Le nouveau livre de Jacques Chirac devrait bientôt sortir. Quand je recevrais le Point de cette semaine, je lirai avec intérêt les bonnes pages de ce livre...
Apparemment, il tape sur Sarkozy. Pas avec violence non, mais plus, j'ai l'impression, avec la tristesse d'un père qui voit que son fils a toujours tenté de le niquer, et qu'il est un petit ingrat... Des choses sont claires, écrites, c'est très bien...
Non, ce qui m'a marqué dans ces extraits, c'est celui là.
Après, est ce que je lirai ces deuxièmes mémoires de Jacques Chirac ? Je vais vous faire un aveu, je n'ai même pas lu le premier tome...
Apparemment, il tape sur Sarkozy. Pas avec violence non, mais plus, j'ai l'impression, avec la tristesse d'un père qui voit que son fils a toujours tenté de le niquer, et qu'il est un petit ingrat... Des choses sont claires, écrites, c'est très bien...
Non, ce qui m'a marqué dans ces extraits, c'est celui là.
"J'aurais sans doute dû tout mettre en oeuvre pour constituer une équipe dirigeante plus représentative des 82% d'électeurs qui m'ont apporté leur suffrage le 4 mai 2002. Je ne l'ai pas fait et ce fut probablement une erreur au regard de l'unité nationale dont j'étais le garant"J'aime les gens qui reconnaissent leurs erreurs. C'était mon sentiment aussi, au soir de cette élection. C'était dommage, car je crois que cette erreur a donné un terrifiant deuxième tour clivant, violent, et assez affligeant, entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, qui se valent vraiment tous les deux en ce qui concerne bien des petites choses...
Après, est ce que je lirai ces deuxièmes mémoires de Jacques Chirac ? Je vais vous faire un aveu, je n'ai même pas lu le premier tome...
Je crois que c'est facile a posteriori de tenir ce genre de propos mais qu'à l'époque, il était coincé surtout que le clivage "droite gauche" n'était pas tombé. Je crois qu'il a joué son rôle de président en laissant le gouvernement gouverner... Ce qui change par rapport à maintenant.
RépondreSupprimerCa serait amusant de pouvoir utiliser nos outils "modernes" pour mesurer le poids de Raffarin par rapport à Fillon dans l'actualité...
Oui tu as raison, c'est un point intéressant...
RépondreSupprimerC'est drôle cette comparaison "...avec la tristesse d'un père qui voit son fils..." tu vois les choses différemment dirait-on maintenant que... ^^
Encore toutes mes félicitations pour votre heureux évènement ^^
Chirac peut faire des mea culpa tardif certes mais il a promu dès le départ Sarko tt de même et s'est rendu compte très vite que le fils voudrait bouffer le pére. Et qdon songe au nombre de gens que Chirac a passé à la trappe... pas de quoi pavoiser.
RépondreSupprimeret guiliguili au petit faucon,
Va voir le film "la conquête"; les comédiens qui jouent Sa., Ch., de Vil. sont excellents !
RépondreSupprimerOuais, je sais : tu as autre chose à faire en ce moment !
la petite bête qui monte qui monte ...au petit faucon !
:)
Nicolas,
RépondreSupprimerD'autres hommes (politiques ou pas) n'ont jamais esquissé le moindre soupir de méa culpa, sur leurs actes qui n'ont pas été forcément toujours brillants.
Donc oui, c'est facile. Mais il a raison de l'avouer.
Après oui, il y avait ce clivage droite contre gauche bête et con. Con, car il niait les 82% du deuxième tour. C'est dommage...
Stef,
Ce n'est pas 'maintenant' que je vois la chose comme ça. Le relation filiale de respect et d'affection vis à vis de celui qui a fait ce que tu es devenu est quelque chose qui dépasse la simple paternité. Et je pense qu'il y avait un rapport très fort entre l'homme Chirac et l'homme Sarkozy, que ce deuxième a brisé d'une manière lamentable et contestable.
Corto,
Sarkozy représentait une réalité politique en 2002, il ne pouvait pas être mis de coté.
Gildan,
Là je vais aller au cinéma, mais pas de suite. J'attends le DVD (qui a dit "div x" là ?)
FalconHill,
RépondreSupprimerIl ne niait rien. Dire le contraire équivaut à dire que le Front National a gagné et que les autres partis ne sont là que pour lutter contre l'extrême droite.
Le clivage est réel : les projets politiques sont bien différents...
Nicolas,
RépondreSupprimerOui mais on parle de la situation en 2002. Qu'il y ait des clivages, évidemment. Des projets différents sans doute. A l'époque, peut être que...
Maintenant entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, oui, il y avait des différences, c'est évident.
Au fait, je viens d'avoir le "nouvelObs" ! Il y a déjà toutes les bonnes pages du livre. Tu seras un peu en retard, comme "Le Point" !!!
RépondreSupprimer:))))
Bien, je m'en vais lire ça !
Il parait qu'ils sont furax au "Point" en croyant avoir l'exclu!
Il a fait fort le Joffrin !
:)