Ah ben bravo ! Le JDD présente une enquête sur le gaspillage d'eau dans les principales villes de France. Et c'est éloquent : Nimes et Avginon sontles plus gaspilleuses...
Nimes perd 41% de sa production d'eau, et Avignon en perd 35%. C'est énorme... Vive les fuites, et bouh les réseaux d'eau usés...
Ce qui est amusant quand on parle de la vétusté des réseaux d'eau, c'est de voir le distributeur privé se retourner vers la municipalité. Et la municipalité faire de même... Et au final, c'est le consommateur final qui paie la facture. Au delà d'un problème écologique, c'est aussi un problème de sous-sous que les ménages ont à payer, à la fin de l'année...
J'ai été élu dans deux villages. Le premier, 1100 habitants, avait une gestion de l'eau publique. Le deuxième dépasse allégrement les 5000 habitants. Et pendant encore 9 ans il est sous contrat avec un distributeur d'eau.
Les deux cas sont différents. Et si j'avais le choix, je crois que je n'agirais pas autrement. Un réseau d'eau facile à gérer, que l'on garde public. Et un réseau d'eau compliqué et obsolète. Que l'on sous traite au privé. Mais avec un élu qui connait parfaitement le village, et qui suit comme une ombre le sous traitant dans tout ce qui est remise à niveau du réseau de distribution de flotte.
Parfois le privé est meilleurs. Mais il faut garder ce contrôle public. Dans mon village, une gestion publique serait sans doute difficile.
Pas forcément plus envie que ça de me lancer dans ce débat privé public. Aussi parce que parler d'eau alors que le midi fut arrosé de vins merveilleux est idiot.
Depuis le Forez, cela me permet d'agrémenter de billet de photos de Nimes et Avignon. Je reviens un peu chez moi. Mais je suis en vacances, je ne regrette pas mon Midi...
Nimes perd 41% de sa production d'eau, et Avignon en perd 35%. C'est énorme... Vive les fuites, et bouh les réseaux d'eau usés...
Ce qui est amusant quand on parle de la vétusté des réseaux d'eau, c'est de voir le distributeur privé se retourner vers la municipalité. Et la municipalité faire de même... Et au final, c'est le consommateur final qui paie la facture. Au delà d'un problème écologique, c'est aussi un problème de sous-sous que les ménages ont à payer, à la fin de l'année...
J'ai été élu dans deux villages. Le premier, 1100 habitants, avait une gestion de l'eau publique. Le deuxième dépasse allégrement les 5000 habitants. Et pendant encore 9 ans il est sous contrat avec un distributeur d'eau.
Les deux cas sont différents. Et si j'avais le choix, je crois que je n'agirais pas autrement. Un réseau d'eau facile à gérer, que l'on garde public. Et un réseau d'eau compliqué et obsolète. Que l'on sous traite au privé. Mais avec un élu qui connait parfaitement le village, et qui suit comme une ombre le sous traitant dans tout ce qui est remise à niveau du réseau de distribution de flotte.
Parfois le privé est meilleurs. Mais il faut garder ce contrôle public. Dans mon village, une gestion publique serait sans doute difficile.
Pas forcément plus envie que ça de me lancer dans ce débat privé public. Aussi parce que parler d'eau alors que le midi fut arrosé de vins merveilleux est idiot.
Depuis le Forez, cela me permet d'agrémenter de billet de photos de Nimes et Avignon. Je reviens un peu chez moi. Mais je suis en vacances, je ne regrette pas mon Midi...
Même 10% c'est inacceptable ! C'est de l'eau potable qu'on gaspille bon sang !
RépondreSupprimerTu as raison. Après tout n'est que question financière. Le mètre d'égout et de tuyaux coute combien. et combien coute le litre de flotte qu'on rebalance dans la nature ?
RépondreSupprimerEt on compare...
C'est très peu écolo, mais en gros c'est comme ça qu'on raisonne...
Bon billets qui résume les difficultés et l'importance de l'implication des élus locaux dans la gestion des eaux.
RépondreSupprimerpas simple ces histoires d'ô euh d'eau !
RépondreSupprimer(ne pas oublier qu'avec les élus il y a aussi des fonctionnaires territoriaux qui sont en appui à la décision politique...)