Je crois rêver… J’ai reçu hier soir un commentaire limite
insultant (quoique aujourd’hui, c’est la « liberté d’expression »
pour certains tolérants et humanistes d’insulter les gens). Parce que mes
billets, après 5 jours de publication, sont « modérés ». Je suis les
bons conseils de mes maitres et néanmoins amis.
L’objet de mon billet est moins, finalement, de soupirer
devant ce genre de connards (liberté d’expression), que de m’émouvoir de cette
recrudescence violente de spam sur les blogs bloggers en ce moment.
Ce weekend,
c’est monté à un niveau d’environ 3 spams par heures : c’est énorme. Et
sur des billets assez récents finalement, c’est inquiétant.
Beaucoup de choses en ce moment me donneraient envie de
stopper cette activité de blog. D’abord le niveau d’insulte et d’intolérance
dans la société, qui est multipliée exponentiellement sur le net, les blogs et
les réseaux sociaux. C’est incroyable.
C'est incroyable, et ce n'est pas comme ça que je considère le débat politique. Je ne suis pas un bisounours, des campagnes électorales je commence à en avoir un peu dans ma besace (des victoires aussi), mais j'ai toujours édicté le respect comme base de tout. Peut être le respect est une "valeur de droite", pour paraphraser ces minables du Syndicat de la Magistrature (liberté d'expression) qui définissent ceux que sont les valeurs "de gauche"...
Il y a surtout ces histoires de spams. Recevoir 50 mails par
jours d’anonymes qui commentent, c’est désespérant. Davantage que les
commentaires de blogueurs de gauche sectaire qui viennent commenter simplement
pour insulter ou pour caricaturer tes idées.
Désespérant, j’aime bien cet adjectif. C’est ce que je
ressens.
La technique qui consiste à modérer les commentaires des
billets qui ont plus de 5 jours est une technique qui vaut ce qu’elle vaut.
Elle évite d’avoir à supprimer les commentaires anonymes qui passent le filtre
du spam sur Blogger. Mais elle n’est pas parfaite.
La technique du « code à taper » après avoir écrit
un commentaire existe sur Blogger. Elle n’est pas parfaite non plus. Ecrire un
commentaire sur l’iPhone ou smartphone est déjà d’un pénible sans nom. Si en
plus cela doit s’accompagner de taper un code, ça deviendra répulsif.
Demain, Google Reader va disparaitre (je n’ai toujours pas
de solution de rechange, mais je n'ai pas cherché non plus). A la fin de l’année, c’est iGoogle qui ouvre mes
sessions d’Internet depuis… Depuis je ne sais pas combien de temps, mais ça
fait longtemps, très longtemps.Tous ces trucs auxquels je suis attaché qui disparaissent, c'est emmerdant...
A côté de ça, j’ai une interface Blogger à laquelle je suis
attaché. Mais qui me donne des insatisfactions qui commencent à me courir sur
la truite.
Dois-je changer ? Je n’en ai pas envie de ça non plus. Je suis trop attaché à ce blog. Que j’avais ouvert un jour de Novembre en Picardie. Je n’ai pas envie qu’il disparaisse.
Quelque part je me dis que si une nymphe qui courrait dans les bois voulait venir me faire un coucou, elle repasserait par cette adresse. Je n’aimerais pas qu’elle disparaisse…
Ce billet se termine sans solutions. Par contre, je
confirme : c’est pénible. Désespérant…
Faut attendre que Blogger corrige ses bugs.
RépondreSupprimerNicolas,
SupprimerBeaucoup en ce moment, de bugs... (Dire que tu étais considéré spam à une époque...)
En attendant, promis, on va tenter de se cotiser pour un punching-ball..
RépondreSupprimerBlandine,
SupprimerQuand il pleuvra plus j'irai courir, ça me fait du bien :-)