J'ai sorti ma tondeuse pour préparer ma pelouse au traitement de fin d'hiver que j'y prodigue tous les tous ans avec amour.
Cela n'empêche pas de m'inquiéter pour un cerisier malade, et des cyprès morts. Une saloperie est venu en tuer quelques uns dans mon jardin, voir si j'arriverai à endiguer la maladie...
Décidément les centres de mes billets changent. Ils ne génèrent plus de discussion ou de commentaires, mais en ai je vraiment envie ?
J'aurais pu parler d'un vert (de Rugy) qui souhaite que la Grande Bretagne sorte de l'Europe (ce qui historiquement et symboliquement serait un drame pour nos valeurs), non sans appeler au maintien de la jungle. Les verts qui sont revenus au gouvernement , qui ont sur le cœur et l'âme le sang de Notre-Dame-des-Landes et de Sievens, ne changent pas. Ils sont juste revenus ministres.
Par contre les anglais, quelque soit leurs choix, il ne faudra jamais oublier l'hommage que la Grande Bretagne a rendu à la France, à nos universelles valeurs communes, le week-end les attentats islamistes de Paris. Jamais l'oublier, même si les verts préfèrent honorer d'autres personnes.
J'aurais pu parler de la loi El Khormy. Mon ami Nicolas en a parlé en utilisant pas les mêmes arguments ou les mêmes mots. Mais avec une sincérité que je n'aurais pas eu.
J'aurais pu parler d'Aurier, de Benzema, et de ce soutien terrifiant d'un foot Français qui a préféré se coucher devant Benzema, en ignorant Valbuena (quand ce n'est pas en le méprisant). Mais j'écrirai quand même un billet sur le football français. J'en ai commis pas mal, mais c'est bien de rappeler que ce dernier est davantage Anelka et Dieudonné que Charlie, et que ces codes ne sont pas ceux de la République,
Jusqu'au plus haut de ses dirigeants. Voir Aulas et Le Graet soutenir Benzema , sans mot (sinon des moqueries) pour Valbuena, montre ce qu'est le football français. Le foot rock de l'époque Cruyff Platini a été remplacé par le foot Booba des vestiaires des clubs de Ligue 1. On ne peut que le constater...
J'aurais pu en parler mais j'en parlerai un autre soir. Il a fait beau ce dimanche. Et c'est le plus important.