Homer évoque dans son billet ces salopards de l’état
islamique qui massacrent
une partie du patrimoine de l’humanité, trésors de notre histoire commune. Ces
animaux voilés publient même des vidéos
de leurs exactions.
Le Monde raconte cette
histoire d’un blogueur américain qui s’est fait tuer à coups de machettes
au Bangladesh, alors qu’il dénonçait le fanatisme et l’extrémisme.
On ne rappellera pas les montagnes
de cadavres provoqués par les islamiques de Boko Haram au Nigéria. Cet été ces
Yazidis enterrés
vivants par l’état islamique. On dépasse l’entendement. On a affaire à des
barbares, à des animaux.
C’est aussi pour ça que j’ai eu hier mal au cœur quand je
lisais les déclarations du père de cette femme enlevés par les islamistes au
Yemen : il appelait les ravisseurs à « faire preuve d’humanité ».
Mais ces gens-là ne sont plus des humains malheureusement. Ils n’ont plus d’humanité,
sinon ils ne feraient pas ces saloperies. Ni au nom de Dieu ou d’un dieu, ni au
nom de personnes.
Ces gens-là ne sont plus des humains…
On en fait des saloperies au nom de l’Islam. C’est
effrayant.
Dire que ces gens "ne sont plus des humains" est à la fois faux et stupide, en ce sens que cela dispense de s'interroger sur la nature humaine, précisément. Assimiler l'homme à l'animal est toujours ouvrir grand la porte à toutes les dérives, les violences, y compris les meurtres de masse. Dans les camps de concentration, lorsqu'ils parlaient des "repas" des Juifs, les nazis n'utilisaient pas le verbe "essen" (réservé aux humains), mais "fressen" employé uniquement pour les animaux.
RépondreSupprimerDidier, c'est possible que ça soit faux et stupide. C'est ce que je ressens.
SupprimerJ'attends bien la remarque néanmoins. Merci
je n'arrive pas à " comprendre", " ressentir"... à me mettre à la place des gens qui font ces saloperies...
Supprimercomment peut on ? que s'est il passé dans leur cerveau ? qu'est ce qui ne fonctionne pas chez eux ? psychopathes, sociopathes ?
anne
Anne,
SupprimerJe ne sais pas s'il y a une réponse... Comment peut on, je ne sais pas non plus...