mercredi 18 mars 2015

Anti-austérité ou délinquants ?

Je pense que cette gauche de la gauche (puisque c'est d'elle qu'il s'agit) a franchi depuis bien longtemps les lignes blanches et jaunes et de toutes les autres couleurs (sauf le rouge)

A Francfort aujourd'hui, à Notre-Dame-des-Landes, Sievens hier, ou Lyon avant hier (les "antifascistes" qui le sont, fascites) nous avons affaire à des délinquants. Qui ne représentent rien dans les urnes, puisque le peuple les fuit. Mais qui fait régner une terreur dans la rue. En toute impunité.

Pendant ce temps, on fait des choux gras sur des cons d'extrêmes droites qui expriment leurs conneries sur le net ou dans la presse. Par contre, la gauche de la gauche casse dans les rues. Et cela semble passer, puisque certains du camp du bien veulent faire des alliances électorales avec eux.

A ce propos quand même... On nous a répété pendant des jours "padamalgam" pour qu'on évite d'associer une religion avec des actes abjects. Que penser de l'amalgame total qui est fait entre des abrutis finis et aujourd'hui presque un tiers du corps électoral ? 
Et un parti politique que je combats politiquement, qui fait une campagne dégueulasse chez moi, et qui empêche mon camp politique d'être majoritaire dans mon pays. 
Philosophiquement parlant, quelque chose m'échappe.

Nous vivons une époque délirante...

3 commentaires:

  1. Je suis au bistro (ce n'est pas une nouvelle mais je n'ai que l'iPhone pour commenter) et ce billet mériterait un long commentaire (même si tu sais qu'on est à peu près d'accord sur le fond).

    Par exemple, tu cites H16. Il est fonctionnaire à la Commission Européenne. Je ne critique pas son droit de parler mais sa légitimité pour le faire. Son billet évoque le camp du bien alors que c'est lui qui le paye. Ça merite un licenciement pour faute lourde.

    Dans son billet, il parle de l'anorexie et des gens qui luttent contre ce qui pousse des gonzesses à arrêter de bouffer et se détruire la vie pour gagner du pognon.

    Pourquoi parler du camp du mal ou du camp du bien ? Il lutte contre les mesures de santé publique évidentes. Ce type fait l'apologie de l'extrême droite, lui qui se revendique libéral alors que l'extrême droite lutte pour le collectivisme. Un jour où les repères seront rétablis, on y verra plus clair.

    Et si un abruti fait un commentaire aussi long (suite à un de mes billets), je m'engueule et lui dis d'ouvrir un blog.

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    1. Ah ! Et j'ai fait un billet au sujet de la gauche de la gauche mais me suis trompé de blog.

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    2. Je ne me positionnes pas sur les personnes, mais sur ceux qu'ils disent. Je me fous de ce qu'est H16, Pipo ou Bimbo. Si on doit tous être intégralement cohérent avec ce que nous sommes dans la vraie, toi, moi, tout le monde, nous ne parlerons plus et n'exprimerons plus d'idée, plus rien.

      Après, tu fais un commentaire long sur un billet différent du mien, et sur un blogueur. Mon commentaire sera donc forcément plus court.

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