jeudi 5 novembre 2015

Benzema et équipe de France

Ne pas tirer sur l’ambulance Benzema. Mais quand même. Le fait qu’il soit aujourd’hui déféré devant un juge pour l’histoire du chantage sur un joueur de son équipe (belle mentalité) n’enlève rien à l’analyse qu’on peut se faire sur un joueur qui porte le maillot de l’équipe de France.

Didier Deschamps doit donner une liste pour des matchs amicaux. Il me paraitrait logique que le nom de Karim Benzema ne soit pas cité. Logique, et très souhaitable.

Sportivement, Karim Benzema n’a jamais rien apporté à l’équipe de France. Sinon des questions. Il parait que c’est le joueur le plus talentueux du groupe ? L’équipe joue mieux quand c’est Giroud qui joue en pointe. Et si un Gameiro, un Gomis ou même un Gignac était à cette place, cela serait la même chose.
Humainement et symboliquement, je n’ai jamais porté une immense estime pour l’homme. Pour pleins de raison. Dernièrement, ses postures avec la mise en avant de sa proximité humaine avec son ami Bouba (pas le petit ourson mais l’autre pas très Charlie) me dérangent. Clairement, cela me dérange que des gens comme ça portent le maillot de l’équipe de France. Même si avant un Nicolas Anelka l’avait fortement souillé, ce même maillot...

Sur le reste de la liste de Didier Deschamps, j’écouterai les noms sans grand espoir. J’aime Didier Deschamps, mais je n’accepte plus ses choix. Je parle moins de sportifs que de choix d’homme. J’avais parlé l’an dernier des sélections de Fekir ou de N’Tep. On pourrait rappeler que Sagna ou Evra demeurent des piliers. C’est un peu affolant. Et surtout désolant.
Sportivement, je déplore que défensivement, on privilégie des Sakho ou Zouma au détriment de joueurs de football comme Matthieu ou Perrin.


J’ai commencé sur Benzema pour finir sur l’équipe de France d’une manière générale. Mais je pourrais parler aussi du football français, bien malade lui aussi. N’est-il pas à l’image de la société de notre pays finalement, pas en forme du tout ?

mercredi 4 novembre 2015

Mon bébé est un artiste

L'autoportrait témoigne d'une estime de soi assez spéciale. Mais bon... Si je devais faire le mien d'auto-portait, je serais sans doute bien maladroit moi aussi...

Mon bébé est un artiste particulier, avec un univers bien à lui... Et je l'aime. 

J'aime aussi l'autre, mais il est trop petit pour dessiner. Alors il lit (enfin, on lui lit) Mickey. 

Moi je dessine magnifiquement les têtes à Toto. Et les bites aussi. Mais comme je suis très perso (de droite, je ne partage pas, c'est bien connu), je garderai mon art pour moi...

Sinon j'aurais pu avoir envie de parler de politique. Notamment des derniers trucs que j'ai lu de Cambadelis (dont son adversaire est "la droite et l'extrême droite", padamalgame surtout sauf quand ça peut servir électoralement), ou de Valls qui reparle opportunément du vote des étrangers à quelques semaines d'une élection où ses amis peuvent perdre beaucoup de places...

Mais c'est mieux de mettre en avant ce que font mes bébés. Ca ne me fait pas de mal au ventre.

Et ça rappelle que dans mon modeste parcours politique, j'ai fait des choses dont je peux être fier, et ne pas avoir honte. Bien des personnes (que je qualifierais de manière insultante si j'allais plus loin...) ne pourraient pas avoir les sentiments et la sérénité que j'ai.
Mais malheureusement je crains qu'ils s'en branlent complètement, de l'honneur personnel ou de valeurs à la con de ce genre...

Tant pis.

dimanche 1 novembre 2015

Croix sur le Rhône

Je suis retourné courir du côté de Chateauneuf du pape ce matin. Chaleur quasi estivale, malgré les couleurs or et sang dans la nature.

Je suis tombé sur cette croix, au milieu de rien, en face du Rhône qui s'écoule paisiblement. 

J'aime les croix. Et j'adore quand elles sont mises par les hommes au milieu de rien. Nous devrions être davantage fiers de nos racines chrétiennes, car elles nous ont aussi permis d'évoluer humainement vers des choses sympas... 
Il y a des choses très belles dans nos valeurs et dans notre histoire. De très belles...
Je ne suis pas allé saluer les gens que j'aimais qui ont eu la mauvaise idée de nous quitter aujourd'hui. Je n'ai pas eu envie de faire le tour des cimetières. Je préfère aller embrasser la tombe de mon papy, de mon tonton ou de mon ami Guy (ils ne sont pas loin tous les deux) quand je rentre de courir, quand j'ai envie de les voir. Pas aujourd'hui, trop de monde. Et en ce moment, je n'ai pas envie de voir du monde.

Mais aujourd'hui, j'ai pensé à mon papy, à mon tonton, à mon ami qui fut éphémèrement mon maire, à mon ami Ronron, à ma copine de Grenoble, aux papas de mes amis vignerons... J'y ai pensé aujourd'hui, mais j'y pense tous les jours. 
J'y suis attaché, à la journée de la Toussaint. Mais les gens que j'aimais qui sont partis, j'y pense tous les autres jours. 

Et je me dis bien souvent que si j'ai eu la chance d'être confronté tard à la mort de mes proches, la machine s'est bien emballée ces derniers moments. Un autre symbole, ou plutôt une preuve concrète, du temps qui passe. Et que je vieillis.

Sinon, j'avais des indignations sur des déclarations politiques ce week-end. Mais ce n'est pas le bon billet pour ça. 
Je dénoncerai l'outrance abjecte des porte parole ou député du PS un autre jour. J'en profiterai aussi pour dire tout le bien que je pense de mon député (socialiste lui aussi), dont les prises de position officielles cette semaine m'ont rendu heureux, et fier.

Mais je le ferai sur un autre billet... (ou pas)

samedi 31 octobre 2015

Du sang et de l'or devant le Ventoux

Promenade ce matin dans les vignes de Tavel. Spectacle merveilleux d'une mer de vignes sang et or devant le Ventoux. 

Impression que c'est le meilleur moment de l'année. Les couleurs sont fabuleuses. La nature est magnifique. 

La vigne de Tavel est colorée, les vendanges sont finies. La vigne a donné ce qu'elle avait. Maintenant elle nous donne ces couleurs de l'automne. 

Et le Mont Ventoux est toujours aussi beau sinon. Merci pour lui...



mardi 27 octobre 2015

Alors, on mange quoi ?

J'ai bien aimé la question de C dans l'air aujourd'hui. On mange quoi, si tout est dangereux ?

On en discutait à midi. Rien que le fait de vivre est déjà un danger. Vivre, c'est fortement dangereux. Puisque normalement à la fin, la vie est toujours une histoire qui ne se finit pas très bien...

Alors en cette soirée de pluie et d'épisode cévenol, Falconette m'a fait un burger. Très bon.

Et avant, le Cardhu etait très bien. Sans doute sanitairement contestable, mais merde...

Elle m'a quand même copieusement cassé les roues cette histoire de viande et de charcuterie cancérigène... 

dimanche 25 octobre 2015

Du haut de la Tour Philippe le Bel (Villeneuve-lès-Avignon)

Retour tout en haut de la ville voisine d'Avignon, pile en face du Palais des Papes. D'ailleurs, il parait que le Pont d'Avignon rejoignait cette Tour Philippe le Bel avec le Palais des Papes, à l'époque. 

Depuis le haut de la Tour, la vue du Palais est magnifique. Nous sommes vraiment en face d'Avignon.


Le Wikipedia de la Tour Philippe le Bel rappelle (ou apprends) quelques trucs sur cet endroit sympathique. Elle date de 1185 (vieille). Et puis finalement pas grand chose, la page est en fait très sibylline...

On apprend par ailleurs que cette Tour défendait l'accès au Rhône, coté Gard. Enfin, coté rive droite, parce que j'imagine que Gard et Vaucluse étaient des notions assez loin des esprits des Papes qui ont régné sur notre monde chrétien à cette époque là. 

Pour autant, depuis le sommet de la Tour Philippe le Bel, on apercevait déjà le Mont Ventoux par beau temps. Il était là bien avant les Papes et les hommes. Et on devinait sans nul doute la Camargue plus au sud. 


Un joli endroit. A voir, à visiter. Même avec des bébés (cela se monte, nos ancêtres n'avaient pas encore été inventifs sur les ascenseurs, ils viendront plus tard avec M. Otis). 


Les bords du Rhône ont pleins de jolis endroits à faire découvrir. Villeneuve-lès-Avignon en est un .





samedi 24 octobre 2015

Châteauneuf du Pape automnal

Et panoramique.

Quelques photos du village aussi. Le célèbre château (enfin ce qu'il est reste...) qui,domine la ville.


Et à l'intérieur du village, l'église et l'hôtel de ville. 


Et tout autour, des vignes qui commencent à se parer des couleurs de l'automne.


Marche ce matin. Le dos a tenu cette fois. Le ventre aussi. C'est bien...





vendredi 23 octobre 2015

Pareil que Manuel Valls

Moi aussi je regrette.

Moi aussi je regrette le sentiment d'acharnement fiscal (et d'injustice) que j'ai l'impression de subir. Je le déplore, et je le regrette.

J’espérerais que ces regrets s'accompagneront d'actions. Je n'y crois pas.

Dans la série des propositions que j'ai envie de faire à l'opposition de droite républicaine (que je souhaite revoir vite venir au pouvoir), il y aurait d'autres abrogations. Revenir sur les mesures punitives sur la fiscalité familiale (allocations, quotient familial...). Qui ont rajouté un poids sur les familles déjà lourdement pénalisé par les hausses d'impôts, et qui sont celles qui contribuent déjà largement à la solidarité familiale.

Mais je suis d'accord avec Manuel Valls. Cela me ravi. 

jeudi 22 octobre 2015

Une République tétanisée devant la violence ?

J’ai souvent écrit sur cette République bafouée par des collectifs (communautaires ou non) impunis. Et ce bien avant les scènes délirantes des gens du voyage sur l’autoroute A1 (toujours aucune interpellation…) ou cette semaine à Castres ou à Moirans

Je me souviens de l’an passé, où mon village avait été mis à sac par des jeunes bandes de délinquants. De ces émeutes à Paris lors de ces manifestations pro-Palestine, où une certaine gauche défilait derrière des slogans antisémites haineux, et des drapeaux de l’Etat Islamique.

Je pourrais aussi rappeler les délinquants squatteurs qui terrorisent autour de Notre-Dame-des-Landes en toute impunité. L’ancien maire de Conflans-Ste-Honorine qui expliquait l’ordre reçu par le prefet de « fermer les yeux sur le port de la burqa ». Ou encore dans à Marseille cette histoire de contrôle d’une femme intégralement voilée qui avait donnée lieu à des émeutes, et l’ordre donnée de ne procéder à aucune interpellation pour ne pas mettre d’huile sur le feu.   
Avant ça, j’avais écrit sur les émeutes de Trappes (encore contrôle d’une femme intégralement voilée, décidément…), qui avaient donné lieu à 0,25 % d’interpellations. Je pourrais aussi rappeler des débordements à Bastia où 44 gendarmes et policiers blessés n’avaient donné lieu qu’à 4 interpellations. Ou encore les fêtes du titre du PSG au Trocadéro, moment au combien festif où des jeunes avaient mis le coin à sac.

Je posais toujours la question : combien d’interpellations ? Combien de condamnation ? Des images d’émeutes. Et des dépêches qui donnaient à chaque fois un nombre ridicule d’interpellations. Qui elles même étaient suivies de bien ridicules « rappel à l’ordre ».

J’ai aimé cette interview dans le Figaro de Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris. « Moirans : un état tétanisé devant la hausse des violences ». Des passages très intéressants, qui appuient mon sentiment de tristesse devant un Etat républicain impuissant. Qu’il soit de droite ou de gauche…

Quelques passages.
Les scènes hallucinantes vues à Moirans hier sont la conséquence de celles de l'autoroute A1 en août dernier. A l'époque, l'État avait fait le choix de laisser l'un des plus grands axes routiers d'Europe coupé par une centaine de personnes qui revendiquaient la sortie de prison de l'un des leurs. En renonçant à rétablir l'ordre contre une poignée d'individus, l'État avait alors envoyé un signal catastrophique dont les événements de Moirans sont la conséquence directe. Hier, comme en août, les forces de l'ordre ne sont pas intervenues pour interpeller les auteurs de ces violences et dégager les barrages en temps réel. Le signal donné est aussi clair que négatif : l'État ne recourra à aucun moment à l'affrontement physique contre des individus déterminés. On ne peut encore mesurer les conséquences délétères de ce message catastrophique, mais d'autres événements de cette nature paraissent dès lors inéluctables
 Pourquoi n'y a-t-il eu aucune interpellation ?
 Ainsi qu'on l'a vu par exemple au cours des violents débordements qui ont suivi les matchs de l'équipe d'Algérie pendant la Coupe du Monde en 2014, La doctrine du gouvernement socialiste est la suivante: en matière de maintien de l'ordre, pas d'affrontement pour ne pas faire de victimes afin d'éviter que la situation n'empire. Le gouvernement a conscience que notre pays est dans une telle situation de tension qu'il suffirait de quelques blessés ou d'un tué parmi ces personnes issues de minorités pour que des territoires entiers du pays s'embrasent.
Mais l'effet produit est exactement inverse : au lieu de montrer sa fermeté et de dissuader les futurs fauteurs de troubles, l'État a choisi de renoncer à intervenir sans comprendre qu'il envoyait un message d'une immense faiblesse.

J’ai trouvé la conclusion assez juste : 
L'exécutif est tétanisé devant l'ampleur de la décomposition du tissu social et la hausse des violences de toute nature. Mais refuser par principe le recours à la violence légitime, c'est afficher une faiblesse qui encourage les fauteurs de troubles quels qu'ils soient, et expose avec certitude notre société à des violences futures dont la gravité ne pourra que croître.
Je ne partage pas la politisation du propos de Thibault de Montbrial, car pour moi ce n’est pas un problème simplement de droite ou de gauche. Mais la République doit se positionner sur ces questions : peut-on laisser cette violence s’installer sans sanction ? Peut-on laisser cette impunité s’installer ? Et surtout, elle doit agir, je pense avec fermeté.

J’entends avec plaisir les propos de fermeté du premier ministre et du ministre de l’intérieur. Mais je constate que les responsables de ces bordels ont au maximum 0,25 % de chance d’être interpellé. Le symbole est terrifiant. Au final, c’est la société qui est en la victime.

(PS : oui, j'ai mis l'éléphant du zoo de la Barben en photo. Il n'y a aucun symbole, aucun message caché, rien d'autre... Au départ, j'avais trouvé dans mes photos une part de tarte à la Mirabelle, ou d'autres photos de vignes et de garrigue. Et puis je suis tombé sur mon répertoire "2015-05 - Zoo la Barben", avec des photos d'éléphants, de singes avec le cul rouge, et d’hippopotame. 
Ça n'a rien à voir avec le billet. Mais tant pis. La prochaine fois, je mettrai une photo d'une peluche de bébé Faucon 2 quand je parlerai politique. Ou une photo de ma cave. Elle est belle ma cave)

mercredi 21 octobre 2015

Proposition : abroger les lois Besson

Lorsque la droite républicaine reviendra au pouvoir (je le souhaite le plus vite possible), j’espère qu’elle reprendre cette proposition que je lui fais. Abroger les lois Besson en faveur des gens du voyage.
Ces lois Besson sont aberrantes. Elles pèsent grandement sur les communes, y compris les plus modestes. Dans le cadre d’une générosité unilatérale, sans contrepartie.

Je réitère régulièrement cette proposition durant la période estivale. Les journaux locaux relatent régulièrement les agissements, beaucoup délictueux, des gens du voyage. Appropriation violente de terrains privés ou communaux, menaces sur représentants de la république, dégradation, vandalisme, etc…
Pendant qu’on en parle, j’avais noté cet été un élément de langage (que je trouvais assez insupportable) chez le Midi-Libre. Nommer les gens du voyage « évangélistes », plutôt que « gens du voyage ». Sans doute une volonté de moins les stigmatiser. Pour plutôt amener la stigmatisation sur « l’évangile », et sur les religions qui s’en inspire… (pas d’amalgame, hein…).

A Castres ou dans l’Isère, certains gens du voyage valident cette proposition, en bravant une nouvelle fois l’ordre républicain. J’ai le souvenir cet été d’une autoroutebloquée en Picardie, et d’une République qui s’est couchée, une nouvelle fois, devant ceux qui veulent la faire plier.
La République doit être généreuse. Mais il y a la simple contrepartie du respect. Du respect il n’y en a plus. Et cette générosité a un prix financier et humain inéquitable. Je pense qu’il faut revenir sur les lois Besson.


Et en attendant, il faut que la République soit ferme avec ceux qui lui crachent à la figure. A Castres, en Isère ou ailleurs. Parce que Marianne, elle en a un peu marre de se faire rentrer dedans...

lundi 19 octobre 2015

Vignes d'automne

J'aurais pu encore écrire des billets sur la politique. Une gauche de la gauche toujours plus écoeurante et dangereuse. Un Parti Socialiste fier de son référendum ridicule, mais qui parle d'alliance avec ceux qui soutiennent les délinquants et les violents. Les places sont plus importantes que les valeurs et les discours (mais dans la région de Freche, je l'avais déjà compris depuis longtemps). 

Je préfère poster ces premières vignes d'automne. Le froid arrive, les couleurs jaunes oranges aussi.

Sinon c'est malin d'avoir les régionales en décembre... 

dimanche 18 octobre 2015

Le tombeau du poète (Prapic, #05 )

Un endroit assez magique dans le massif des Écrins. Partir du petit hameau de Prapic, pour aller marcher vers ce gros caillou : le tombeau du poète
Ce gros rocher est la tombe d'un poète local, Joseph Reymond. Son histoire est affichée sur une pancarte sur le tombeau
Le poète avait répété, avec ses proches et ses amis, ses obsèques. L'histoire raconte qu'il avait acheté "un gros fût de vin rouge pour qu'il se bonifie pour le grand jour". 

Le "grand jour" eu lieu un 5 Janvier 1918, une nuit de grande neige. Les obsèques ont été reportées de deux jours, un temps plus clément. Les villageois eurent fait une grande fête.

Ce tombeau se trouve dans un endroit magique et magnifique. Endroit que je fréquente depuis que je suis tout enfant. Et c'est avec un même plaisir que les miens découvrent à leur tour cette nature formidable. 


Je mets souvent des photos et des images d'endroits magnifiques où les hommes eurent construits des édifices (plus ou moins imposants et majestueux) à la gloire de Dieu. Et j'ai toujours l'impression que ce dernier doit préférer venir rencontrer les hommes dans ces endroits, plutôt que dans des grandes cathédrales au milieu des villes. 

J'ai l'impression qu'à proximité de ce tombeau du poète, dans cette jolie image de la Provence chrétienne, ça ne doit pas être difficile de trouver quelque chose de divin...