j'adore ce qu'est devenu l'immense Eric Di Méco
dimanche 21 février 2021
Vivre pour toujours, avec Osiris @OsirisCovBande
samedi 20 février 2021
Rio grande, ou l'envie du grand large...
Deux chansons en tête ce soir. "Restez vivant" de Johnny, qui démontre que non j'ai eu été mieux. Et une autre, que j'adore, de son ami Eddy. Rio Grande. L'appel du grand large.
Si un jour je vais au USA, New York m'intéresse moins que la Floride, la Nouvelle Louisiane ou la Californie. Je verrai Le Mississipi avec plaisir. Mais le Rio Grande, avec la voir d'Eddy, le copain de Johnny.
Gardons des horizons et des objectifs..
Ça commence comme dans un film noir :
Un jeune couple embarqué dans une sale histoire.P'tit voleurs fichés et recherchés,La vie les a changés en marginaux blessés.En cavale, changeant chaque soir,D'hôtel, d'identité, Evitant les bars.Bêtes traqués, une seule lueur d'espoir :Ça s'ra la fin du bluesDans l'port de Vera Cruz.(Refrain:)Rio, Rio Grande. Dès la frontière passée,Nous s'rons blanchis, sauvésRio, Rio Grande. Le temps va s'arrêterPour mieux nous oublier.On s'promet une vie, sans bluesTout commence à Vera CruzVrais mensonges, rêveurs éveillés,Le Mexique est bien loin du supermarché.Les vigiles nous ont vite repérés :Ça s'ra toujours le bluesDans la banlieue d'Mulhouse.
vendredi 19 février 2021
Le silence
Francis Cabrel chantait "c'est le silence qui se remarque le plus". Me concernant je n'ai pas cette prétention. Je m'inquiète du silence de certains, mais après est ce que je lis ? Ou ne suis je pas dans cette grotte ?
J'avais envie de poster des photos d'un aprésmidi dans le Gard avec Falconette et mes enfants. Hier, j'étais chez le médecin du travail pour dire que j'arrivais au bout de je ne sais pas quoi. Un nouveau cliquet, mais quel objectif ?
Des fois il vaut mieux se taire. Le silence. Mes photos du Gard vu d'en haut, je les partagerai plus tard.
Aujourd'hui, j'admets pas l'écrit (libérateur) que la dépression saisonnière est présente. Plusieurs Février durs.
J'ai deux bébés et une épouse formidable. Mes amis le sont aussi. Dans la vraie vie et dans les blogs. Merci à vous.
lundi 15 février 2021
Saint Valentin et Bruce Springsteen
samedi 13 février 2021
Quelques cris
La Chromecast est un des objets qui aura changé nos vies. Il y a les tablettes, qui fait que ma grand mère, mes parents, nous et mes enfants utilisons le même objet récent. Qui a changé nos vies. Le smartphone : quand en 2010 j'étais aux urgences de Bagnols avec un téléphone à la con, la cheville dans la boite à gants et tout le programme de TF1 qui défilait sous mes yeux, j'ai pris la décision d'acheter l'iPhone. Je ne le regrette pas.
La Chromecast, c'est l'ane Trotro ou le générique de Bioman qui passe à la télé facilement. C'est aussi pour moi mettre mes clips, mes chansons.
Le samedi soir, avant qu'arrive the Voice (y a pas longtemps c'était Ninja Warrior mais je ne me bats pas le samedi soir... Le Lyon Montpellier je m'en fous, et j'adore voir mes enfants adorer une émission qu'on regarde en famille), j'ai des chansons qui me viennent en tête.
Ce soir, c'est la chanson (encore) de Johnny "quelques cris". Elle n'avait pas de clip. "Partie de cartes", du même album, j'ai déjà posté. Ce clip Jean Réno Johnny, il est superbe. Mais la chanson "quelques cris", la troisième de l'album de 1999, est superbe. C'est son fils David et Françoise Sagan qui l'ont écrite (David je savais, Sagan j'ai mis Wikipédia pour être sur).
C'était un cri de nouveau-né
Le jour où ma mère me mit bas
Nu, sanglant, entre des draps
Oh, me ft peur
Ce fut un cri de volupté
Lorsqu'une femme m'attira
Nu, tremblant, entre ses bras
Oui, me fit peur
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Fut celui de l'homme comblé
Lorsque la foule me rappela
En scène, pour la dixième fois
Oh, me fit peur
C'est qu'une autre a pris le dessus
Elle parle peu, elle parle bas
La solitude brise ma voix
Me fait peur
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Dernière fois
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
J'avais le regard affamé
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
vendredi 12 février 2021
Pizzas du vendredi soir
Cela fait longtemps que je n'ai rien écrit. Télétravail qui rime parfois avec désespoir. Et cette semaine, une angine et une bronchite qui m'a fait perdre la voix, et vraiment avoir eu peur de faire augmenter les courbes dans le Gard.
Mais non, un test dans le nez de plus, trois jours de travail (où j'ai vraiment coupé), une semaine de toux et de voix éraillée.
samedi 6 février 2021
Seul Des gens vous aiment, vous entourent On se retrouve quand même et toujours Seul
J'adore cette chanson de Johnny.
Pascal Obispo l'a écrite... Le symbole est particulier. Je prends.
Parler de tout pour ne rien dire
Ce n'est que se livrer en pâture
À des gens qui croient vous séduire
Les regards
On a pour vous
Tous les égards
On vous invente
Des aventures
Mais on s'étonne de vous savoir
On est partout et toujours
Seul
Des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul
Avec un trop plein d'amour
Que l'on donne à une personne
Une seule
Mais qui au petit jour, au petit jour
Vous abandonne, oh
Vous abandonne
Comme un roc
A l'abri des coups
Et des chocs
Parce qu'on ne vous voit
Qu'en vitrine
Blindé aux envies
Qu'on provoque
On rentre le soir
On démaquille
Son désespoir
Dans un miroir
Sans complaisance
A qui on ne raconte pas d'histoires
On est partout et toujours
Seul
Des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul
Avec un trop plein d'amour
Que l'on donne à une personne
Une seule
Mais qui au petit jour, au petit jour
Vous abandonne, oh
Vous abandonne
On est partout et toujours
Seul
Des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul
Avec un trop plein d'amour
Que l'on donne à une personne
Une seule
Mais qui au petit jour, au petit jour
Vous abandonne
Oui, vous abandonne
Oui, vous abandonne
samedi 30 janvier 2021
Monsieur Castex est venu nous dire... rien euh du tout
Bel hommage de notre pouvoir en Marche à Monsieur Patel hier soir.
jeudi 21 janvier 2021
66 millions de procureurs ? Non 66 millions de citoyens (dont certains qui en ont plein de cul)
Emmanuel, faut que je te parle à toi aussi...
Ce pouvoir est en totale déliquescence. Il n'accepte plus une chose toute simple : le débat, la contradiction. Emmanuel Macron confond République et Empire. Jean Castex et Olivier Veran prennent toutes critiques comme attaques politiques, donc interdites. Etat d'urgence, il est urgent de fermer sa gueule et de ne rien dire. .
mercredi 20 janvier 2021
inhumanité et horizon bouché
samedi 16 janvier 2021
vendredi 15 janvier 2021
Jean, viens, il faut qu'on se parle à nous !
dimanche 10 janvier 2021
Bison futé
J’ai eu un début d’année personnellement horrible. Une assignation au tribunal (pas personnellement mais pour un collectif où je suis) pour une raison mesquine. La violence au boulot, toujours.
lundi 4 janvier 2021
Sous la neige dans le Gard
Je ne voulais pas boire ce soir. Je vais commencer le dry machin pas aujourd’hui en tous cas...
dimanche 3 janvier 2021
Blues du dimanche soir et ras le bol devant une France lamentable
On dirait un pays nordique. Il ne s'agit du Forez, un lac à côté de Saint Hilaire Cusson la Valmitte, le village de Falconette, entre Noël et le jour de l'an. Dans mon Grenier du Faucon, après la série de photos sur Roquemaure en ce moment, je posterai ces quelques jours sous une neige qui donnait au Forez une teinte suédoise ou norvégienne.
D'ailleurs, cette histoire de la faiblesse de la République devant des "teufeurs" rappelle un autre naufrage de ce quinquennat. Un pouvoir qui a abdiqué devant les délinquants de Notre-Dame-des-Landes. Un pouvoir faible... Amis des Hautes-Alpes et du Jura, ne sortez pas ce soir hein, 18 heures est passé : vous vous vous ferez sanctionner.