mercredi 9 mai 2012

Bayrou vs Nihous : l'affrontement

Ainsi en a décidé le bureau politique de l'UMP. Frédéric Nihous est investi par le parti présidentiel d'opposition pour faire battre François Bayrou.

La vengeance se mange chaude. Avec un peu de caille farcie et du faisan fraichement chassé, est elle moins amère ?

mardi 8 mai 2012

Mon équipe de France pour l'Euro... (mes 23)


L’équipe de France de football va bientôt partir en voyage à l’Est. Avec 23 garçons. Comme il est de coutume en de pareilles occasions, voici ma liste des 23 pour l’Equipe de France.

Gardiens de but
Hugo Lloris (de très loin) ;
Steve Mandanda ;
Benoit Costil


Défenseur
Philippe Mexes ;
Adil Rami ;
Laurent Koscielny ;
Mapou Yanga MBiwa ;
Matthieu Debuchy ;
Antony Reveillere ;
Jérémy Mattieu ;
Gael Clichy ;

Milieu
Yann M’Vila ;
Yohan Cabaye ;
Rio Mavuba ;
Florent Balmont ;
Blaise Matuidi ;
Samir Nasri ;

Attaque
Karim Benzema ;
Loic Rémy ;
Olivier Giroud ;
Matthieu Valbuena ;
Hatem Ben Arfa ;
Jeremy Menez.

Première explication : ceux qui nous ont fait honte il y a peu, je n’en veux plus. Cette liste ne comporte aucun mutin crétin. J'en suis très satisfait. Donc, de fait, exit Franck Ribery et Patrice Evra (pire capitaine de l'histoire du football français). Je tolère Samir Nasri, dont l’attitude pouvait aussi assurément recevoir un coup de pied au séant.
Quant à Hatem Ben Arfa, je n’oublie pas son attitude détestable et insupportable à l’OM. Mais une fracture de la jambe est passée par là. Il a bossé, énormément. Il a changé, aussi. Aujourd’hui, il mérite sa sélection.


En défense, ma surprise s’appelle Yanga MBiwa. Appeler Sahko, qui ne s’est pas imposé à PSG, me parait impossible. Je ne suis pas fan de Younes Kaboul, dont la solidité est exemplaire, mais c’est tout. Je suis fan de Koscielny. Et pourquoi pas, donc, MBiwa, dans l’optique de préparer la suite et d'assurer le présent ?
Sur les ailes, Debuchy me parait être, de loin, le meilleur. Abidal absent (mais je ne l’aurais pas pris), et Evra exclus, ceux sont deux excellents latéraux gauche qui devront me convaincre. Mon cœur me dirait Mathieu, mais les derniers matchs de Clichy sont juste extraordinaires…


En milieu, le marseillais que je suis exclu Alou Diarra. Il le remplace par Rio Mavuba, énorme. En plus d’être un homme délicieux. Nasri est mon seul offensif, mais les talents techniques de Cabaye, Matuidi, et surtout Balmont mon joker, font que ce pack de milieu n’est pas que solide : il sait aussi jouer au ballon. Avec des gens humainement et professionnellement irréprochable. 
Par contre, Marvin Martin m’est trop léger. Quant à Yohan Gourcuff, non, ce n’est pas possible. Enfin, je suis fan de Benoit Cheyrou, mais la chance est passée…

En attaque, Gameiro, Gomis, Hoarau ou Cissé ont laissé passer leurs chances. Je ne suis pas fan de Menez, mais on ne peut pas ne pas le prendre. Le reste, c’est un flan gauche orphelin de Malouda ou Ribery. Ben Arfa le prendra. S’il ne le peut pas, Menez tournera, il le fait parfaitement à Paris. Ou alors Benzema reviendra dans la zone à gauche, et l’entraineur affichera un 4-3-1-2 sur la feuille de match.

Voilà mes 23 pour l’Euro. Ils ne représentent que mon avis, que mon opinion. Il existe 60 millions de sélectionneurs, et je n’en suis qu’un de plus

lundi 7 mai 2012

Le soleil s'est quand même levé ce matin...

Et il fait très beau aujourd'hui. Et le Ventoux est toujours là, ce qui est également une autre bonne nouvelle.

vendredi 4 mai 2012

La fin du film


Normalement, Nicolas Sarkozy perdra dimanche l’élection présidentielle. Écrire cela me semble plus juste que de dire que François Hollande l’aura gagné, quoique la campagne de ce dernier, sur les derniers jours, aura été d’une bien meilleure qualité.

J’aurais beaucoup de choses à écrire ce matin, et énormément de choses se bousculent dans ma petite tête d’électeur normalement de droite. Le souci, lorsqu’on blogue peu, c’est qu’énormément d’idées et de points que l’on voudrait évoquer s’entrechoquent. Au risque de rendre le billet illisible. Mes professeurs de blog me disaient souvent « une idée, un billet ». Là, une nouvelle fois, ils seront en colère vis-à-vis de leur élève…

Nicolas Sarkozy donc. Sa défaite, probable, dimanche soir, sanctionne à mes yeux plusieurs choses. Un mandat général d’abord. Évidemment que le bilan n’est pas excellent. Il est moins pire que ce que le caricature la gauche dans sa campagne militante, mais il est en deça des espérances nées de 2007.
Pour autant, je ne perds pas de vue que depuis deux ans, c’est la fête des sortants en Europe. La gauche, qui a perdu en Espagne, au Portugal, en Grece, en Angleterre, en Irlande, ne devrait pas perdre cela de vue. C’est aussi pour cela que je parle plus de la défaite de l’un que de la victoire de l’autre.

Le mandat sur le fond, c’est une chose. Si elle est sanctionnée, elle ne la sera pas plus que dans les autres pays qui ont sanctionné la gestion du pouvoir socialiste en place. Par contre, je pense que la forme du mandat de Nicolas Sarkozy sera le point qui aura fait le lit de sa défaite.
Je parle souvent de l’affaire Jean Sarkozy et EPAD. J’ai l’impression que cela reste le début de la fin, parce que cela a montré une totale déconnexion entre le pouvoir et « la France d’en bas », pour rendre à Raffarin et à cette droite là l’hommage qu’ils méritent. Le manque de classe de la manière d’exercer le pouvoir de la part de la présidence et de l’UMP officielle des Copé, Lefebvre ou Morano faisant le reste. 

Il est facile d’en venir ensuite sur la campagne elle-même. J’ai toujours réprouvé les campagnes à la la salaud, où on fait pire que mépriser l’adversaire : où on l’insulte et le traine dans la boue. Parce que l’électeur lambda, il déteste ça. J’ai toujours affirmé ici que les sorties d’Accoyer, Morano, Copé dernièrement, Lefebvre avant lui, seront sanctionnés dans les urnes. Je n’éprouve aucun plaisir à avoir eu raison…
La campagne du clan UMP a été une mauvaise campagne. Je ne parle pas de l’inflexion très à droite de Sarkozy : qu’il veuille récupérer les voix qui se sont portés sur Le Pen ne me choque pas. Tout le monde veut récupérer des voix. Les indignations sélectives de la gauche qui instrumentalise le FN espérant le faire monter et affaiblir la droite républicaine, ne méritent pas grand commentaire. Mais les outrances d’un Montebourg qui traite Sarkozy de candidat d’extrême droite, où les sorties toujours lefebvrienne d’un Benoit Hamon, ont eu finalement peu d’échos face au tintamarre d’une UMP officielle qui se sera vautrée dans une campagne ras de caniveau. 
J’en suis pour ma part assez triste, parce que j’espérais mieux, bien mieux.

Une défaite de Nicolas Sarkozy, probable dimanche soir, montrerait l’inefficacité d’une telle manière de faire campagne. Militer en insultant les autres, en cherchant perpétuellement à les dénigrer et à les provoquer, ça ne marche pas. Évidemment que la gauche n’a cessé de faire ça durant le mandat de Sarkozy. Mais pendant la campagne, c’était assourdissant du coté Sarkozy. Ça ne plait pas à l’électeur. Qui attendait autre chose.

Pour autant, je ne voterais pas François Hollande dimanche. Si j’en avais eu l’occasion, l’image du meeting (je ne sais plus lequel) où le premier rang montraient côte à côte Eva Joly, Martine Aubry et Harlem Desir me dissuade. Je n’oublie que voter Hollande, c’est aussi voter pour une majorité que je ne veux pas. Je n’aime pas Copé, mais je le préfère à Montebourg. Je ne suis pas fan de Morano, mais je la préfère à Eva Joly et ses amis verts.
Et puis je n’ai aucune confiance en les socialistes pour « moraliser » la vie politique, chose nécessaire. Je n’ai aucune confiance en ces gens là, qui de Reims à Marseille en passant les parachutages en veux tu en voilà, ne m’ont jamais rien prouvé. Sinon que je ne partage leur vision de ce qu’est la politique.

Il n’empêche. Si François Hollande est élu, je lui souhaiterais bonne chance. Je ne serai pas « groggy ». Pas ravi non plus. Mais ce qui m’importe, c’est que mon bébé faucon puisse vivre dans un pays en bonne santé. Je ne fais aucune confiance en Hollande, Aubry, Joly & co pour faire mieux que Sarkozy et sa bande. Mais s’ils doivent exercer le pouvoir, j’espère qu’ils feront des choses positives.
En tous cas, sur ce modeste personnel qu’est mon blog, je n’hésiterai pas à écrire tout le mal que je pense d’eux s’ils m’en donnent l’occasion. Je pense que du mal et des critiques d’Hollande et des socialistes, je n’en lirai pas des tonnes sur le net…

Mais quoi qu’il en soit, de la même manière qu’en 2007, le vainqueur de 2012 le sera avec un peu moins de la moitié des électeurs qui n’ont pas voté pour lui. Et davantage qu’en 2007, il exercera le pouvoir dans un pays divisé. Ca ne sera pas facile pour lui. Et ça risque d’être difficile pour nous.

Qui que soit le vainqueur, j’ai toujours exprimé ici un pessimisme très fort. Je crains que ce dernier perdure lundi matin, et pendant bien longtemps…

mercredi 2 mai 2012

L'OM a gagné ! (Miracle)

Ce soir, l'OM gagne. J'en suis ravi. C'était inespéré.
Queen en avait écrit une chanson...

Un miracle... Si la droite gagne dimanche, on en aurait un autre, de miracle...


(sinon, c'est moi ou ça devient pénible de publier une vidéo sur Blogger avec la nouvelle version ?)

mardi 1 mai 2012

Jean-Michel Aulas continue à prendre les gens pour des cons

Suite aux insultes des joueurs lyonnais vis à vis des stéphanois, nous avons eu bien le communiqué officiel de l'OL. Qui était déjà, comme d'habitude, consternant. Ce n'était rien face aux déclarations de Jean-Michel Aulas, qui prend vraiment les gens pour des cons.
"« bâtard », dans le dictionnaire, est un enfant issu d’un couple non marié, ce n’est pas une insulte. Il n’y a pas eu d’insulte, simplement une joie excessive. Le Larousse fera foi devant les gens qui se sentent émus."

OK. Batard n'est donc pas une insulte... Mais Jean-Michel Aulas ne s'arrête pas là. Une demi-douzaine de ses joueurs risquent une suspension. Comme le marseillais Taiwo qui l'an passé, avait, dans un même "élan de joie excessive", insulté le PSG (en enculant les parisiens). Jean-Michel Aulas donc :
"Taiwo, ça n’avait rien à voir, c’était dans un stade. Là, il n’y a pas eu d’insulte". Dans un stade, on n'a pas le droit d'insulter les gens. Par contre, on aurait le droit de le faire sur la terrasse d'une mairie ?

Sans prendre le Petit Robert pour regarder la définition "d"enculer" (une insulte ou un simple verbe exprimant une action de pénétration anale entrant dans le cadre d'un acte sexuel consenti ?), Aulas a raison sur un point. Taiwo et ses joueurs, deux cas qui n'ont rien à voir. Car les joueurs lyonnais ont insulté une population depuis la terrasse d'une mairie, dans une maison de la république. C'est pire

J'aime bien la réaction de Laurent Davenas, président du comité national de l'éthique.  « Dire bâtard, dans le langage courant, c'est insulter me semble-t-il. Dans le sens commun, si vous traitez quelqu'un de bâtard, c'est que vous cherchez à l'insulter. À moins que les joueurs de l’OL soient des lecteurs assidus du Littré ».
J'adore... Enfin, prendre les gens pour les cons, il semble que c'est à Lyon qu'ils ont commencé...

Que cette demi-douzaine de joueurs soient sévèrement sanctionnés en cette fin de saison. En vertu de la jurisprudence Taiwo et du respect des gens.
Et que Lyon ne joue pas la ligue des champions l'an prochain. Le football en sortira grandit....

Un petit club, et un tout petit petit président, vraiment... 

Et c'est dommage... Je pense à mes amis lyonnais, à un en particulier (je t'embrasse Alex). Ils ne méritent pas ça...

L'Olympique lyonnais, un petit club...

Et si l'Olympique lyonnais était enfin sanctionnée ?

L'année dernière, suite à la victoire en Coupe de Ligue, le Marseillais Taiwe Taiwo s'était laissé allé à quelques champs moqueurs, voire insultants, vis à vis du PSG. L'émoi fut général. Les supporters choqués. La France du foot émue. Les éditorialistes et journalistes sportifs qui, d'une seule voix, demandèrent presque les oreilles et la queue du joueur marseillais.
Appréciez "the voice" de l'ancien défenseur marseillais (ça agresse un peu les tympans quand même).
Il été suspendu deux matchs.

Aujourd'hui, victoire en Coupe de France, face à la redoutable équipe de Quevily (brr j'ai peur). Et ce n'est pas un, mais au moins 6 joueurs lyonnais, qui s'en vont chanter, sur l'hotel de la mairie de Lyon, un chant insultant vis à vis du voisin de St Etienne. Qui lui non plus n'a pas demandé à être injurié par des joueurs aussi importants que Cris (le capitaine), Briand ou Gonalons (des internationaux), Lacazette, Umtiti, Grenier.
Il est mignon le chant : "emmenez moi, à Geoffroy Guichard, emmenez moi au pays des batards". Le pays de ma femme, dites donc...
Quand je vois le tolé provoqué l'an passé par le chant très con de Taiwo, j'attends au moins autant de sévérité de la part des commissions de discipline, habituellement très souple quand il s'agit de sanctionner Jean-Michel Aulas et ses nombreux dérapages, ou l'Olympique lyonnais.

Vous me direz "oui, mais suspendre six joueurs de Lyon à la fin du championnat, ça va le fausser". Mais on s'en moque de ça. D'abord Jean-Michel Aulas l'a dit lui même : "ce ne sera pas un échec si Lyon n'est pas en Ligue des Champions". Évidemment... 
Aulas qui, tel ses joueurs qui insultent d'autres équipes, n'a pu s'empêcher de déverser son fiel perpetuel sur d'autres clubs, crachant sur Lille et Rennes, et leurs mauvais résultats en Ligue Europa. Parler de son club en crachant sur tous les autres autours, jusqu'à se faire finalement détester de l'ensemble du football français, ça c'est une preuve de belle gestion...

Non, Olympique Lyonnais n'est pas encore un grand club. Loin de là. Des petits dirigeants, pleins de fiels et d'aigreur. Des petits joueurs, pas tant dans les actes (quoique de Nicoisie c'était marrant), mais dans les têtes et les paroles...
C'est dommage : y aurait beaucoup pour faire de l'OL un club populaire. Mais ce n'est sans doute plus l'ambition de Jean-Michel Aulas. Qui devrait faire attention : la vieuconisation arrive souvent plus vite qu'on ne le croit...

lundi 30 avril 2012

Joyeux anniversaire, et pitoyable polémique...

La polémique à la con du jour, c’est cette chouille d’anniversaire de Julien Dray. Et l’invité surprise, Dominique Strauss-Kahn.

Oui, de la part de Julien Dray, à une semaine du deuxième tour, faire une fête dans un restau branchouille, c’est très moyennas. C’est sans doute pas le Fouquet’s, mais les bons moments de la gauche caviar ne sont pas loin. Et ramener DSK dans le jeu est sans doute maladroit.

Pourtant, la polémique qui en découle est profondément ridicule. Et elle me gêne. Pour plusieurs raisons.

D’abord, que l’homme Julien Dray soit fidèle en amitié est une qualité à mes yeux. Dominique Strauss-Kahn vomi à ce point par ce qui était normalement ses « amis », cela me met très mal à l’aise.  « Belle hypocrisie » dit Vallenain. Ca va même au-delà de l’hypocrisie.
Je n’ai jamais aimé les lynchages. Que le lynchés ce soit appelé Julien Dray (déjà) y a quelques années, Eric Woerth, aujourd’hui DSK. Ce dernier est sous le coup d’enquête. Peut-être sera-t-il jugé coupable. Peut-être fera-t-il de la prison. Que faudrait-il de plus ? Qu’il reçoive des coups de pieds dans la tête en direct sur une chaine de grande écoute ?

La réaction de Ségolène Royal par exemple, jamais la dernière dans les colères sur-jouées et sélectives. « Je ne veux pas rencontrer cet homme, par respect pour les femmes ». Pourquoi pas ? Elle est écœurante, mais cela ne sera pas la première fois (et quelque chose me dit que ce ne sera pas la dernière). Elle joue son rôle, Ségolène Royal. Elle se montre aussi méprisable que celui qu’elle méprise.
Et Nicolas Sarkozy. Il a raison quand il dit « Imaginez une seconde que ce soit mon directeur de campagne et ma porte-parole ! ». Ben oui, la gauche serait partie dans des salves d’indignation montées en épingle, et aussi ridicules que les commentaires de Sarkozy et de l’UMP sur cette affaire. 
Oui, Julien Dray a sans doute été maladroit. Mais non, cela ne mérite pas de faire une affaire politique de cette histoire-là.

Et au final, cela me conforte mon opinion sur l’homme Julien Dray, qui me semble être quelqu’un d’intègre et de fidèle. Je ne partage pas tous ses combats, loin de là. Mais que ce mec invite ses amis à son anniversaire me le rend sympathique.

On crache sur DSK et Julien Dray, on traite Sarkozy de « candidat d’extrême droite », on fait siffler les journalistes… C’est bien… Mais plutôt que de continuer à se vautrer dans la petitesse, ça serait peut-être bien de faire une fin de campagne un peu digne. 
Juste pour la France et les français, qui savent qu’ils vont continuer à souffrir (sans doute davantage) après l’élection. Et qui peut-être méritent un autre spectacle…

dimanche 29 avril 2012

Albator est triste ce matin

Eric Charden est mort ce matin m'apprend mon iPhone. Pour beaucoup, Charden, c'était le copain de Stone. Pour moi, c'était la voix d'Albator.
L'équipage de l'Atlantis (ou Arcadia) doit être triste aujourd'hui... En bonus track, le générique de 1984. La série que je connaissais un peu mieux... Récré A2 c'est bien quand on a 7 ans.

samedi 28 avril 2012

Le billet le plus haut du monde

(je triche un peu : le wifi marche mal en vol)


Retour en France (mais toujours long la récupération des valises...)

- Posted using BlogPress from my iPhone

Promenons le chat...

Surprenante rencontre à Lisbonne, vers Belem... Le tramway nous ramène au centre, et sur le bord de la route, un homme promène son chat en laisse...

J'ai adoré...

jeudi 26 avril 2012

Le réchauffement climatique, c'est moche...

(c'est con aussi, mais ça m'a amusé...)

(mais temps de merde qui fait à Lisbonne m'amuse moins par contre...)

mercredi 25 avril 2012

Lisbonne sous la pluie, c'est joli (mais...)

Il pleut à Lisbonne. La ville reste jolie, mais il pleut. Pluie fine, un petit crachin bien breton ou normand. Mais ce n’est pas Cherbourg, c’est Lisbonne.
Un peu de frustration. J’imaginais un Lisbonne tout chaud et tout beau. Mais si aujourd’hui est frais et humide, c’est beau comme ville, délicieux même. Un coté Marseille qui m’est très sympathique. Un coté seulement, parce que c’est drôlement dépaysant.

En tous cas, pendant que je suis à Lisbonne, je ne suis pas l’actualité politique du moment. En ce moment, au bar de l’hôtel, la télé passe une rediffusion d’un match du calcio d’hier soir, avant de nous jouer un alléchant Real – Bayern de Munich. Sans doute le restaurant qui nous accueillera nous proposera une télévision en fond, pendant que nous dégusterons bacalhaus, ginjas, et une Sagres en pensant à une Comète où l’heure doit bientôt être à l’apéro…

Sinon, rien de plus. Demain, nous irons voir des musées si le temps reste au crachin. Nous avons bien pris aujourd’hui le pouls de la ville, j’en suis content.

Le reste ? Je ne sais pas ce qui se passe en France. Quelque part, je m’en moque. Je sais que les <strike>supporters</strike> crétins qui se prétendent supporters de l’OM refont une grève des encouragements (ils sont vexés que les entrainements de l’équipe se fassent à huis clos, quels minables…). 
Et j’imagine que la campagne du deuxième tour doit être un exemple de tolérance et de démocratie apaisée…

Et sinon, je lève la modération des commentaires tiens… En fait, ça m’emmerde plus qu’autres choses. Et je sais avoir des amis de blogs qui s’occuperont  bien de ma maison en mon absence, quand bien même nos votes et opinions ne soient pas toujours les mêmes.

La suite au prochain épisode (là, je vais boire une bière portugaise).