vendredi 14 mars 2014

Une belle nouvelle pour le football #Anelka

En triant les photos sur iphone est tombée cette merveilleuse nouvelle. Pour la morale et le football.
N'entendons plus parler de ce personnage. Le football s'en portera mieux. 
Et peut être même au delà du football...

jeudi 13 mars 2014

Jolis bords du Rhône (et moins jolies choses)

Joli soir de Mars. Jolie petit jogging au bord du Rhône, après une jolie journée à donner un joli cours à Valence (oui, j'enseigne). Joli soleil. Jolie journée de Mars.

Dans toute la France, y compris dans le Nord. Ça donne des jolies images...


Joli est un joli mot d'ailleurs. Autant je ne supportais pas Eva Joly (qui a disparu et c'est bien), autant j'aime beaucoup le mot "joli". J'aime bien le mot "mignon" aussi. Moins le mot "beau". Mais aujourd'hui, dans ce billet qui ne sert à rien, j'utilise et abuse du mot "joli". C'est bien.
Ce qui est décidément moins joli, c'est l'ambiance politique pourrie. Je vois que les blogs militants de gauche que je suis s'amusent bien. Bien évidemment c'est la faute à la droite, à Copé, à Sarkozy.
Cela répond aux quelques blogs de droite (il y en a moins) dans mon reader. Fatalement, c'est de la faute de la gauche et du pouvoir.

Et à coté fusent les noms d'oiseau au niveau du pouvoir. Je viens de voir que Sapin traite Sarkozy de "pervers". On racle le fond du faitout.


En foot, pour casser la dynamique de l'équipe adverse, il est de bon ton de "pourrir le jeu". A quelques jours des municipales, c'est une technique comme une autre, de "pourrir le jeu". C'est dommage : ça aurait bien une ambiance "normale" pour ces élections municipales, les premières grandes élections depuis 2012. C'est dommage.
C'est de la faute du camp d'en face, selon que l'on soit du coté du pouvoir ou de l'opposition. C'est dommage. On en reparlera plus tard de la République adulte et apaisée...


C'est moins joli. Alors je préfère aller courir au bord du Rhône. C'est plus joli, et ça fait du bien en plus...

mercredi 12 mars 2014

Poule au pot...

L'ambiance politique est tellement pourrie et nauséabonde. Plutôt que d'attendre la prochaine saloperie qui va sortir (10 jours avant les élections : on aura bien un nouveau seau d'etrons), autant manger, et bien manger.

J'aurais pu mettre cette poule au pot dans ma Table du Faucon. Je la mets sur mon blog premium. C'est bon, une poule au pot...

Avec un Morgon, c'est délicieux...

Pour revenir à l'ambiance politique, Jean-Marc Ayrault à raison quand il dit que "personne n'est dupe". Chacun interprétera les faits et les positions de chacun. Chacun les interprétera. Je ne pense pas que cela sera à l'avantage du pouvoir, dont le quinquennat est bien long, mais ce n'est que mon avis.

Les élections municipales seront pourries. Nous verrons bien ceux que donneront les urnes aux politiques élections européennes... Je parie aujourd'hui une abstention à plus de 50%, le PS en 4ème position, et le FN assez largement en tête. 
Y a t'il un "parions politique" pour que je mette un billet ?

mardi 11 mars 2014

Coupe du Monde canine

Je viens de tomber amoureux de ce billet de l'excellent site Topito. Le Top 10 des chiens de la Coupe du Monde. J'adore...

J'adore le berger allemand, de la NationalMannschaft.
 Le brésilien est à prendre dans ses bras.
Même si le maillot de l'équipe de France me dérange beaucoup, ce bouledogue français est à câliner lui aussi...
 L'équipe nationale du Japon est représentée avec un délicieux Akita... Pensée pour la petite chienne Gallia qui rigolerait bien avec...
 Et je suis fan du chien mexicain.
Un billet qui ne sert à rien, peut être, sans doute. Mais je m'en fous. Parler politique m'est vraiment trop écœurant en ce moment.

lundi 10 mars 2014

Normalement une élection ne doit pas être la guerre (mais...)

Je suis en totale opposition avec l'accroche de cet article du Midi Libre. Une élection, normalement, dans une république adulte, apaisée, normale, une élection ne doit pas être une guerre.
J'ai employé le terme "normal". C'était un argument fort de la dernière présidentielle. Chacun se fera aujourd'hui son opinion sur la situation aujourd'hui... 

Normalement, une élection n'est pas une guerre. Ou alors ça veut dire que nous ne sommes pas bien bien.
J'ai l'impression qu'aujourd'hui, tous est guerre. Il est impossible de discuter normalement. Impossible de discuter politique. Les nerfs sont à vif. L'ambiance est détestable. Une critique n'est plus possible. Tout est bashing, rien n'est débat. Et si on est contre, on est forcément dans des extrêmes. Ou mis dedans par les garants d'un ordre qui devient immoral. 

C'est la faute à tout le monde. Y compris la faute du pouvoir, ceux sont eux les garants des valeurs de la république aujourd'hui. Y compris la faute de l'opposition, qui se doit d'être digne pour être en situation de reprendre le pouvoir.
Y compris la faute de ceux qui s'en foutent. Parce qu'ils s'en foutent. Mais comme ils s'en foutent...

Aujourd'hui, le quotidien régional chez moi se régale et demande du sang sur les murs. Je comprends pourquoi le dimanche, je préfère acheter l'Equipe et Aujourd'hui en France que de dépenser quelques sous pour le Midi-Libre. 
Je pense qu'ils sont a la masse, mais peut être est ce moi qui suit naïf, rêveur, crétin. Peut être que c'est moi qui me trompe.

Je m'en branle. Je préfère continuer à me tromper. Et à imaginer que notre pays peut changer, que nous pouvons changer... 
(même si je n'y crois plus trop)




dimanche 9 mars 2014

Mont Ventoux au sommet

J'ai mis sur mon grenier les photos du Mont Ventoux instangramées. Ici je mets les photos originales, prises au sommet du Mont Ventoux. À la station du Mont Serein.



Un weekend agréable, avant une fin de mois difficile...

Souvenirs d'il y a 6 ans...

Il y a 6 ans aujourd'hui, mon proche ami devenait Maire de mon village. C'était, à l'époque, un des plus beaux jours de ma vie, une joie réelle. Un bonheur que je n'arriverais jamais à écrire. Un peu de plus de 2 ans plus tard cet ami disparaissait d'une manière brutale. 2008 - 2010, Mars m'aura donné deux sentiments extrêmement différents, violents.

Aujourd'hui, je pense très fort à lui. Il me manque. J'aurais aimé que ça soit lui qui me marie. J'aurais aimé qu'il connaisse mes bébés. J'aurais aimé qu'il soit là.
J'avais écrit il y a 6 ans des billets que je relis aujourd'hui avec une certaine émotion. J'écrivait le vendredi avant l'élection un billet intitulé pompeusement "d'un village à la République". J'avais écrit notamment ces ce paragraphe, que je recopie intégralement : 
Le respect de l’autre… Je pense que ceux qui ont fait de la politique savent ce que c’est, le respect de l’autre. Je pense que les démocrates républicains, qui le sont de cœur et pas uniquement de mots, savent ce que cela signifie. On peut ne pas être d'accord, ne pas partager certaines valeurs. Mais le respect permet une démocratie apaisée et efficace. 
Sur d’autres listes de mon village, il y a des amis. Qui l’étaient hier. Et qui le resteront dimanche soir. La haine et l’intolérance politique, c’est le fait des extrêmes, non ?  
J’ajouterai sur ce point que la liste dont je fais parti est un peu à l’image du conseil municipal que je viens de quitter. Politiquement multicolore. Moi, le gaulliste, je côtoie des anciens militants socialistes, proches de la tendance Mitterrand de l’époque. 
 J’ai vu, sur un mandat, que cela fonctionnait très bien, car la coloration politique nationale n’aide en rien en la gestion d’un village. Par contre, avoir une vision partagée sur comment on voit l’avenir de sa commune, c’est je pense un vecteur de réussite. Je le pense au fond de moi, mais je peux me tromper…
J'aurais pu écrire ces lignes aujourd'hui. Malgré un drôle de gout dans la bouche. Un drôle de gout dont je ne parlerai pas. Je n'ai jamais voulu ici parler de mes activités dans mon village. Les 6 ans, je pourrais en écrire des romans, aussi sur ce qu'est un être humain...
J'avais écrit le soir de la victoire de mon ami ce billet court : "Pari gagné". Et le lendemain, un billet un peu plus posé, que j'avais simplement intitulé "Sur un nuage". Simplement... Aujourd'hui, je me souviens, avec de l'émotion. Beaucoup d'émotion...

Six ans, c'est long. Des moments de plaisir, mais aussi de la peine, et de la douleur. La nature humaine, ça fait mal au ventre des fois... La fidélité (en les hommes, en ses valeurs, en ses engagements), j'ai toujours considéré que ça devait être la valeur phare. J'essais de faire en sorte que ça soit la mienne. Simplement

Sinon, il a fait merveilleusement beau ce weekend. Agréable ce printemps qui revient... J'espère qu'il sera agréable et porteuse de belles choses...

samedi 8 mars 2014

IL était une fois les shadoks et Ulysse 31 qui ont perdu leur papa

René Borg est décédé ces derniers jours. Il avait 80 ans. Je trouve que ne c'est pas vieux.

C'était le papa des Shadoks. Aussi d'Ulysse 31, qui était mon dessin animé. J'ai appris la mythologie grecque avec Ulysse, avec de connaitre Seiya et ses chevaliers du Zodiaque.

Depuis que je m'intéresse au milieu de l'animation, René Borg est une sorte d'OVNI pour moi, une étoile, un point important d'une constellation avec des gens aussi différents que Jean Chalopin, Masami Kurumada, Akira Toriyama, Hayao Kiyasaki, Yuki Kajiura etc... Un monde qui est un peu le mien.
En l’occurrence ce soir, où j'apprends la nouvelle, un monde de souvenirs.

J'ai toujours l'impression ici que les jeunes supporters de l'OM ont pensé que l'histoire de leur club a commencé avec Drogba. Ils se trompent autant que ceux qui croient que l'animation japonaise qui est ultraprésente dans notre pays a commencé avec Naruto, ou le seul Akira à une époque qu'ils ne peuvent pas connaitre...

Ben non. René Borg était de ceux qui ont lancé l'animation chez nous, avec des Shadoks et des Ulysses, entre autres, qui ont fait que nous avons ensuite rejoint Seiya et San Goku sur un grand condor tout en or...

Je connaissais le nom de René Borg, je ne l'ai jamais vu, jamais rencontré. Mais bêtement, j'ai envie de lui dire merci. Il a été un pionnier. Il a été important pour nous. Merci René... Merci.
Même Nono le petit robot est malheureux...

Sinon, c'était aussi le papa des Wattoo-Wattoo... Et plus important pour moi, des il était une fois l'histoire, il était une fois la vie, il était une fois l'homme... Ces DVD que j'ai acheté à mon bébé, parce que je veux qu'il les ai, qu'il les voit, qu'il les aime autant que son papa...

Et puis ce moment superbe, ce générique de "il était une fois l'Espace"
 Il était une fois Ulysse, des Shadoks, des hommes, qui ont perdu leur papa. Et ce papa a fait énormément, lui et d'autres, pour cette animation dont je suis fan.

René Borg, merci. 

vendredi 7 mars 2014

jeudi 6 mars 2014

Économiser sa batterie d'iPhone c'est important #iPhone

C'est pour ça que demain je vais au Mont Ventoux avec bébé...

(avec le soucis qu'avec l'iPhone, je vais prendre pléthore de photos... Il vaut mieux faire comme Nicolas et investir dans une batterie de secours)

Tomber sur un Buisson ou un Belkacemi

Tout a été dit sur l’affaire Buisson. Je ne rajouterai rien. Sinon que cela ajoute à mon écœurement, déjà très fort par un début d’année qui a commencé sur les chapeaux de roue. Je n’avais déjà pas une grande affection pour Patrick Buisson auparavant. Aujourd’hui…

Je me souviens de « l’affaire des quotas » en équipe de France. L’affaire où Laurent Blanc et quelques responsables avaient été enregistrés à leurs insu par le sinistre Mohamed Belkacemi. Qui avait ensuite transmis l’enregistrement pirate à Médiapart, qui s’était empressé d’en faire une affaire. 
Alors que pour moi la véritable affaire, le véritable scandale, c’était qu’une personne puisse enregistrer des personnes sans leurs consentements, pour leur voler des paroles, et ensuite en faire une utilisation plus ou moins morale.
J’avais, à cette époque, apporté un soutiens total et sans ambiguïté à Laurent Blanc et son staff. J’avais exprimé mon dégoût vis à vis de ce Mohamed Belkacemi, qui s’était livré à des actions assez méprisables.

J’avais écrit un billet : « l’espionnage et la délation font elles parties du travail ». Ce triste personnage, Mohamed Belkacemi, avait sorti l’argument suivant « je n’ai fait que mon travail ». Quelque part Patrick Buisson pourrait également sortir cet argument délirant : il n’en resterait pas moins abject.

Finalement, nous pourrions tous tomber sur des Mohamed Belkacemi ou des Patrick Buisson. Se faire enregistrer malgré nous, se faire voler nos propos.
Tout à l’heure, à la machine à café, je disais des conneries. Je racontais la blague du papa ours qui dit à ses enfants ours « pour faire les enfants, le papa met une graine sur le ventre de la maman, et il la pousse dedans le ventre avec sa grosse bite ». J’aurais pu être enregistré… Nous aurions pu être enregistrés, car nous étions plusieurs. La personne avec l’enregistrement n’en aurait rien fait. Mais ça m’aurait emmerdé.

Quand j’ai des discussions plus sérieuses dans mon bureau, ou à la mairie, c’est pareil. Je pourrais tomber sur une personne que je pense connaitre, qui pourrait me faire un coup à la Buisson. C’est presque effrayant à bien y penser. C’est effrayant.



Je n’arrive pas, plus, à rire de ces histoires… Je laisse à d'autres le soin d'en tirer des conclusions politiques ou politiciennes, d'en faire une instrumentalisation militante. Mon seul sentiment est une nausée qui ne passe pas, depuis un bon moment. Je suis peut être malade.
Ou bien est ce notre époque qui l'est, malade...

mercredi 5 mars 2014

Equipe de France : un nouveau maillot laid (insultons nos couleurs)

Excellent article des Cahiers du Football sur ce nouveau maillot laid de l'équipe de France de football.
Laid et indigne : il m'est insupportable de voir comment un équipementier (Nike en l’occurrence) s'assit sur les couleurs et l'histoire de l'Equipe de France. Et insupportable de voir que le Président Le Graet laisse faire, et que tout ce football français réellement à la masse ne dit rien.

Je retiens ce passage de l'article : "Nike avait surenchéri en commençant par supprimer... sa couleur traditionnelle. Depuis, les Bleus sont gris bleu. Le genre de liberté qu'aucune fédération majeure ne tolérerait pour son équipe nationale mais sur laquelle la nôtre a fermé les yeux. Contre 43 millions d'euros annuels, l'équipementier peut s'offrir les fantaisies qu'il souhaite"
Le football français est décidément foutu...

mardi 4 mars 2014

Un numéro masqué m'appelle...

Je viens de recevoir ça en réunion. Je ris comme un cochon (devant des yeux affligés...)
C'est drôle...

lundi 3 mars 2014

César, ce camp qui brûle...

Je suis tombé samedi sur ce très bon article dans le Figaro : "Ras-le-bol des Césars : une nouvelle preuve de la coupure entre les élites et le peuple". Qui exprimait bien ce que je ressentais, lorsque tous les flashs infos de samedi nous montraient le "triomphe" de Guillaume Gallienne "de la Comédie française" et de tous ces grands artistes de films que le grand plouc que je suis ne connais pas...
(je me souviens que Guillaume Gallienne "de la Comédie Française" faisait un truc que je trouvais consternant au Grand Journal, et qui passait un peu avant Omar et Fred...)

Je me méfie évidemment toujours de ceux qui prétendent s'exprimer au nom du "peuple". Mais cet article, qui montrait que les audiences de cette cérémonie ne cessaient de baisser d'années en années, m'a intéressé.

Avec le bémol que finalement que chacun a ses propres préférences, et c'est très bien.
Le PSG - OM d'hier soir m'a sans doute autant intéressé qu'il a emmerdé certains qui ne supportent pas le foot. Et sans doute certains ont été ulcérés de la couverture des Jeux Olympiques d'hiver (qui ne m'ont guère passionné il faut reconnaître). Chacun ses goûts et ses centre d’intérêts après tout...

Tout ça m'a rappelé cet excellent sketch des Inconnus... 
Tant qu'on peut en rigoler. Rigolons en.

Opaque transparence...

Pour répondre aux déclarations du Point qui le mettent en cause, Jean-François Copé sort donc l'argument de la "transparence". En "exigeant" la transparence à tous les partis politiques. 
C'est délirant que ce soit Jean-François Copé, président de parti "élu" suite à une élection interne catastrophique où l'honnêteté n'est pas sortie grandie, qui fasse cette proposition. C'est le munster qui trouve que le brie pue. C'est n'importe quoi...

Le politique politicienne m’écœure tous les jours un peu plus. Jean-François Copé vient donner des leçons de transparence. Après la manière dont il a pris le pouvoir à l'UMP, c'est lamentable.
Les dernières élections internes dans les deux principaux partis politiques républicains du pays ont donné lieu à des spectacles navrants, où il est difficile de savoir qui des camps Aubry ou Copé ont le plus truandé et bourré les urnes. C'est terrifiant... Et aujourd'hui, Copé vient nous parler de "transparence" ? Je n'ose attendre la réaction officielle de Harlem Désir...
Je suis écœuré. Simplement écœuré. 

J'espère que Jean-François Copé sera poussé vers la sortie après les élections municipales. Et que la droite républicaine se reconstruira autour de personnalités crédibles, dignes et sérieuses. Cela ne pourra pas se faire avec Copé et son équipe...
Sur le reste, je pense qu'avec cette classe politique, ce pays est foutu. Peu de signaux positifs dans les radars...

(PS : j'ai lu la semaine dernière des articles sur des gens de droite qui se plaignent d'un "Copé-bashing"... J'ai déjà dit ce que je pensais de cet argument... Visiblement ça va être un des mots à la mode de 2014. Je trouve ça dommage...)