Je vous le confesse volontiers : j'ai l'impression que ma vie a changé depuis un mois. Totalement. C'est assez surprenant, déstabilisant pour pleins de raison, excitant, mais tellement gratifiant. Et suivant le moment de la journée, suivant que mon estomac est rempli ou pas, l'optimisme passe devant un pessimisme devant l'avenir, et vice versa. Surprenant. Je ne connaissais pas ce genre de sentiment.
Je connaissais le sentiment d'être amoureux, au début d'une aventure. Mais là, on ne marche plus sur le sol, on a des ailes. Sentiment totalement différent, même si le 9 Mars 2008 reste le plus beau jour de ma vie, la fin d'Octobre 2002 (pour ne parler que de la plus belle) reste les meilleurs moments.
Oui, des photos de montagne. Ben oui, ce billet sera d'un ininteret total pour ceux qui n'aiment pas les blogs personnels et ceux qui se contemplent le nombril avec le sourire. Parce que là, même si mon nombril est toujours prisonnier de bourrelet que je souhaiterai voir disparaitre via la planche à sport Décathlon, référence PA 660 (49 euros), je suis en train de le contempler. Pas de l'admirer (il n'est pas très beau), mais j'ai envie de tourner autour de lui. Un peu.
Ca fait longtemps que je n'ai pas parlé de moi et de ce que je ressens. Bien beau de parler du PSG, mais ça ne fait que diversion, parce que je me retiens d'écrire ce que je ressens. Je me retiens.
Les photos quand même : Orcières Merlette, tout en haut des pistes. Entre 2800 et 3000 mètres d'altitude. Je trouve ça superbe, été comme hiver. J'étais enfant quand mes parents m'amenaient à l'appartement familial : je n'avais qu'une seule envie, redescendre dans ma chambre de Montfaucon et retrouver mon Amstrad CPC 6128... A cette époque, je montais avec une tonne de bouquin, de BD, de roman, de revue, de manuel des Castors Juniors... (attention au choc : priceminister vient de changer...). Peur de m'ennuyer, dans cet endroit où je me repose à présent... Non sans amener pléthores de bouteilles de vin (n'ayons pas soif) et lecteur DVD...
Finalement, que puis je bien dire ce soir ? J'ai juste envie de mettre en ligne des photos de montagne. Parce que la nature est belle et montre toujours que nous ne sommes pas grand chose, l'humilité, toujours. Parce que même si, en descendant ces pistes de ski, je pensais au conseil municipal, à la politique villageoise, aux méthodes que je trouve totalement anti-républicaine d'une opposition qui n'est là que pour détruire et se venger de la défaite, je trouve ces paysages superbes.
Ici, à 10 ans, je me suis arraché les ligaments latéraux du genou droit. Mais bon, on y revient avec plaisir et souvenir. L'odeur du chocolat chaud le soir à 4 heures, devant les 4'zamis et le journal de Mickey de la semaine, ça reste des bons moments. Ma madeleine de Proust à moi...Quelques simples images, et rien de plus. Au final pas de message, pas de commentaires, rien. La prochaine fois, promis. Là, les beaux parents sont à la maison, le repas va être servi.
Et j'ai sommeil, c'est fou ce que l'heure d'été annihile d'un coup de montre le bénéfice de quelques jours de congé... Demain, on parlera Otan, Niang, nouvelle organisation du parti présidentiel... Peut être. Là, maintenant, c'est manger.
Et Montagne. C'est beau les Alpes du Sud.
Oui, des photos de montagne. Ben oui, ce billet sera d'un ininteret total pour ceux qui n'aiment pas les blogs personnels et ceux qui se contemplent le nombril avec le sourire. Parce que là, même si mon nombril est toujours prisonnier de bourrelet que je souhaiterai voir disparaitre via la planche à sport Décathlon, référence PA 660 (49 euros), je suis en train de le contempler. Pas de l'admirer (il n'est pas très beau), mais j'ai envie de tourner autour de lui. Un peu.
Ca fait longtemps que je n'ai pas parlé de moi et de ce que je ressens. Bien beau de parler du PSG, mais ça ne fait que diversion, parce que je me retiens d'écrire ce que je ressens. Je me retiens.
Les photos quand même : Orcières Merlette, tout en haut des pistes. Entre 2800 et 3000 mètres d'altitude. Je trouve ça superbe, été comme hiver. J'étais enfant quand mes parents m'amenaient à l'appartement familial : je n'avais qu'une seule envie, redescendre dans ma chambre de Montfaucon et retrouver mon Amstrad CPC 6128... A cette époque, je montais avec une tonne de bouquin, de BD, de roman, de revue, de manuel des Castors Juniors... (attention au choc : priceminister vient de changer...). Peur de m'ennuyer, dans cet endroit où je me repose à présent... Non sans amener pléthores de bouteilles de vin (n'ayons pas soif) et lecteur DVD...
Finalement, que puis je bien dire ce soir ? J'ai juste envie de mettre en ligne des photos de montagne. Parce que la nature est belle et montre toujours que nous ne sommes pas grand chose, l'humilité, toujours. Parce que même si, en descendant ces pistes de ski, je pensais au conseil municipal, à la politique villageoise, aux méthodes que je trouve totalement anti-républicaine d'une opposition qui n'est là que pour détruire et se venger de la défaite, je trouve ces paysages superbes.
Ici, à 10 ans, je me suis arraché les ligaments latéraux du genou droit. Mais bon, on y revient avec plaisir et souvenir. L'odeur du chocolat chaud le soir à 4 heures, devant les 4'zamis et le journal de Mickey de la semaine, ça reste des bons moments. Ma madeleine de Proust à moi...Quelques simples images, et rien de plus. Au final pas de message, pas de commentaires, rien. La prochaine fois, promis. Là, les beaux parents sont à la maison, le repas va être servi.
Et j'ai sommeil, c'est fou ce que l'heure d'été annihile d'un coup de montre le bénéfice de quelques jours de congé... Demain, on parlera Otan, Niang, nouvelle organisation du parti présidentiel... Peut être. Là, maintenant, c'est manger.
Et Montagne. C'est beau les Alpes du Sud.