J’ai entendu ce matin à la radio une nouvelle qui m’a laissé sans voix : je croyais, au départ à une plaisanterie. Mais non…
La CGT a manifesté hier à Paris Plage pour « un droit aux vacances et aux loisirs pour les précaires », avec comme revendication phare des « chèques vacances pour les chômeurs ».
Au départ, sincèrement, j’ai cru à une blague.
Le chômage augmente depuis Avril (avec la publicité qu’en font les blogs de gauche… bon, ils ont oublié de relayer sa baisse continue en début d’année mais bon…). Les cas de malaise de salariés au travail se multiplient : le mal-être au travail est une réalité, tellement occulté… Et on ne parlera pas du pouvoir d’achat des salariés, qui ne cesse de se dégrader avec à coté des prix qui continuent d’augmenter.
Et la classe moyenne ? Ce n'est pas avec ce type de proposition qu'elle va se sentir davantage considérée, et moins vache à lait (et "persécutée").
La CGT a fait visiblement le choix d’un autre combat… On peut le déplorer, et rêver d’avoir de véritables syndicats qui défendent réellement le travail et ceux qui travaillent. Parce que pour l'instant, peut être peut on considérer que ce n'est pas franchement le cas...
La CGT a manifesté hier à Paris Plage pour « un droit aux vacances et aux loisirs pour les précaires », avec comme revendication phare des « chèques vacances pour les chômeurs ».
Au départ, sincèrement, j’ai cru à une blague.
Le chômage augmente depuis Avril (avec la publicité qu’en font les blogs de gauche… bon, ils ont oublié de relayer sa baisse continue en début d’année mais bon…). Les cas de malaise de salariés au travail se multiplient : le mal-être au travail est une réalité, tellement occulté… Et on ne parlera pas du pouvoir d’achat des salariés, qui ne cesse de se dégrader avec à coté des prix qui continuent d’augmenter.
Et la classe moyenne ? Ce n'est pas avec ce type de proposition qu'elle va se sentir davantage considérée, et moins vache à lait (et "persécutée").
La CGT a fait visiblement le choix d’un autre combat… On peut le déplorer, et rêver d’avoir de véritables syndicats qui défendent réellement le travail et ceux qui travaillent. Parce que pour l'instant, peut être peut on considérer que ce n'est pas franchement le cas...