Mon ami Freecasababylon a eu l'idée (bonne ou mauvaise on s'en fout) d'écrire ce qu'il pensait d'une certaine gauche. Que je trouve pour ma part nauséabonde et détestable, mais ce n'est que mon avis. Certains commentaires qu'il s'est pris peuvent le toucher, comme ils peuvent toucher toute personne pourvue d'encore un peu d'humanité.
Ce modeste billet, avec un Pont du Gard en photo, est pour lui exprimer mon soutien. Ma sympathie. Mon amitié.
Je n'ai aucun conseil à donner à mon ami FCB. J'ai souhaité moins bloguer (politique ou polémique) pour fuir ces personnes (de droite comme de gauche) qui m’écœuraient. Et ces discussions stériles et parfois violentes qui m'insupportaient. Voire me blessaient.
Je ne sais pas si c'est la bonne solution : je sais qu'écrire expose à la critique ou à l'insulte. Mon ami Nicolas en sait bien mieux que moi... Je ne sais pas si c'est la bonne solution, mais c'est celle que j'ai trouvé pour être en paix avec moi même. Et sans doute me protéger un petit peu aussi...
J'essaie de ne jamais oublier que derrière le compte blogger ou Twitter, il y a une personne vraie. Parfois un gros connard (ou une grosse connasse) qui n'a aucune humanité, et défend des valeurs que j'exècre. Mais cela reste une personne réelle, en vrai...
J'ai toujours pensé que le désaccord n'excluaient jamais le respect. Même si je confesse avoir du mal à respecter la personne qui insulte et oublie ce respect, élémentaire. Sans lequel une société s'écroule et s'effondre...
Simple billet rapide et maladroit. Le vent souffle trop fort, et j'ai envie d'aller voir Monaco, ou d'aller me coucher.
Mais j'avais envie de témoigner à FCB mon amitié. A ceux aussi qui, comme moi, partagent certaines valeurs. Et sont attachées à certaines choses qui sont importantes. Et qu'ont oublié ces gens à qui FCB a accordé un trop long billet...
Ces gens qui ne représentent rien finalement, mais qui polluent tant nos blogs, nos réseaux sociaux, notre République aussi... Mais bon, ils ne représentent rien. Les urnes et le peuple le montrent à chaque scrutin...
Laissons les. Et bloguons finalement pour et avec les gens qui en valent la peine (et qui restent, bien heureusement, majoritaires...)