mercredi 13 août 2025

Repos à Notre-Dame de la Salette et quelques idées en réserve

Dans les endroits que j’aime quand je viens à Orcières-Merlette, il y a cette route de 1h20 qui nous mène aux portes de l’Isère. De préférence tôt le matin, direction Notre-Dame de la Salette.
Le sanctuaire est immense, mais à cette heure-là, même à la veille du 15 août et de la fête de la Vierge, on croise peu de monde. On profite alors d’un joli soleil, dans un calme rare.

La route est superbe. Bonne nouvelle : l’Arkana hybride automatique se comporte très bien en montagne. Souvent en électrique en descente et sur plat, avec de la pêche en montée. Elle surpasse sans mal nos anciennes familiales, Kadjar et 3008 diesel.

Juste quelques photos de vacances. 

Je parlerai plus tard de ce “partage” (annexion, redécoupage...) que les Américains proposeraient pour mettre fin à la guerre en Russie (et si la gauche pouvait s’offusquer autant de l’invasion russe que de celle de la Palestine, ça serait sympa).
De ces deux jours fériés supprimés qui ne passent pas, et des mesures contre les gens qui travaillent que propose Bayrou.
Je lui rappellerai qu’un bon projet s’appuie sur un objectif atteignable. 50 milliards d’économies sans toucher au gras de l’État, ça ne fonctionne pas. Mieux vaut viser plus modeste. Ce sera déjà difficile.

J’ai aussi une idée pour augmenter le temps de travail… intelligemment. Indolore, même, pour les cadres qui explosent déjà les 35 heures hebdomadaires.

Mais pour l'instant je suis en vacances. Et c'est bien. 

5 commentaires:

  1. L'Etat pachydermique avec ses redondances et ses lourdeurs...çà fait bien longtemps que je me dis qu'il lui faudrait un bon audit à 360°, une analyse de risque et d'efficacité et un suivi des indicateurs de performance. Mais Yaka Faukon, comme on dit.

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    1. Oui, surtout quand le pouvoir n'est pas dans les mains des élus et politiques (un peu hors sol) mais d'une administration qui ne veut pas que ça change et qui est là depuis longtemps.

      J'ai eu en direction un "haut fonctionnaire". J'ai vu toute la médiocratie dans sa splendeur. Il s'était fait dégagé de son ancien poste, est venu chez nous, a foutu le bordel, et est recasé dans avec un joli maroquin dans un autre lieu où il fera des dégats.

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    2. Le pouvoir n'est pas entre les mains des élus et politiques? Peux-tu préciser?

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    3. Oui, c'est pas très clair ce que j'ai écrit. Il n'y a rien de complotiste dans ce que j'écris, mais la haute fonction publique est une caste qui ne se réforme que peu, et à chaque échec se retrouve recaser.

      Peters, l'inventeur du principe de Peters, appelle ça le tarabiscotage latéral.

      Aujourd'hui, les ministres changent. Mais les administrations restent peu ou prou les mêmes. Elles changent parfois de ministère. Et comme elles servent l'Etat, elles n'ont pas de couleurs politiques.

      Un des points qui m'avait marqué était la volonté d'une Marine Le Pen de s'entourer de ce type de personne, elle qui se voulait marquer une vraie rupture. En fait il n'y en aura pas avec elle car les rouages et le logiciel resteront les mêmes.

      Je ne veux pas en dire plus sur le cas du haut fonctionnaire qui viré de son dernier poste (direction quand même) est venu dans ma boutique. Et s'est fait viré en allant prendre la tête d'une autre boutique. Ca change, ça recycle.

      Donc "paresse intellectuelle" oui. Un homme ou une femme d'état qui voudrait vraiment imposer une rupture radicale devrait faire face à pire que le peuple : c'est l'appareil d'état.
      Mais c'est possible. L'histoire l'a montré. Mais cela demande du courage, de l'intelligence, une vision au delà d'un simple mandat. Et ce n'est pas à la portée de nos politiques actuels.

      Je n'ai peut être pas été plus clair... ^__^

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    4. Ah merci, c'est clair maintenant. Et je suis assez d'accord, l'appareil d'Etat a une telle force d'inertie qui est plus à craindre que le peuple si on veut réformer en profondeur.

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