Trois instants importants de ma semaine dernière sur les blogs.
La mardi, j’ai pris mon plus beau clavier pour écrire un billet assez long, pour dire ce que j’avais sur le cœur, à propos de certains cotés qui me sont détestables de cette campagne militante politique dans les blogs. Ne pas être d’accord avec quelqu’un de la blogosphère pourquoi pas. Le caricaturer, voire le discréditer par des mensonges, ça dépasse une ligne jaune que je n’aime pas. Surtout quand c’est fait avec de la méchanceté gratuite : écrire du mal que quelqu’un parce qu’il n’est pas de la « bonne couleur politique », ça ne rapportera aucune voix au candidat que l’on supporte…
Ce même mardi, Wikio backlink a cessé de fonctionner. Depuis, Nicolas en a longuement parlé.
Pour cette « blogosphère du 27 Aout », celle de la Comète, des collègues et d’une camaraderie certaine, et ce quelques soient ses convictions politiques, cela marque incontestablement la fin d’une époque sympa. "Des liens bordel des liens" disait le philosophe...
L’époque dont je parle, celle des apéros sur la blogosphère et des chaines sympas, a de toute manière amorcé un déclin réel lorsque la campagne présidentielle, la dure, a commencé. Nous sommes dans le dur en ce moment, et les blogs sont devenus, pour certains, des instruments de campagne et de propagande. Le coté sympa a laissé la place à autre chose. On peut le regretter, ou l’admettre. Je fais un peu les deux.
Force est de constater que la fin des labs ajoute à ce sentiment. De la nostalgie sans doute.
Le dernier instant important de ma semaine dernière sur les blogs est un contrepied de ces deux premiers points.
Mercredi soir, au détour d’un osso bucco aux tagliatelles et de quelques bières gobées, un beau et bon moment à la Comète. Le retour de l’esprit du 27 Aout. La magie de la Comète. Celui qui restera à jamais notre number one a certes coupé ses cheveux. Mais il montre qu’il reste quelque chose de fort et de beau de cette époque qui, aujourd’hui, me manque un peu.
Et puis c’est bien les copines & les copains. Ca fait cucu la praline sans aucun doute. Mais c’est aussi, et surtout, pour ça qu’on blogue. Que je blogue. Et ça fait du bien de s’en rappeler, surtout à coups de verres de Madiran.
Encore merci Nicolas pour ce bon moment (ça m'a fait du bien).
Pourquoi ce billet alors que j’aurais pu parler des 500 signatures de Marine Le Pen et soupirer un « tout ça pour ça… » ? Pourquoi ne pas parler du croisement des courbes plutôt ? J’aurais pu m’émouvoir de la déclaration d’un Nicolas Dupont-Aignan qui annonce vouloir prendre Marine Le Pen comme premier ministre. Ou soupirer devant ce concours d’idées à deux francs cinquante (suppression du mot race dans la constitution, etc...) qui donne, au final, une triste campagne…
Et bien parce que je n’ai pas envie de parler politique. Et en fait je n'ai pas envie de parler de grand chose. Et aujourd'hui, je me suis forcé à écrire ce billet (cela se voit sans doute...). La motivation est loin. Le plaisir, n'en parlons plus... La vraie vie, un peu plus difficile en ce moment, y fait aussi quelque chose. Si je ne prends pas de satisfaction dans l’activité du blog, autant essayer de prendre l’air…
Trois moments la semaine dernière, qui relaient bien mes sentiments contradictoires quant aux blogs en ce moment. C’est pour des moments aussi sympa que ce mercredi que j’ai envie de bloguer. Mais les premiers et deuxièmes points me mettent davantage en avant, aujourd’hui, les mauvais cotés…
Peut être que demain, l’envie reviendra. Et s’il ne revient pas, et bien tant pis. Ca ne sera pas un drame…
La mardi, j’ai pris mon plus beau clavier pour écrire un billet assez long, pour dire ce que j’avais sur le cœur, à propos de certains cotés qui me sont détestables de cette campagne militante politique dans les blogs. Ne pas être d’accord avec quelqu’un de la blogosphère pourquoi pas. Le caricaturer, voire le discréditer par des mensonges, ça dépasse une ligne jaune que je n’aime pas. Surtout quand c’est fait avec de la méchanceté gratuite : écrire du mal que quelqu’un parce qu’il n’est pas de la « bonne couleur politique », ça ne rapportera aucune voix au candidat que l’on supporte…
Ce même mardi, Wikio backlink a cessé de fonctionner. Depuis, Nicolas en a longuement parlé.
Pour cette « blogosphère du 27 Aout », celle de la Comète, des collègues et d’une camaraderie certaine, et ce quelques soient ses convictions politiques, cela marque incontestablement la fin d’une époque sympa. "Des liens bordel des liens" disait le philosophe...
L’époque dont je parle, celle des apéros sur la blogosphère et des chaines sympas, a de toute manière amorcé un déclin réel lorsque la campagne présidentielle, la dure, a commencé. Nous sommes dans le dur en ce moment, et les blogs sont devenus, pour certains, des instruments de campagne et de propagande. Le coté sympa a laissé la place à autre chose. On peut le regretter, ou l’admettre. Je fais un peu les deux.
Force est de constater que la fin des labs ajoute à ce sentiment. De la nostalgie sans doute.
Le dernier instant important de ma semaine dernière sur les blogs est un contrepied de ces deux premiers points.
Mercredi soir, au détour d’un osso bucco aux tagliatelles et de quelques bières gobées, un beau et bon moment à la Comète. Le retour de l’esprit du 27 Aout. La magie de la Comète. Celui qui restera à jamais notre number one a certes coupé ses cheveux. Mais il montre qu’il reste quelque chose de fort et de beau de cette époque qui, aujourd’hui, me manque un peu.
Et puis c’est bien les copines & les copains. Ca fait cucu la praline sans aucun doute. Mais c’est aussi, et surtout, pour ça qu’on blogue. Que je blogue. Et ça fait du bien de s’en rappeler, surtout à coups de verres de Madiran.
Encore merci Nicolas pour ce bon moment (ça m'a fait du bien).
Pourquoi ce billet alors que j’aurais pu parler des 500 signatures de Marine Le Pen et soupirer un « tout ça pour ça… » ? Pourquoi ne pas parler du croisement des courbes plutôt ? J’aurais pu m’émouvoir de la déclaration d’un Nicolas Dupont-Aignan qui annonce vouloir prendre Marine Le Pen comme premier ministre. Ou soupirer devant ce concours d’idées à deux francs cinquante (suppression du mot race dans la constitution, etc...) qui donne, au final, une triste campagne…
Et bien parce que je n’ai pas envie de parler politique. Et en fait je n'ai pas envie de parler de grand chose. Et aujourd'hui, je me suis forcé à écrire ce billet (cela se voit sans doute...). La motivation est loin. Le plaisir, n'en parlons plus... La vraie vie, un peu plus difficile en ce moment, y fait aussi quelque chose. Si je ne prends pas de satisfaction dans l’activité du blog, autant essayer de prendre l’air…
Trois moments la semaine dernière, qui relaient bien mes sentiments contradictoires quant aux blogs en ce moment. C’est pour des moments aussi sympa que ce mercredi que j’ai envie de bloguer. Mais les premiers et deuxièmes points me mettent davantage en avant, aujourd’hui, les mauvais cotés…
Peut être que demain, l’envie reviendra. Et s’il ne revient pas, et bien tant pis. Ca ne sera pas un drame…
Vive la Comète et les mini cuites avec les copains !
RépondreSupprimerVraiment mini quand même, non ? (on a bien rigolé, tes collègues sont adorables et font vraiment passer un bon moment, mais on a bu moyen, non ? ^^)
SupprimerSi ça te dérange pas, je repasserai faire de pleins de bonnes ondes positives début Avril ^__^
ouais ! pareil !
RépondreSupprimerC'était bien le 27 Aout :)
SupprimerOui, et va vite vivre la vraie vie de dehors, celle de Twitter devient détestable !
RépondreSupprimer(Un jour, il faudra qu'on te voit à Lyon quand même)
J'ai beaucoup de mal, aussi, avec Twitter en ce moment... Qui montre une intolérance incroyable. Qui risque de faire que si Hollande passe, énormément regretteront la période Sarkozy au pouvoir...
SupprimerVivement le 6 mai qu'on puisse reparler politique calmement !
RépondreSupprimerC'est vrai. Mais quand je vois l'attitude de certains sur Twitter et sur certains blogs (que je ne fréquente plus), je me demande si ça sera possible de reparler politique calmement si cette gauche passe.
SupprimerAvec certains, il est de toutes manières impossible de parler politique calmement...
Quelle que soit la majorité après le printemps... quand la période électorale est passée.. la période électorale est passée..
SupprimerLG, j'en doute. Quand je lis la haine chez certaines personnes, je me demande...
SupprimerEnfin bon...
La vraie vie, bordel, ça occupe bien quand même.
RépondreSupprimerProfitons en un peu de temps en temps.
Oui...
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