Mais sinon je l'aime bien mon jardin, aussi en hiver...
dimanche 13 mars 2016
Dans mon jardin d'hiver
L'hiver est bientôt fini. Le cerisier tout au fond commence à me le rappeler.
La France ne doit rien à Franck Ribery
Franck Ribery a joué en équipe de France entre 2006 et 2013.
La pire période de l’équipe de France et du football français, dont Knysna a
été un épicentre. Et dont Franck Ribery a été un des symboles, avec Anelka,
Nasri entre autre, et aujourd’hui Benzema.
Et pourtant, dans une interview
de cette fin de semaine, Franck Ribery déclare sans honte :
« Les gens ont soudainement oublié ce que j'avais fait pour la France »
Qu’a fait Franck Ribery pour la France ? Rien. On sortira peut être le France – Espagne de 2006, où il a fait un match normal.
Eventuellement un France – Bielorussie ou Géorgie. Et c’est tout.
On se rappellera surtout de l’Euro 2008, le scandale de
Knysna en 2010. On reverra l’image de Franck Ribery en
tongs le matin dans Téléfoot, et en grève dans le bus l’après-midi. On se
souviendra d’une ambiance détestable qu’il a contribué à mettre dans le
football français (demandons à Gourcuff ce qu’il en pense).
On lira à nouveau le Racaille Football Club de Daniel Riolo
pour comprendre ce qu’a été Franck Ribery.
Personne n’oubliera le mal qu’a fait Franck Ribery pour le
football français. Un mal que l’on continue aujourd’hui à payer.
La France et l’Equipe de France ne doit rien à Franck Ribery.
L’inverse est faux : Franck Ribery ne serait pas ce qu’il est sans le
football français, et sans l’équipe de France.
Cette ingratitude de ce personnage, et la mentalité exprimée
dans cette interview, est malheureusement typique du mal qui touche le footballeur
français. Et le football français dans son ensemble.
Le football français n'est pas sortis du bus de Knysna. Et l’Euro qui
risque de se jouer avec un Karim Benzema qui pourrait être préféré à Mathieu
Valbuena (interview délirante et inquiétante de Didier Deschamps hier matin) en
est un autre symbole… Symbole détestable, écœurant.
jeudi 10 mars 2016
Les valeurs de République encore célébrées
Elle m'a amusé cette photo
Sinon je viens de lire cet article assez édifiant du (pas forcément très digne) toujours président de l'Assemblée Nationale Claude Bartolone qui décore son frère sous les dorures de l'Assemblée. C'est tellement sympa...
Attendons maintenant la visite du très honorable Kim Jong Un dans notre belle capitale.
Sinon je viens de lire cet article assez édifiant du (pas forcément très digne) toujours président de l'Assemblée Nationale Claude Bartolone qui décore son frère sous les dorures de l'Assemblée. C'est tellement sympa...
Attendons maintenant la visite du très honorable Kim Jong Un dans notre belle capitale.
mercredi 9 mars 2016
Analyse politique miroir
Il est joli ce dessin... (même si Chirac mérite mieux que son reflet à mon modeste avis)
Sinon ça faisait un moment que je n'avais plus utilisé les tags "Chirac" et "Villepin". Je relis mes billets qui datent de presque 10 ans, c'est fou le jugement que j'avais de Villepin, et ce que j'en avais marre de Chirac à l'époque... (et pourtant je l'aimais, et je l'aime encore)
Sinon Blogger n'envoie plus de notifications par mail sur les billets que l'on pond. C'est chiant. Autant que de commencer deux paragraphes par "c'est chiant"
mardi 8 mars 2016
Journée de la femme, ou de la loose
J'avais envie de pondre des blagues sexistes. Aussi pour dire tout le mal que je pense de ces "journées de".
Un jour, il faudra créer la journée de l'être humain, de tous les êtres humains. Qu'ils soient noir, blanc, petit, gros, femme, homme, homo, hétéro, jeune ou vieux. Ca sera sans doute un progrès.
Davantage que de voir un illustre inconnu comme le socialiste Jérôme Guedj se déguiser avec du rouge à lèvres pour faire le buzz. Mais c'est vrai que Jean-Vincent Placé a beaucoup contribué à faire de la politique du buzz en étant ridicule. Il a montré qu'avec une poule et un opportunisme délirant, malgré des casseroles au cul plein la boite à gants, on pouvait être dans un gouvernement... Alors pourquoi pas se grimmer avec du rouge à lèvres...
J'ai peur d'avoir un jour un politique ambitieux à la Une d'un hebdo avec une plume dans le cul. On a eu Placé avec une poule : les plumes étaient là...
Journée de la femme, journée de la loose aussi.
Bonheur de retrouver ma voiture bien amochée tout à l'heure. Sur mon lieu de travail, sur le parking. Une personne a eu la vilaine idée de sortir du parking en rippant bien mon aile gauche. Qui n'a rien à voir avec le Jérôme Guedj dont je parlais plus haut.
Bon, ma voiture roule. Et j'ai eu la joie de voir que la personne a mis un petit mot sur mon parebrise. "Bonjour cher inconnu, j'ai niqué votre voiture... Veuillez me rappeler. Je suis Mme..."
Oui, c'est une madame. Mais comme c'est la journée de la femme, je ne ferai pas de plaisanterie sur les femmes au volant. Surtout que quelque part, j'ai eu un moment de joie et d'espoir en la nature humaine : ce petit mot sur mon pare-brise montre qu'il n'y a pas que des égoïstes enfoirés et malhonnêtes... L'homme (au sens "humain" du terme, celui que je préfère) n'est pas totalement désespérant...
Et puis le soir... Pendant que je buvais mon Aberlour, Bébé2 a eu la bonne idée d'un bon gros vomi dans son lit. Le bon gros vomi qui pue et qui sent. Pendant l'apéritif, ça retourne un ventre (surtout que je n'ai pas eu le temps de manger à midi avec ces conneries)
Pour la journée de la femme, Falconette a donc bien préparé une bonne lessive de vomi. Je ne chômais pas : j'ai laissé mon whisky pour m'occuper de bébé Faucon et laver Bébé2...
Journée de la femme mon cul.
Sinon journée de la femme ou pas, j'ai envie d'une vidéo con, qui s'appelle "Femme au volant". J'aurais pu poster une photo de Bertrand Cantat ou DSK qui souhaite une bonne journée de la femme, mais bon...
C'était une journée de merde à part ça... Avec ou sans le assez méprisant Jérôme Guedj... (qui a encore 14 mois pour être au gouvernement... Parti comme il est parti...)
lundi 7 mars 2016
Légion d'honneur qui déshonore
Ce changement qui devait être maintenant est bien spécial…
Le dernier épisode m’est particulièrement abject. La légion d’honneur délivrée
à un prince d’un pays dont les valeurs sont aux antipodes des nôtres est une nouvelle
injure faite à la République. Qui doit commencer à avoir bien mal au boule…
Pleins de choses sont choquantes dans cette histoire de
légion d’honneur à ce Prince d’un pays qui exécute et bafoue nos valeurs de
manière naturelle (elles sont différentes des leurs). L’Obs
relaie 5 points :
- Une visite discrète à l’Elysée.
Pas d’évocation sur l’agenda officiel d’une décoration de la République.
Transparence…
- Une information révélée
par l’Agence de Presse Saoudienne… Le changement c’est maintenant, c’est davantage
de transparence.
- Une décoration controversée. Tu m’étonnes… Que la République s’abaisse
à donner la légion d’honneur à ce type de personnage peut faire vomir.
- 70 exécutions depuis Janvier. Le rythme est soutenu…
- Le Lapsus du brillant ministre des affaires étrangères Jean-Marc
Ayrault est la cerise sur la pendule : « C'est une tradition démocra…
diplomatique, diplomatique. C'est une vraie tradition diplomatique qui
peut étonner, il faut la prendre comme telle ». Bah oui.
Le changement ça devait être maintenant. Bachar El Assad sur les Champs Elysées
ou Kadhafi en tente à l’Elysée valent bien un dictateur cubain invité en grande
pompe ou un Prince Saoudien décoré d’une légion d’honneur qui déshonore la
République.
C’est sans doute cela qui me débecte le plus.
Pour se défausser, l’entourage présidentiel ressort le sempiternel « mais
sous Sarkozy c’était comme ça… ». Cela laissera donc le loisir au
successeur d’Hollande de faire au moins pire : les arguments pour valider
l’invalidable sont tout trouvés…
Vivement que ce mandat qui aura fait mal à notre République se
termine. Bien que je ne sois aujourd’hui guère rassuré sur ce qui peut suivre,
vu ce qu’est devenue notre classe politique…
dimanche 6 mars 2016
J'ai mal à mon OM #OMTFC
J'ai passé une aprés-midi affreuse devant ma télévision. Je me demande si j'ai déjà vu un Olympique de Marseille aussi faible, aussi laid, aussi affligeant...
Quelqu'un sur Twitter m'a rappelé le Marseille - Guingamp de Janvier, qui était une purgeasse de chez purgeasse. Mais j'étais allé me coucher à la mi-temps. Là, j'ai regardé. Presque jusqu'au bout. C'était hideux.
Hideux l'attitude des joueurs. Plutôt que de chercher à "montrer qu'il existe" avec une coupe de cheveux blond pouffiasse, Alessandrini devrait démontrer qu'il est un footballeur collectif. Il a tout loupé.
Je prends ce joueur pour cible, mais c'est trop facile d'avoir critiqué l'ancien entraineur qui ne le faisait pas jouer, de se montrer individualiste dans les attitudes, et de ne jamais rien montrer sur le terrain. Il est malheureusement le symbole d'une équipe qui n'en est pas une. Le symbole d'un football français qui ne pense qu'à sa gueule.
Je suis en colère. Affligé. Les joueurs ont décidé cette aprés-midi de lâcher leur entraîneur et de lui faire la peau ? Soit. Mais quel manque de respect pour le public et pour ceux qui aiment ce club. Je pensais qu'avoir viré des Lemina, Imbula ou Payet ferait du bien à ce vestiaire, mais tu parles...
J'avais été choqué hier soir des publics du Parc des Princes vis à vis de son PSG. Public ingrat, typiquement français. Aujourd'hui, c'est peut être à cause de l'aspirateur que j'avais lancé à la fin du match (je voulais voir quelque chose d'efficace et qui courrait cette aprésmidi...), mais j'aurais imaginé des sifflets encore plus violents, assourdissants.
Je suis en colère. Mais ma salle à manger est propre.
vendredi 4 mars 2016
mercredi 2 mars 2016
Analyse politique atomique
Je n'ai pas eu le temps de réagir à la (juste) déclaration, qui propose de prolonger de 10 ans la durée de vie des centrales nucléaires si l'ASN donne son accord. Je suis favorable à cette proposition, frappée du sceau du bon sens. Et espère une politique énergique ambitieuse pour mon pays, qui passera (entre autre) par un nucléaire plus sûr et plus moderne.
Politiquement, j'ai été amusé de la situation politique. J'ai été amusé par quelques tweets, dont celui la. Très classe.
Sinon, en parlant des verts, j'ai été touché par cet article qui montre combien la République ne s'est décidément pas honorée en offrant des maroquins ministériels a des gens aussi peu dignes que les verts (dont Jean-Vincent Placé qui incarne vraiment tout ce qui provoque le dégoût des gens vis à vis de la politique et des élus)
Un billet politique rapide. Pour rappeler combien je trouve quand même choquant que les verts soient dans un gouvernement de notre république (pourquoi pas des communistes ou des FN ?).
La prochaine fois, j'écrirai sur mon dégoût devant la,déclaration aujourd'hui de Noël Le Graet qui annonce qu assurément, Benzema portera à nouveau le maillot de l'équipe de France. Cela serait un scandale et marquerait une fracture aussi forte que Knysna entre le public et l'équipe de France. Mais ce football français pourri n'en est pas à une indignité près.
Et ça sera l'objet d'une autre billet... (Un billet / une idée disait le philosophe)
lundi 29 février 2016
Instagram du mois de Février
Un mois résumé en quelques photos
La suite aux prochains épisodes... Un billet de rien, mais décidément incapable de mieux en ce moment...
Un mois de février qui commence par,la chandeleur et des crêpes
Puis l'anniversaire de ma maman le lendemain. Nous aurons mangé des gâteaux...
Un mois de Février avec des jolies couleurs le matin.
Et une température printanière. Des amandiers en fleurs, et un bébé content de marcher dans le village de son papa.
Un village qui se pare de jolies couleurs en Février quand le ciel est bleu
La tondeuse sortie pour préparer le jardin au printemps...
Un mois de Février qui fut long, et au final épuisant... (pour ne pas dire déprimant)
La suite aux prochains épisodes... Un billet de rien, mais décidément incapable de mieux en ce moment...
dimanche 28 février 2016
Un dimanche pluvieux et beau à la fois
Deux photos de ce dimanche.
La première de l'église de mon village sous une froide pluie d'hiver. J'allais acheter le pain, faire mes paris sportifs, avant d'aller au village d'à coté pour acheter le journal... (plus de marchands de journaux dans mon village... Merci ceux qui font que la presse écrite ne se vend plus et que les marchands de journaux ferment... Je pense entre autre aux syndicats du livre)
Puis l'aprés-midi dans le jardin. Des bébés qui jouent. Le soleil est froid, mais il fait beau.
Un drôle de dimanche. Un peu triste quand même. A l'image d'une semaine. Et, je le crains, de celle qui arrive.
(non, pas le moral. Mais ça reviendra...)
Condamner le syndicalisme délinquant (même paysan)
J’avais écrit il y a quelques temps un billet où je condamnais fortement les paysans bretons, après le bordel qu’ils avaient mis pendant une de leurs manifestations.
De la même manière que je condamne le syndicalisme délinquant de syndicats extrémistes (style CGT) à Air France ou dans d’autres entreprises, je condamne fortement ces « représentants de paysans » qui ont saccagé les stands de Bigard ou Charal.
Je le condamne d’autant plus que les doléances du monde paysan sont justes. Et que ces violences sont dramatiques en termes d’image : comment soutenir les paysans après ça ?
Je leur reconnais le droit de siffler le président de la République (lui ou un autre) ou les responsables politiques. Et d’exprimer leur mécontentement. Mais je leur conseille de faire le ménage dans leur corporation, surtout parmi les gens qui prétendent les représenter.
Je pense que ce syndicalisme-là est voué à l’échec, et à être désapprouvé et rejeté par l’opinion. Encore plus aujourd’hui, je crois que l’opinion est hermétique à ces images de violence et de saccage. Et ça serait un drame que les paysans se mettent l'opinion à dos (et pas l'inverse andouille), à cause de quelques imbéciles qui pensent que saccager un supermarché, une préfecture ou un stand d’industriel, c’est fun et utile.
Je suis cohérent dans mes indignations : je m’oppose à toutes les violences syndicales, et je les combats. Ce syndicalisme-là est voué à l’échec.
vendredi 26 février 2016
Mieux comprendre les histoires Aurier et Benzema (entre autre)
J’ai écrit beaucoup de billets sur les maux du football
français. Qui ressemblent aux douleurs de notre société. J’ai écrit ces billets
en étant convaincu de ce que j’écrivais. Sans aucune modestie. Je connais des
gens qui gravitent autour du sport professionnel en France (rugby, hand, et
aussi football). Et certains qui sont dans et autour des centres de formation
de clubs professionnels (et dont je suis proche).
En les écoutant, je ne regarde pas les histoires Knysna,
Anelka, M’Vila, Nasri & co d’un œil distrait. Je comprends.
Si je voulais expliquer les dernières histoires Benzema ou
Aurier à des amis (ou à des gens qui veulent écouter, sans juger ni condamner,
simplement écouter et se faire un avis), je leur conseillerai simplement la
lecture de ces deux livres.
Le footballeur
masqué. On ne sait pas qui l’a écrit, ni même s’il était vraiment un
footballeur professionnel de Ligue 1. Mais tous les gens qui gravitent autour du
football qui en parlent disent que c’est vrai.
Et quand ce footballeur masqué parle d’un monde du football
français gangréné (ou influencé) par le monde du rap, de l’argent facile et des
codes issues de la cité, ces gens qui connaissent ce milieu disent qu’il dit
vrai. Quand il parle de footballeurs plus influencé par Booba et le Tony Montana
de Al Pacino que par Brel et James Bond, il dit vrai. Et c’est triste.
Racaille Football
Club, de Daniel Riolo.
Il présente le football français tel qu’il est aujourd’hui. Avec des
témoignages, des explications, une réelle pédagogie.
« Racaille », pour bien des footballeurs issus du
football français, ce n’est pas une insulte : c’est une signature qu’ils
assument et dont ils se réclament. Avec ses codes, sa manière d’être, de
penser. Quand il explique que Gabriel Heinze a quitté l’OM car il n’était plus
en phase avec un vestiaire de rap et de wesh-wesh, il ne juge pas. Il décrit,
il explique. Et il dit pourquoi le grand PSG d’aujourd’hui s’est construit
autour de Léonardo, de Thiago Silva, de Motta, de Verrati, et d’un football
italien et brésilien plutôt que français.
Et il explique surtout que le responsable n’est pas le
footballeur français. Ce n’est pas Aurier, Nasri ou M’Vila. Mais c’est la
direction de ce football, qui a toléré l’intolérable. Qui a fermé les yeux. C'est la formation française, qui a omis la formation de l'être humain, de l'homme. Parce qu'elle a considéré que le talent du footballeur excuserait forcément les manquements de l'humain. Qu'un but efface forcément une quenelle.
Le maux le plus visible est la présidence de Noel Le Graet,
qui a fermé les yeux quand Patrice Evra a insulté tout le monde à plusieurs
reprises, et qui s’est délibérément mis au soutien de Benzema contre Valbuena.
L’histoire Valbuena – Benzema est d’ailleurs typique du mal
qui touche notre football français.
Alors que tout le football enterrait Benzema sous des fleurs
et des soutiens touchés et amicaux, Valbuena était enterré sous une chape d’indifférence.
Et la victime était tel le Glassmann de l’époque, le traitre, la taupe, celui
qu’il faut crucifié car il a brisé « la loi du silence ». Cette loi
du milieu qui fait que le football français est justement un « milieu »,
avec des codes bien codifiés. La balance sera toujours pire que le délinquant.
Et Anelka ou Ribery davantage glorifiés qu’un Gourcuff qui a vu sa carrière
brisée après Knysna.
Après nous sommes libres. Libres de croire ou pas à ces
témoignages, et cette explication de ce qu’est le football français. Le sport
français même, puisque qu’une « icone » comme Yannick Noah s’est
déclaré en soutien total d’un Aurier par exemple.
Et nous sommes libres aussi de ne pas être solidaire de ce sport-là. De cette France là. Il va de soi que si Didier Deschamps devait rappeler Karim Benzema en Equipe de
France, je considérerai que cette équipe n’est pas celle qui représente ma France,
mes valeurs, ma République, celle qui est Charlie plutôt que Booba, Dieudonné
ou Anelka.
Nous sommes libres. Mais c’est bien de savoir de quoi on
parle, et d’avoir quelques références pour mieux comprendre ce que l’on vit. Et
comprendre les histoires Aurier et Benzema aujourd’hui, Knysna Anelka M’Vila ou
Nasri hier.
Et se dire que finalement, ceux ne sont pas ces joueurs les
plus à blâmer, mais plutôt un système qui a permis à leurs valeurs et leurs
codes de prendre le pouvoir…
Bonne nouvelle pour le football
Nous l'avons échappé belle. L'élection du cheik Salman aurait été une catastrophe pour ce sport
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