2019 aura été un cauchemar quasi-continu. Lorsque j'ai pris cette photo d'un lever de soleil à Frontignan le 31/12/2019 à 8h20, Bébé Faucon était en train de vomir tout ce qu'il avait dans le ventre. Depuis 5 heures du matin. Le symbole était dur, une année qui a été horrible. Une reconstruction que j'ai essayé, qui a tenu le temps d'un automne où j'étais un roc.
Et la fin de l'année où tout partait en vrac.
Et la fin de l'année où tout partait en vrac.
Puis début 2020. A Falconette d'avoir la gastro. Puis recevoir une lettre comme un coup de couteau. Se voir reprocher des actions qui datent de 4 mois, qui nous paraissaient rien mais qui ont blessé des gens que l'on aime.
Et s'écrouler alors que l'année n'a pas commencé depuis trois jours. Voir bébé 2 vomir à son tour. Et avoir envie de s'enterrer sous le sable de cette jolie plage héraultaise.
Pourtant, faut remettre la machine en route. Car 2020 est encore très (très) long. Demain, je vais découvrir un nouveau bureau, un nouvel endroit. Pas par choix, mais parce que comme je disais sur le dernier billet, la "transformation" est à la mode...
Je lisais une interview du responsable CGC de France - Télécom / Orange... Et je crains que ce monde "En Marche" ne soit le monde de la violence, de la malveillance, de la loi du plus fort.
Remettre la machine en route. Demain, je serai peut être KO. Mais je sais contre quoi je dois lutter. Et je lutterai.
Quelques images avant de reprendre le boulot demain. Marseille et Nîmes se sont qualifiés dans une douloureuse douleur. J'espère que ces premiers de 2020 ne seront pas l'image de cette année, mais il ne tient qu'à moi de faire en sorte que. Redevenir acteur.
Remettre la machine en route. Simplement.