC perso. Et là, un mail de « recadrage » (encore un) de ma chef. Absente à une réunion hier où j’ai pris deux positions, rien de méchant. Mais là encore, téléphone arabe. Et je reçois un mail, long. Que je prends comme du recadrage. 

Là encore, deuxième accord toltèque « ne rien prendre personnel », troisième accord toltèque « ne pas supposer ». Mais j’ai pris personnellement. Et j’ai supposé, en tous cas surinterprété. Et là, deuxième lame.

Je termine la matinée avec de l’amertume. Un tweet qui fait mal. Un mail qui fait mal. 

Je repense souvent au « petit livre vert » de mon ami Guy Birenbaum, « vous m’avez tant manqué », qui écrit magnifiquement sur sa dépression. Qui part d’un simple tweet. 

L’écrit est parfois blessant. 
L’écrit ne crie pas. Mais il peut couper. Ce matin, deux mots. Deux lames...

dimanche 27 juillet 2025

Reconnaitre la Palestine aujourd'hui, c'est donner raisons aux terroristes du 7 Octobre

Dimanche soir avant une semaine que, pour une fois, je n'appréhende pas plus que ça. Dans 10 jours je suis en vacances trois semaines. C'est bien. Côté boulot pas grand chose à dire. Mail du dimanche soir qui va être un peu chiche sur cette partie là.

Je vais vite passer au "à part ça", car depuis deux jours j'ai un gout amer dans la bouche. Je sais que la France n'est plus celle du Général de Gaulle mais du triste Macron. J'ai trouvé pitoyable son tweet annonçant, à la rentrée, vouloir que la France reconnaisse l'état Palestinien.
Je passe sur le cadeau incroyable fait aux terroristes du Hamas : le 7 Octobre pourrait engendrer une reconnaissance officielle d'une Palestine gouvernée par des terroristes et des meurtriers par l'état français. On a juste oublié les victimes de cette barbarie. 

En plus, Emmanuel Macron fait un immense cadeau à LFI et cette gauche indigne et dangereuse. Et un cadeau à tous ceux qui qui ont importé le conflit israélo-palestinien en France pour mettre la République à genoux. 

Le pire, c'est que ça ne suffit pas à Mélenchon, qui n'est pas satisfait. Qui indique clairement ses intentions et les intentions de cette extrême gauche complice des terroristes et des islamistes : il veut que la France envoie l'armée en Israel pour tester le gouvernement de ce pays. Bref, à LFI la reconnaissance de la Palestine n'est pas suffisante, il faut faire la guerre à Israel. 
En résumé, pas de solution à deux états : un seul état, Palestinien de préférence, et donc l'éradication d'Israel.

Et Emmanuel Macron, qui parle au nom de la France, veut cautionner ça... Mal à ma France vraiment. 

Espérons que d'ici la fin de l'été la raison revienne. Reconnaitre la Palestine oui, mais pas maintenant. 
Pas pendant que le Hamas est au commande et pendant que des otages du 7 octobre ne sont pas encore libérés. Soyons la France...

mardi 22 juillet 2025

Ecriture attention danger


Je suis bien placé pour vous le confirmer, l'écrit (je pense au mail mais pas que) est une source de conflit et d'emmerdement maximum. 2eme accord Toltèque ne rien prendre personnellement, 3eme ne pas faire de supposition. Le mail oblige à prendre en levrette forcée ces deux principes. On ne voit pas l'état d'esprit de la personne qui écrit le mail, et nous on interprète forcément ce qui est écrit.
A l'oral, on peut demander, si on est dans une relation normale, des précisions. On voit l'état de notre interlocuteur. Bref, on comprend les choses.

Mon boulot de hiérarchique a pris fin quand, après un moment où on ne parlait plus avec ma N+2 (qui a quitté ma boite depuis après qu'elle ait envoyé au médical bien des gens de son département), on s'est insulté par mail, copie entière (faire bien les choses), une semaine avant Noel entre 20h30 et 21h30. 

J'avais un chef qui me disait "quand il y mail, puis réponse, puis réaction à la réponse, il faut prendre le téléphone". Il avait raison.

Ce matin j'ai vécu avec une copine, Juliette, un truc similaire. 
Je venais de me prendre la tête avec ma hiérarchie. Avec ma mère par sms qui pense prends pour moi des rendez vous à la banque à des moments où je ne suis pas disponible et qui me demande pourquoi j'ai changé le rendez vous. Discussion pas agréable avec Falconette. Mauvaise nuit. Bref, Grognones le retour. 

Et je reçois un commentaire sur un billet que je ne me souvenais pas avoir écrit : "éléments de langages, des gens fiers et heureux". 
Là frissons dans le dos. "Oh merde ? J'ai bu hier soir et j'ai écrit un billet donc je ne me souvenais plus ?". 

Et je lis le commentaire. Anonyme (ça m'énerve toujours). Et je ne comprends rien. Et accords Toltèques, je le prends personnellement, et mal, à côté. Je vois quand même que la modération est activée, que le billet date de 2021, qu'il m'est demandé dedans de m'expliquer sur mon expression "élection volée" (on était en 2021, 2022 c'était canarval...). 
Et ma réponse est kalachnikov rue de Nîmes.

Sauf que le commentaire était en fait sympa (et je l'ai relu, il était sympa). J'ai pris pour de l'ironie un compliment qui me touche. Et qui vient en plus de Rose Noire, Juliette Evola, une personne pour qui j'ai de l'estime et de l'affection. Je lui ai fait mal, et je lui présente encore mes excuses.

Mais elle aussi a vécu un truc à la con. Son navigateur a ouvert un billet qui a 4 ans, et elle non plus n'avait pas vu la date. 

Bref, le mail, l'écrit. On s'est fait du mal, on n'a rien compris. 

Il n'y a aucune morale. Je viens de finir ma journée par un mail assassin à ma chef (qui commence à dépasser les bornes de mes limites). Mais faire attention. Et puis je ne suis pas méchant, ni dans la vie, ni sur les blogs ou réseaux sociaux. Et j'ai tendance à penser que les gens sont sympas. 

Juliette, je suis désolé. L'écrit est parfois sources de conneries (sourions en). 

(PS : je me régale des images que génère Chat GPT ou d'autres IA avec une bonne demande)

lundi 21 juillet 2025

Billet du dimanche soir le lundi matin

Y a des moments où le billet du dimanche soir débarque le lundi matin. Parce que hier je dormais déjà à 21 heures. Extinction volontaire des feux.
Je prends des cachets pour dormir — sans doute trop tôt. Envie de m’arracher à la réalité, comme on claque la porte sur la journée.
Résultat : des cauchemars. Pas ceux avec des monstres. Ceux qu’on appelle "existentiels". Simplement des blessures profondes, normalement soignées, visiblement pas cicatrisées.

Donc j’écris ce lundi matin. La semaine dernière était mieux avec le lundi férié.
Après une demi-journée, le ton est donné : le mode grognones est activé. Rien de dramatique, juste ce bruit de fond et cette lassitude sèche qui me font me poser la question « mais qu’est ce que je fous là » (à part gagner mon pain), et surtout qu’est ce que j’apporte à la société. 
Rien de tragique. Juste de l’absurde.

Chez nous, le lundi matin est “sanctuarisé” -  mot joli pour dire “bloqué pour la réunion rituelle”. Sauf qu’elle a été annulée. Cinq minutes avant. Le chef avait mieux à faire.
Sans doute une autre réunion sanctuarisée dans une autre dimension que la nôtre. Retour dans le dadaïsme professionnel : où l’on honore le rituel plus que le contenu, où le sens est mort mais l’agenda vit.

Je partage mon bureau avec des stagiaires. L’un d’eux m’est “attribué”.
Il me voit. Ce matin, il a vu que j’étais en mode ours. Pas méchant, mais qui aurait préféré rester dans sa caverne, avec un café et un podcast qui ne parle pas de “synergies transverses” mais du mercato de l’Olympique de Marseille
 
Et puis je découvre que nous sommes deux à bosser sur le même sujet. Personne ne le dit. Personne ne le coordonne.
Alors on patine. Moi en tout cas. Je n’avance pas.
C’est le grand classique : trop de monde sur le pont, mais personne à la rame. Le GPS sur la brouette encore...

Je passe en mode syndical ? Pas mieux. Là aussi, ça se déchire. Humainement, c’est toxique.
Mais avec le sourire. Toujours. Chez nous, même l’amertume est polie. Elle dit “bonjour” en entrant. (enfin, tous ne disent pas bonjour)

Et point bonus du jour : j’ai des corrections à faire. Un sujet de Licence.
Je vais m’y plonger tranquillement. Parce qu’en corrigeant, au moins, j’aurais l’impression de servir à quelque chose. 

Un peu loin de ce délire Excel où l’on confond indicateur et réalité. Ce monde où le sens du travail s’est fait remplacer par le tableur.
Mais où tout va bien, hein. Les feux du reporting sont verts.

vendredi 18 juillet 2025

Vive nos agriculteurs ! Et honte à cette gauche inhumaine.

Laissons tranquille LFI : ils célèbrent la libération d'un terroriste, rien de neuf sous le soleil. Comme le dit justement Bruno Retailleau, LFI est "la première et la la pire menace politique" en France. Et je partage l'appréhension de Gérald Darmanin à qui rien ne fait plus peur que LFI.

LFI a des amis. Les écolos sont vraiment des très proches dans l'abject. On pensera au pauvre Julien Bayou, qui s'est fait dégager de son poste de chef des verts sur des suppositions de certains ayatolahs ultra féministe. Il n'a rien fait, mais pas d'excuses. Surtout pas de Sandrine Rousseau, pour qui tous les hommes sont des violeurs potentiels, et tous ceux un peu moins à gauche qu'elle des fascistes.

Sandrine Rousseau qui donne des leçons d'humanité alors qu'elle n'est que haine. Ce qu'elle a dit sur les agriculteurs est abject quand on connait la situation des agriculteurs. Oui, une loi est passée pour qu'un pesticide, employé de partout, soit à nouveau autorisé en France. Sinon les agriculteurs ne produisent plus rien. 
Mais Sandrine Rousseau, "elle n'en a rien à péter de la rentabilité des agriculteurs". Qu'ils crèvent ! De toutes manières c'est ce que font beaucoup d'agriculteurs : ils se suicident. 

J'ai un de mes meilleurs amis, sans doute le meilleur, qui a du arrêter son métier d'agriculteur car il commençait à ne plus ni arriver à en vivre, ni à vivre tout court. Une femme, deux filles supers, et malgré la qualité de son vin, il n'arrivait plus à vivre. Son métier qui était une passion était un enfer. Il est salarié et il revit.
Rien à péter que les agriculteurs vivent, voilà l'humanité de cette gauche. 

Soutenons nos agriculteurs. Une France de bobo, avec que gens qui fument des joints, roulent sans permis dans des voitures de fous et qui refusent de s'arrêter à un contrôle (d'ailleurs faudra en parler de la mère du petit ange Nael qui appelle à la mort du policier), qui refusent qu'on fasse des barbecues, qu'on ait des villages, du vin, qu'on mange de la viande, ce n'est pas ma France. 
Que Sandrine Rousseau reste dans ces beaux quartiers. Et que la gauche populaire fasse un cordon sanitaire avec la gauche des terroristes et des délinquants comme l'avait fait la droite avec le FN. 

mardi 15 juillet 2025

Le 15 Juillet à 5 heures, on se fait sabrer deux jours fériés

 Sa voix murmure, tranquille et.... Et rien du tout. Sa voix à François ne murmurait pas. Il aurait eu un "verre de whisky à la main" pendant qu'autour de lui "on mange de melon hormis la chanson des frelons nous n'avons plus rien dans la tête".

Mais dans la maison (pas de Virginie) le béarnais aux grandes oreilles qui a réussi à prendre Matignon ne croque pas du raisin bien tendre, des grappes rouges couleurs d'encre. Oh non, il ne fera pas de café tout à l'heure. Le 15 Juillet à 5 heures, il nous a proposé un plan Marshall qui va touché (comme d'habitude) ceux qui bossent.

J'arrête avec la chanson de Serge Lama. J'allais parler de frères et soeurs toute la clique et d'un vieil ami un 15 juillet à 5 heures (mon billet est axé sur une chanson de Serge Lama que j'aime beaucoup). Mais je ne parle plus de la véranda où on s'installe. Je pose le clip que j'avais fait. Forez. Et après je suis sérieux.

A part ça, rien. FX Bellamy parlait de paresse intellectuelle. Je suis LR et j'aime beaucoup Barnier mais j'ai pas trouvé une énergie et une intelligence fascinante dans ses mesures... LR a bossé sur l'immigration (dont on ne parle pas) et l'insécurité, mais sur le reste ils avaient fait impasse.

Bon, Sarkozy qui avait été le chef de la bande a tué notre armée et pas mal de choses. 

15 Juillet. Le Whisky n'a heureusement pas le gout du melon. Ce soir, il n'avait pas de gout de grappes couleurs d'encre. D'ailleurs à 5 heures, du soir (ou du matin je ne sais pas la chanson) j'étais à la salle de sport. Croisement des courbes...

lundi 14 juillet 2025

14 Juillet à Uzes et weekend de trois jours

J'aime bien quand les jours fériés tombent des jours de la semaine où normalement je dois travailler. Quand c'est un lundi (ou un vendredi), c'est top. Mais je préfère le lundi. Le blues du dimanche soir n'est pas présent.
Il est simplement décalé au lundi mais demain je télétravaille. Donc je me sens cool. 

J'aurais encore, cette semaine, un lot de moment délirant. De dénigrement du travail, et autres choses sympathiques. Mais je vois jeudi une personne qui m'est chère professionnellement, jeudi je vais aussi dans un endroit que j'ai délaissé depuis un moment et j'ai besoin de parler. 
Et puis le kiné, les chevilles vont bien mieux. Je perds un peu de poids et reprend du muscles. Bref c'est cool. 

Cette vidéo j'ai déjà du la poster. Un 14 Juillet où nous étions seuls avec Falconette. Nous sommes allés à Uzes, là où nous nous sommes pacsés. Uzes est une merveille du Gard. 
La musique est du Yuki Kajiura. L'animé où je l'ai découvert. "Noir", qui se passe en France, dans un Paris où les quais de Seine sont verdoyants. 

A part ça demain je reprends le boulot. J'écrirai un jour sur le dadaïsme professionnel, ce grand n'importe quoi dans lequel on joue tous un rôle à la con.

Côté football je n'aurais vu que quelques extraits de la Coupe du Monde des clubs. J'ai trouvé ça lent, mal filmé, avec une lumière que je n'aime pas. Ca me rappelait les vieux matchs. Ca sera apparement ça qu'on aura à la prochaine Coupe du Monde. Bon...

Et côté politique... Emmanuel s'emmerde, Emmanuel s'occupe. Donc c'est l'armée. On va avoir une chouette armée. Un système de santé délirant, une insécurité qui ne cesse de grimper dans le pays, mais on fera peur aux Russes. 
Tout va bien, c'est le 14 Juillet. 

dimanche 13 juillet 2025

Canicule sur BFMTV

Il recommence à faire chaud dans le sud. Merci à mon ami @bblegardois de m'avoir envoyé cette capture de BFMTV qui m'a fait beaucoup rire. 
Dans mes cours, j'ai toujours une demi douzaine de contrepéterie aussi. 

 

samedi 12 juillet 2025

Soirée à Nîmes avec Soprano

Jeudi soir nous étions à Nîmes. Concert en famille. Soprano et en première partie Youssoupha.

On va être clair. Je trouve Soprano super sympa. J'adore le "un peu plus près des étoiles". Mais ce n'est pas ce que j'écoute habituellement. J'ai passé une belle soirée, il est sympa, ambiançant. 



Youssoupha, je ne connaissais pas. J'ai une photo de mes enfants qui voient ma tête lors du début de sa partie de chant. C'est sur, ça change de Serge Lama et de Bernard Lavilliers, et ils étaient morts de rire devant ma tête décomposée. Mais là encore, du rap sympa. Ca va pas bruler des voitures, c'est marrant, c'est cool. 
Le rap marseillais est bien plus sympa que la Seine Saint Denis quand même.

Après les arènes sont magnifiques. Nous avions vu Bernard Lavilliers en symphonique au théatre antique d'Orange y a 10 jours (on aura fait des concerts). Deux ambiances certes, mais des cadres assez magiques. Et Bernard Lavilliers superbes.

J'ai écris sur la lassitude que j'ai en ce moment. Chaleur ? Boulot ? évènements ? En tous cas ça fait du bien une sortie en famille.

lundi 7 juillet 2025

Disparition d'Olivier Marleix

Je vais me contenter de recopier le mot des Républicains. J'ai été en désaccord avec Olivier sur sa volonté d'aider Elisabeth Borne à faire passer les retraites, mais j'ai aimé l'homme d'industrie qui connaissait l'énergie. Alstom - Général Electrics, il a fait du super boulot.

J'étais dans une réunion avec ma chef (où on courrait en tongue le marathon, comme d'hab). Le push m'a sorti de ce bad trip. C'est horrible d'apprendre par push les morts de personnes qu'on a cotoyé. Je ne peux pas dire "aimé" (Didier Roustan oui...). 

Par contre dans le geste de mettre fin à sa vie... J'ai repris ce jour contact avec ma psy car je ressens un besoin de parler. J'ai lu le mot de FX Bellamy qui est remarquable. Triste, et poignant. 

Je vais faire télégraphiste de ma famille politique. Une famille est une famille. Avec des désaccords, j'en ai pleins.