mercredi 18 novembre 2020

Coucher de soleil gardois

Billet sans commentaires. Sinon j’ai dépassé l’heure de sortie et j’ai vraiment bien couru. 

Le reste...


mardi 10 novembre 2020

J'espère

"Vous qui entrez ici laissez tout espoir" disait le diable dans l'enfer de Dante à ceux qui arrivaient devant l'entrée.
L'espoir, c'est ce qui nous manque.

Ce soir encore j'avais une chanson de Serge Lama en tête. J'espère...



Sans doute, à trop servir, nos étreintes se sont usées
La colle de nos corps n'a pas soudé les mots brisés
Ton adieu s'est figé dans mon cœur comme du verglas
L'hiver s'installe et les corbeaux sont là

Ton silence est si lourd qu'il finit par faire du bruit
Je tisse des journées qui n'aboutissent qu'à des nuits
Des nuits qui se prolongent et qui s'allongent chaque jour
Où les étoiles poussent des cris d'amour

J'espère, j'espère
Et je prie comme un enfant
C'est mon espoir qui me défend

J'espère, j'espère,
Plus pâle qu'un Pierrot,
Que tu m'écrives un mot

Je me sens comme un loup pris dans la harde du bétail
Je me sens comme un train en grève au milieu de son rail
Je me sens inutile et même habillé je suis nu

Dans mon miroir, je rase un inconnu
Je décortique mes pensées grises avec les doigts
Mon existence crie qu'elle peut se passer de moi
Ma liberté s'attelle aux charrues froides de l'ennui

L'ennui le jour et puis l'effroi la nuit
J'espère, j'espère
Je prie comme autrefois
L'espoir me redonne la foi

J'espère, j'espère
Esclave des gourous
Si tu reviens, je crois en tout

J'espère, j'espère
Je prie à deux genoux
Que ce rien redevienne tout

J'espère, j'espère
D'une foi maladive
Pour qu'un jour, d'aussi loin que tu vives,

Tu m'écrives, "J'arrive!"

samedi 7 novembre 2020

Le Ventoux avant la pluie

En rentrant du boulot un soir de la semaine (le seul jour où j’y suis allé). Je suis rentré pas trop tard, juste pour avoir le temps de voir le Ventoux depuis le barrage de Caderousse.

Sinon y a quelqu’un qui m’a dit que Biden avait gagné. Mais que Trump dit aussi qu’il a gagné. Si tout le monde a gagné c’est très bien. 
Ça m’a intéressé. J’ai refait ma géographie des États Unis. Un jour si Dieu le veut bien j’aimerais bien y aller. J’ai failli être le témoin d’un de mes proches amis qui s’est marié civilement à newyork. Mais c’était en 2014, et j’étais sur que je gagnerai les élections municipales et c’était la semaine de l’élection du maire et des adjoints (dont je pensais être)

J’ai appris l’humilité. Et la notion d’élection imperdable perdue. La droite a connu ça ensuite en 2017. 

Pendant ce temps on a toujours Macron et père Castex au pouvoir en France... 


mercredi 4 novembre 2020

Sortez d'ici...

 Tout le monde perd son calme... Au boulot, dans la vie de tous les jours... Je ne sais plus quel est le "mois des fous", mais je me demande si ce n'est pas Novembre.

"Sortez d'ici" lance un ministre à sa représentation nationale. Un ministre qui s'imagine investi d'un pouvoir divin, alors qu'il n'est là que pour servir des hommes, et qu'il parle à la République. "Sortez d'ici"...

Puisque le débat en est là, que cette République en Marche qui a volé l'élection en 2017 sorte d'ici. Et laisse le pouvoir à des gens dignes, responsables, respectables. "Sortez d'ici", quand on enlève les loisirs aux français, qu'on confine les personnes agés, et qu'on leur offre que pour seul espoir de travailler et c'est tout ?

Sortez d'ici. Jean Castex et tous ces opportunistes sont une erreur de casting. 2017 aura été catastrophique. 

Après je dis ça... Humainement je comprends, tout le monde est à cran. Le gouvernement pilote à vue. Olivier Véran a été indigne de son poste de ministre, mais finalement tellement humain... Je lui pardonne presque cette attitude impardonnable...

Sinon il fait froid et nuit tôt. 



Et aux USA une source informée me dit que le prochain président sera soit Trump soit Biden. Le pari "nul à la mi-temps" était le bon pari...

dimanche 1 novembre 2020

De l'espoir ? Franchement...

Je viens de lire la très bonne interview de Renaud Muselier dans le Point dont le titre est évocateur de ce que je ressens : "mais bon Dieu donnez nous de l'espoir !". Avec cette partie de l'interview qui m'a marqué : "Je suis un médecin de formation. Quand vous soignez votre patient, vous lui donnez de l'espoir. Vous le traitez pour le faire avancer, pour qu'il aille mieux, pour qu'il supporte sa pathologie. Là, on inflige une punition sans jamais dire si cela ira mieux demain. Avec le confinement, on vous dit d'entrer dans un tunnel sans lampe frontale."

J'aime beaucoup Renaud Muselier, à la parole toujours censée. Il a totalement raison dans cette interview. Aujourd'hui, de l'espoir ?

A côté de ça y avaient d'autres voix qui ont parlé aujourd'hui. Que je trouve totalement déconnectée et à la ramasse. 
Bruno Le Maire, qui dénonce "des maires irresponsables". Mais quel est ce ministre de l'économie qui juge de "l'essentiel" et du "non essentiel", et qui en simple réponse a, en toute catastrophe, demandé que les grandes surfaces interdisent la vente de livres et de produits culturels hier, et peut être demain le rayon sous-vêtements et bricolage ? Arnaud Montebourg me manque presque, c'est dire... 

A côté, la ministre du travail aura tenu sa place dans cette communication qui frôle l'abject. "les entreprises ne sont pas des clusters" qu'elle dit, en relayant cette parole délirante : "les endroits où on se contamine c'est la cantine et la machine à café". La direction de là où je bosse ajoute aussi "le covoiturage". Mais pas les postes de travail... De l'espoir ?

Ce soir M. le curé Jean Castex vient parler sur TF1. Que va t'il nous dire encore ? Va t'il nous infantiliser, nous priver d'encore un peu plus de liberté ? Car finalement ce confinement c'est quoi ? Privation de loisirs, de convivialité, et isolement des personnes âgés. Et basta. C'est tout. 
Le reste ? Va bosser et fais pas chier. Demain les enfants iront à l'école, dans un bordel total.

D'ailleurs, il parait que certains élèves auront le droit de ne pas assister à la minute de silence pour ce professeur d'histoire décapité au nom d'une religion... Faudra qu'on en parle, mais là je n'ai plus d'espoir. Sinon d'un hiver sans fin.

Ce matin je suis allé à la messe de la Toussaint. Des escortes de gendarmerie protégeaient l'église de mon village... Le curé paraissait touché... Il essayait de nous apporter un espoir, mais je ne sais pas si j'avais vraiment la foi aujourd'hui. 

Bon Dieu donnez nous l'espoir. Car le monde des hommes nous l'enlève totalement, l'espoir...





(à lire joli billet de Nicolas sur 4 mois de Covid)

vendredi 30 octobre 2020

Pilotage à vue

Je pense que ce gouvernement pilote à vue. J’adore le commentaire dessous...

En fait ils auront juste supprimé les loisirs et isoler davantage les personnes âgées. N’importe quoi...

Pilotage à vue...

jeudi 29 octobre 2020

Reconfinement et période de merde

Comme un symbole, ma piscine aura été reconfinée le lendemain de l'annonce d'un reconfinement délirant. 



Je lisais l'article du Point "Reconfinement - Emmanuel Macron chef de guerre en déroute". Oui, il est totalement en déroute. 
Elle est terrible l'interview du 14 juillet où il assurait à Léa Salamé à la question "la France sera t'elle prête en cas de deuxième vague" que oui. Finalement ben en fait non... 

Je ne lui en veux même pas... J'ai l'impression d'un mauvais jeu où plus personne ne pilote rien. M. Déconfinement Jean Castex reconfine après un été où des "jeunes" auront tout cassé Palavas les Flots et sur les Champs Elysées, et où une sœur d'un délinquant faisait défiler des hordes de personnes contre la police et un état forcément raciste, où il fallait déboulonner les statues...

Entre temps, un professeur d'histoire a été assassiné par l'Islam. Ce même Islam qui nous demande de renoncer à notre liberté de caricature, et à qui le ministre des affaires étrangères est à deux doigts de s'agenouiller.
Entre temps, à Nice et à Avignon, l'Islam continue de tuer. Dans un lieu de culte catholique.

Il est bon de rappeler les chiffres : en 2019 les actes anti-chrétiens était 10 fois plus importants que les actes contre l'islam. Ceux qui jouent avec le concept d'islamophobie pour rafler un vote communautaire...

Pendant ce temps on reconfine. Quand comment je ne sais pas ? Mon entreprise, qui navigue aussi totalement en vue, m'a "mis" en télétravail.  

Année de merde

dimanche 25 octobre 2020

Conflans-Saint-Honorine : une islamo-tolérance qui date...

J'ai écrit le 15 Janvier 2015 (quelques jours après les attentats de Charlie) ce billet sur cette islamo tolérance d'état : "ils ont reçu l'ordre de fermer les yeux sur le port de la burka". Des préfets qui donnent ordre aux maires de fermer les yeux sur les lois contre la burka, et sur tout ce qui pourrait heurter les musulmans.

Ce billet a presque 6 ans. Je le remet tel quel. 

On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. Et qu'on ne dise que l'ennemi est à nos portes...


Après la très pertinente interview du socialiste Malek Boutih, très instructif de lire l’interview du sénateur ex-PS Philippe Esnol. L’ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine le dit clairement : « on a reçu l’ordre de fermer les yeux sur le port de la burka ».

Son témoignage est terrifiant : « Il y a huit mois, alors que j'étais encore maire de Conflans-Sainte-Honorine, j'ai reçu la visite du procureur de la République qui m'a confié que des ordres avaient été donnés pour qu'on ferme les yeux sur le port de la burka afin de ne pas reproduire les émeutes qui, à la suite d'un contrôle de police, avaient mis le feu à Trappes à l'été 2013 ».
Je pourrais témoigner auprès de Philippe Esnol en disant qu’il n’y a pas qu’à Conflans-Sainte-Honorine que des « ordres » ont été donnée pour fermer les yeux devant une pratique hors-la-loi de l’islam, et pour ne pas faire appliquer la justice auprès de certains communautés…

La technique de la terreur installée par les délinquants et les musulmans radicaux est donc une réussite. Ils avaient déjà gagné, la République avait déjà plié. 

J’avais relayé sur mon blog cette histoire de délinquance à Marseille. Mon billet s’appelait « mettre un voile intégral sur ces histoires de délinquance ». Je relaie simplement la dépèche de BFMTV, qui relayait ce contrôle d’identité d’une dame en voile intégral à Marseille qui avait mal tourné. Et la volonté du parquet de mettre un mouchoir (ou un voile) sur cette affaire, laissant les violences sur les forces de l’ordre impunies. 
Dans la nuit de mardi à mercredi (22 au 23/07) à Marseille, trois policiers ont été tabassés après un contrôle d’identité qui a mal tourné. Vers 00h45 à proximité de la mosquée Es-Sunna, trois agents de police se sont approchés d’une jeune femme de 18 ans qui portait un voile intégral, le niqab. Conformément à la loi de 2010 sur le voile intégral, des policiers ont décidé de faire un contrôle d'identité. Mais cette dernière a refusé de se soumettre à l’autorité policière.
« Je n'obéis pas aux lois de la République », a-t-elle expliqué. Elle s'est alors mise à crier et a dénoncé une agression de la police. Elle a même donné des coups de poing au visage d'un policier. C'est là que le compagnon de la jeune femme s'est interposé, de manière à empêcher définitivement le contrôle d'identité. L'homme a ensuite appelé à la rescousse. Une cinquantaine de personnes ont rejoint la bagarre et roué de coups les policiers de la tête aux pieds. L'arrivée de renforts a permis l'interpellation de quatre personnes dont la femme voilée. Mais
tous ont été remis en liberté dans la nuit par le parquet de Marseille dans un souci d'apaisement en période de ramadan.
J’avais conclu mon billet par un laconique « Je suis écœuré. Aussi parce que j'ai l'impression vraiment que tout ça ne peut que très très mal finir... ». Faut-il rajouter quelque chose… ?

Il est très sain que des personnalités politiques témoignent de l’impunité dont ont longtemps bénéficié certaines personnes. Il faut rappeler les faibles sanctions contre les délinquants de Barbes et Sarcelle des manifestations pro-palestinienne de cet été…


L’élément de langages « padamalgam » que l’on sort toutes les cinq minutes pour ne pas citer certains problèmes ne pourra pas tenir bien longtemps…

samedi 24 octobre 2020

Ecrire pour quelqu'un qui chantera ?

 Avant d'en parler à ma psy, j'en parle sur mon blog...

Souvent, dans mes rêves, j'écris un texte. Une chanson. Je me réveille, et je n'ai que deux, trois phrases... C'est frustrant. Autant faire des rêves cochons. Mais visiblement à 43 ans on ne fait plus de rêves qui font que les draps s'en souviennent, puisque je ne me souviens plus des textes que j'écris et qui me paraîtraient pas si laids que ça...

Avec mon ami Nicolas nous moquions souvent ceux qui se croyaient "influents" et pensaient que leur blog changerait le cours d'une élection et de la République.

Je me rends compte qu'en fait je suis pire. J'aimerais écrire... 
J'ai le livre des chansons de Serge Lama à côté de ma souris, et lui ne fait qu'écrire. Je pense que côté Solfège il n'est pas brillant. Goldman écrit beaucoup, mais il connaît la musique... 

Je suis frustré de l'écriture. Mais écrire un livre comme Daniel Riolo m'intéresse moins qu'écrire une chanson. Un homme qui a vécu des choses que j'ai connu de très (trop près), Philippe Labro, aura fait les deux. Ecrire des livres formidables, dont un relu il y a peu qui m'a fait comprendre deux trois choses. Et il a écrit des chansons fantastiques.

"Une partie de cartes"...
C'est encore Johnny. Mais cette chanson, ce clip, c'est un film. 

Je ne suis que moi. C'est déjà bien de l'accepter. Mais je vois les limites et la frustration...

vendredi 23 octobre 2020

Tu ne la croiseras plus tous les matins...

 Non Johnny... Déjà tu n'es plus là et tu nous manques.

Mais non, tu ne la croiseras "plus tous les matins, à 5h40, elle prend son train, et toi tu rentres". On est dans le couvre feu... Tu ne rentreras pas, elle ne partira pas...


Jean-Jacques nous manque aussi. La lumière te fait peur Jean-Jacques, mais tellement de gens t'aiment et ont perdu des lumières.

Ce soir je peux encore sortir. J'ai pas envie. En pyjama. Envie de regarder un concert de Johnny avec les enfants. 

Je la croise tous les matins, cinq heures quarante.
Elle va prendre son train et moi je rentre.
Elle commence sa journée toujours à l'heure.
Moi, la lumière me fait peur.
Elle a cette assurance inaccessible
De ceux qu'ont de la chance de naissance.
Elle est belle comme les filles du jour
Comme celles qui n'ont rien à cacher
Et moi j'attends toujours, avant de rentrer, juste pour la regarder.
A la voir on devine des enfants coiffés, un homme, l'odeur du café
La vie qu'on imagine, avant de plonger, celle que je n'aurai jamais
Et moi je me sens misérable, sali des fumées de mes nuits.
Moi je suis né coupable, coupable d'envies, son monde est interdit.
Je maudis les fins de semaine quand les autres me l'ont volée
Jusqu'au lundi matin, cinq heures quarante.
Elle va prendre son train, et moi je rentre.


mardi 20 octobre 2020

Adieu Bruno Martini


J’ai été choqué ce matin quand mon téléphone m’a pushé pour m’annoncer la mort de Bruno Martini. Le gardien de but de mes années collèges. 

Guy Roux disait qu’il irait au paradis. Je lui souhaite à Bruno. Mais outre sa mort jeune rappelle combien nous sommes mortels, je me revois collégien. 

J’ai été éduqué au football par Thierry Rolland et l’OM de Papin, le PSG de Canal Plus, et le Auxerre de Guy Roux, Martini et ce 4-3-3 qui m’a fait apprendre la droite et la gauche (littéralement : droite Cocard et gauche Vahirua)
C’est le football de mes années collèges. Penser à ma première petite amie quand j’ai appris la mort de Bruno Martini, que c’est con... Auxerre jouait contre Rovaniemmi, et je regardais...

Petit j’étais pas un bon footballeur. J’étais par contre un bon gardien de but. Martini, Olmeta, Barthez après. Nous avions des supers.
Martini, c’était la sortie avec le « pied en avant » pour montrer à l’attaquant que y a un taulier dans les cages. 

Bruno Martini c’est la France. L’auxerroise, ensuite celle de Montpellier. Celle d’un football ancien, qui n’était celui du 9-3, celui d’un autre temps. 

Je viens de finir le “cher football français” de Daniel Riolo. La France de Claude Sautet, des campagnes, avec Philippe Seguin président. C’est une fin de chapitre.

Bruno Martini c’était le football triste des années Houllier et de France Bulgarie. Mais c’était notre football. Celui de quand j’étais petit. 

Triste...

dimanche 18 octobre 2020

La France est divisée

Me baladant sur mes photos je suis retombé sur cette photo prise un soir d’octobre 2017. 

Après j’écoute sur les marches blanches et autres conneries. Sur les « ils ne passeront pas » alors qu’ils sont présents, choyés, aimés. Melenchon ce soir sur LCI c’était abject : la gauche de la gauche ont une sorte de pacte avec cet électorat communautaire qui se fout de la république. Le danger est là.

La sœur Traoré ne fait pas des marches blanches. Elle fout le bordel et vend dés T-shirt. Nous sommes ridicules avec nos bougies...

Nous sommes en guerre contre un islam qui joue avec la république. Le « pas d’amalgame » aura été une erreur mortelle. 
Sinon on est bientôt en couvre feu. Amusons nous... 

La France est divisée. L’islam conquérant a gagné une manche : nous sommes divisés. 


samedi 17 octobre 2020

Ne jamais citer cet ennemi qui tue...

Discours du ministre de l'éducation à midi, en hommage à ce professeur, ce simple professeur, qui pensait que savoir était un grand trésor. Et qui a fini décapiter à cause d'une pensée, d'une religion, que le ministre de l'éducation refuse de citer. Jamais les mots "islam", "islamisme", "musulman" n'auront été cité. Jamais.
 
"Les ennemis de la république" était le terme. Mais on va enfin avoir les couilles de les citer ces ennemis de la République ? Ce n'est pas le vieux monsieur qui promenait son chien pendant le confinement ou le catholique qui voit son fils se faire moquer à l'école car il fait le catéchisme

C'est qui le Bataclan, Charlie, l'hyper cascher, Nice, etc... ? C'est l'Islam, religion des lumières qui tuent ce qui la critiquent.

La ville de Paris avait inauguré un jardin Arnaud Beltrame, une autre victime de cet islam radical. Qu'est il écrit sur cette plaque ? Il a été "victime de son héroïsme"... Encore peur de citer l'ennemi, qui c'est vrai a un poids électoral fort. Mais je suis comme Muriel Cousin, je pensais que c'était le terrorisme islamique qui avait tué ce héros, et pas son courage...

Aujourd'hui les ennemis de la République ont un nom. Ils ont des complices aussi (l'islamogauchisme qui détruit la république). Mais taire que l'islam radical aujourd'hui est celui qui tue, pour conserver une clientèle électorale qui a un poids fort, c'est criminel.

Lire aussi le dossier sur la petite Mila dans le Point de cette semaine. Nausée totale. 

Le républicain que je suis ira peut être à l'église demain. J'ai en plus des gens de ma famille hospitalisé à cause du Covid...





mercredi 14 octobre 2020

Dans les villes de grandes solitudes...

Ceux que nous prépare Macron c'est cette chanson de Michel Sardou. Rien à récupérer de cette intervention d'un président aux abois et d'un pouvoir qui navigue à vue. 

On bosse, on rentre, on paie nos impôts et on ferme sa gueule. 


Dans les villes de grande solitude
Moi le passant bien protégé
Par deux mille ans de servitude
Et quelques clous sur la chaussée
Dans les villes de grande solitude
De nouvel-an en nouveaux nés
Quand j'ai bu plus que d'habitude
Me vient la faim d'un carnassier
L'envie d'éclater une banque
De me crucifier le caissier
D'emporter tout l'or qui me manque
Et de disparaître en fumée
Mais dans les villes de grande solitude
Tous les héros se sont pollués
Aux cheminées du crépuscule
Et leurs torrents se sont calmés
Alors je fonce comme une bête
Sur le premier sens interdit
Aucun feu rouge ne m'arrête
Je me sens bien dans ma folie
J'ai envie de violer des femmes
De les forcer à m'admirer
Envie de boire toutes leurs larmes
Et de disparaître en fumée
Mais dans les villes de grande solitude
Quand l'alcool s'est évaporé
Je replonge dans la multitude
Qui défile au pas cadencé
J'ai peur d'avoir brisé des vitres
D'avoir réveillé les voisins
Mais je suis rassuré très vite
C'est vrai que je ne casse rien

lundi 12 octobre 2020

Instagram du Font Saint André à Villeneuve lez Avignon #Gard

Je réserve d'habitude ce type de billet à mon grenier du Faucon. Sur lequel j'aime bien alimenter en photos. Des blagues et des bêtises je n'en fais plus. Pourquoi ? Peut être car la période ne me donne pas envie de rire. 

Ces photos ont été prises fin Septembre 2019. Il faisait pluvieux et les enfants étaient heureux. Ils le sont toujours. Moi, je me reconstruisais. J'avais un ami à Villeneuve qui deviendra plus tard mon chef. Maintenant, il ne m'adresse plus la parole...

Devant la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon, on imagine le ciel se couvrir. Ce n'est pas l'effet Instagram, nous avons pris une grosse pluie. 

Une semaine d'arrêt maladie pour moi. Sauf que aujourd'hui à la différence des deux premiers je ne travaille pas. Je blogue un peu. Mais c'est tout. Le weekend a été difficile mais ça ira.

Je n'ai pas le Covid, c'est déjà ça. 

On bloguera utile une prochaine fois. J'aimerais écrire sur la phrase de Claude Chirac qui expliquait pour son père a refusé un gouvernement d'union nationale après le 21 Avril 2002. Pour qu'il y ait une gauche et une droite, qui puissent être l'une l'alternative de l'autre.

Tellement différent de ce qu'aura fait Macron. 

Allez... Couché tôt ce soir encore. On va essayer de manger un peu quand même...