"Tu manques", c'est une des plus belles chansons de Jean-Jacques Goldman. La seule de l'album "Fredericks Goldman & Jones" qu'il chante seul.
Une chanson qui s'écoute le soir seul, quand la lumière baisse. Quand l'absence de quelqu'un se fait tellement forte que même le plus bon des whiskys n'apaise rien.
Quand la lumière baisse... Et pourtant ce weekend nous avons changé d'heure. Il y a deux ans aussi, sans doute...
Goldman dit ça de sa chanson : "Le texte ? Ce n'est pas exceptionnel de souffrir de l'absence momentanée ou définitive de quelqu'un. Tout le monde souffre un jour de l'absence de quelqu'un."
Il ajoute : " Ce n'est pas exceptionnel de souffrir de l'absence, que ce soit une absence momentanée ou définitive, de quelqu'un. Je crois que riche ou pauvre, blanc ou noir, femme ou homme, probablement martien ou vénusien, tout le monde à un moment souffre de l'absence de quelqu'un."
Dans sa définition, il y a un mot. "Souffre". Parce que quelque part, même si ce n'est pas exceptionnel, et même si tout le monde connait un jour cette souffrance de l'absence de quelqu'un, cela reste une souffrance.
Celle que j'ai de n'avoir pu présenter mon petit bébé faucon à cette personne est très forte...
Une chanson qui s'écoute le soir seul, quand la lumière baisse. Quand l'absence de quelqu'un se fait tellement forte que même le plus bon des whiskys n'apaise rien.
Quand la lumière baisse... Et pourtant ce weekend nous avons changé d'heure. Il y a deux ans aussi, sans doute...
Goldman dit ça de sa chanson : "Le texte ? Ce n'est pas exceptionnel de souffrir de l'absence momentanée ou définitive de quelqu'un. Tout le monde souffre un jour de l'absence de quelqu'un."
Il ajoute : " Ce n'est pas exceptionnel de souffrir de l'absence, que ce soit une absence momentanée ou définitive, de quelqu'un. Je crois que riche ou pauvre, blanc ou noir, femme ou homme, probablement martien ou vénusien, tout le monde à un moment souffre de l'absence de quelqu'un."
Dans sa définition, il y a un mot. "Souffre". Parce que quelque part, même si ce n'est pas exceptionnel, et même si tout le monde connait un jour cette souffrance de l'absence de quelqu'un, cela reste une souffrance.
Celle que j'ai de n'avoir pu présenter mon petit bébé faucon à cette personne est très forte...
Tu manques, si tu savais
Tu manques tant
Plus que je ne l'aurais supposé
Moi qui ne tiens pas même au vent...
Tu manques tant
Plus que je ne l'aurais supposé
Moi qui ne tiens pas même au vent...
Il y a des périodes, comme ça, où on a besoin d'un plus de courage que d'habitude !
RépondreSupprimerEt elles reviennent tous les ans ces périodes. mais bon, du courage on en manque pas ;-)))
RépondreSupprimerBonne journée
Oh purée c'est probablement, avec Un tout petit monde, ma préférée.
RépondreSupprimerMerci, même si effectivement, les temps peuvent être durs, là, tout de suite.
Deux très belles chansons... Merci Zette, bonne soirée
SupprimerPlus je vieillis, plus la floraison printanière de ces fleurs blanches magnifiquement photographiée ici me ravit. Merci de prolonger notre plaisir.
RépondreSupprimerJ'en suis ravi Mtislav. Ca me fait plaisir de voir que j'arrive à toucher deux trois personnes avec ces photos qui me touchent aussi. C'est chouette.
SupprimerBlogger fait les choses très bien en mettant Martine en spam. Qu'elle y reste.
RépondreSupprimerBeau billet, touchant. Goldman est au aussi un de mes "doudous" musicaux. Ma préférée...Famille, je crois...enfin, ça dépend des jours ! :)
RépondreSupprimerBises