(on bade qui ? Y a trois mecs de la pirogue qui font des courses de 500 mètres, qui tournent cinq fois autour du parking... Merde !)
samedi 22 octobre 2011
Les All Blacks : c'est des pipes ! (Moscato)
Un moment fabuleux. J'adore Vincent Moscato...
(on bade qui ? Y a trois mecs de la pirogue qui font des courses de 500 mètres, qui tournent cinq fois autour du parking... Merde !)
(on bade qui ? Y a trois mecs de la pirogue qui font des courses de 500 mètres, qui tournent cinq fois autour du parking... Merde !)
L'Olympique de Marseille n'appartient pas à ces "supporters" là !
J’avais parlé ici de ces pseudos supporters lyonnais qui s’étaient comporté, l’an passé, de manière lamentable, et eurent fait planer sur leur club un climat lourd et pesant. J’avais exprimé tout mon soutien au président du PSG de l’époque qui eut mis dehors des pseudos supporters parisiens, dont le seul but était de mettre en place un climat de violence et de terreur dans leur stade de foot.
Aujourd’hui, j’exprime tout le dégout qui est le mien en voyant l’attitude des « supporters » marseillais. Je mets des guillemets, car j’estime que ces gens desservent le club que j’aime…
Certains groupes de supporters ont pondu hier un communiqué de grève. On croit rêver, mais non, ils seront « en grève » pour le match de ce soir. Le communiqué est à tomber par terre, tant il est ridicule… « L’ensemble des groupes de supporters de l’O.M. ne se reconnait plus dans son club. Pauvreté technique, faillite collective, absence de caractère sont les premiers symptômes d’un mal profond. Droit au but n’existe plus ! Aujourd’hui c’est droit dans le mur. » Bonne logique de la part de ces supporters : vous avez de mauvais résultats ? Ben on ne se reconnait plus en vous et on ne vous supporte plus. Logique, non ?
Mais la suite est aussi à pleurer… « Nous ne sommes pas obligés de venir encourager une équipe qui nous couvre de honte. » Tu as raison : et bien reste chez toi.
« Si la situation devait perdurer, nous demanderons à chacun d’assumer ses responsabilités. Quant à nous, nous assumons les nôtres en ne tolérant pas le manque de respect des valeurs de notre club dont nous voulons être les garants. Le silence est le meilleur des mépris, mais ce n’est peut-être que la première étape… ». Mais pour qui se prennent ils ? Les garants de quoi ? Garants de rien du tout ils sont !
« nous assumerons nos responsabilités », mais merde, c’est quoi que cette pseudo république des supporters ?
En gros, je résume. Quand l’équipe gagne, on est supporter. Quand elle perd, elle « nous fait honte », donc on n’est plus supporter. Logique affligeante. Ces « supporters » là, qui n’en sont pas, me font honte en ce qui me concerne.
Surtout quand ensuite ils vont jusqu’à la menace : « ce n’est que la première étape ». La prochaine c’est quoi ? Ils vont bruler des voitures ? Ils vont faire comme à Lyon et tagguer d’insultes la maison de l’entraineur ? Ces quoi ces types… Des "supporters" ça ?
Mais bon, ce communiqué, déjà profondément ridicule et malsain, n’est rien par rapport aux propos hier d’un des présidents d’un des « clubs de supporters » de l’OM. Supporters, tu parles…
Ce type oublie juste qui est Didier Deschamps. Il oublie juste qu’il chantait comme un fou en 1993, mais aussi ces deux dernières années quand les titres tombaient comme à Gravelote. Aujourd’hui, il montre juste que le supporter de base, en plus d’avoir la cervelle d’un moineau, à la mémoire d’un poisson rouge…
On passera sur le « qu’il prenne ses 8 millions… », con comme le reste de la réaction. Du même niveau que quand des connards, il y a quelques années, crachaient sur Robert Louis-Dreyfus en lui demandant de « rendre l’argent »…
Didier Deschamps est l’homme de la situation, évidemment. Par contre, ces « supporters » là sont indignes. Ils ne veulent plus supporters l’OM ? Ben on le fera à leur place : qu’ils laissent la place.
L’OM ne leur appartient pas : l’OM appartient à ceux qui l’aiment, qu’il fasse beau ou mauvais. Qu’ils gagnent 3-0 contre Dortmund, ou qu’ils perdent à la dernière minute contre Arsenal.
L’OM appartient à ceux qui l’aime quand il faut faire la fête et aller au mariage, mais restent là quand c’est la Toussaint et qu’il y a des enterrements. L’OM n’appartient surement pas à ces supporters là…
Et l'OM appartient à ceux qui espèrent ce soir un grand match de leur part. Mais dans cette ambiance délétère, ça sera dur...
Aujourd’hui, j’exprime tout le dégout qui est le mien en voyant l’attitude des « supporters » marseillais. Je mets des guillemets, car j’estime que ces gens desservent le club que j’aime…
Certains groupes de supporters ont pondu hier un communiqué de grève. On croit rêver, mais non, ils seront « en grève » pour le match de ce soir. Le communiqué est à tomber par terre, tant il est ridicule… « L’ensemble des groupes de supporters de l’O.M. ne se reconnait plus dans son club. Pauvreté technique, faillite collective, absence de caractère sont les premiers symptômes d’un mal profond. Droit au but n’existe plus ! Aujourd’hui c’est droit dans le mur. » Bonne logique de la part de ces supporters : vous avez de mauvais résultats ? Ben on ne se reconnait plus en vous et on ne vous supporte plus. Logique, non ?
Mais la suite est aussi à pleurer… « Nous ne sommes pas obligés de venir encourager une équipe qui nous couvre de honte. » Tu as raison : et bien reste chez toi.
« Si la situation devait perdurer, nous demanderons à chacun d’assumer ses responsabilités. Quant à nous, nous assumons les nôtres en ne tolérant pas le manque de respect des valeurs de notre club dont nous voulons être les garants. Le silence est le meilleur des mépris, mais ce n’est peut-être que la première étape… ». Mais pour qui se prennent ils ? Les garants de quoi ? Garants de rien du tout ils sont !
« nous assumerons nos responsabilités », mais merde, c’est quoi que cette pseudo république des supporters ?
En gros, je résume. Quand l’équipe gagne, on est supporter. Quand elle perd, elle « nous fait honte », donc on n’est plus supporter. Logique affligeante. Ces « supporters » là, qui n’en sont pas, me font honte en ce qui me concerne.
Surtout quand ensuite ils vont jusqu’à la menace : « ce n’est que la première étape ». La prochaine c’est quoi ? Ils vont bruler des voitures ? Ils vont faire comme à Lyon et tagguer d’insultes la maison de l’entraineur ? Ces quoi ces types… Des "supporters" ça ?
Mais bon, ce communiqué, déjà profondément ridicule et malsain, n’est rien par rapport aux propos hier d’un des présidents d’un des « clubs de supporters » de l’OM. Supporters, tu parles…
« On est arrivés à un point de rupture. Avant, quand l’entraineur n’arrivait pas à tenir son équipe, il partait. Aujourd’hui, ils ont des contrats où ils doivent encaisser huit millions en cas de départ. Qu’il (Didier Deschamps) encaisse ses huit millions d’euros et qu’il s’en aille. Parce qu’il est en train de nous envoyer en Ligue 2. »Mais c’est qui ce type ? Il s’appelle Michel Tonini, président des Yankees… C’est affligeant, c’est indigne.
Ce type oublie juste qui est Didier Deschamps. Il oublie juste qu’il chantait comme un fou en 1993, mais aussi ces deux dernières années quand les titres tombaient comme à Gravelote. Aujourd’hui, il montre juste que le supporter de base, en plus d’avoir la cervelle d’un moineau, à la mémoire d’un poisson rouge…
On passera sur le « qu’il prenne ses 8 millions… », con comme le reste de la réaction. Du même niveau que quand des connards, il y a quelques années, crachaient sur Robert Louis-Dreyfus en lui demandant de « rendre l’argent »…
Didier Deschamps est l’homme de la situation, évidemment. Par contre, ces « supporters » là sont indignes. Ils ne veulent plus supporters l’OM ? Ben on le fera à leur place : qu’ils laissent la place.
L’OM ne leur appartient pas : l’OM appartient à ceux qui l’aiment, qu’il fasse beau ou mauvais. Qu’ils gagnent 3-0 contre Dortmund, ou qu’ils perdent à la dernière minute contre Arsenal.
L’OM appartient à ceux qui l’aime quand il faut faire la fête et aller au mariage, mais restent là quand c’est la Toussaint et qu’il y a des enterrements. L’OM n’appartient surement pas à ces supporters là…
Et l'OM appartient à ceux qui espèrent ce soir un grand match de leur part. Mais dans cette ambiance délétère, ça sera dur...
vendredi 21 octobre 2011
Un petit Haka de vieille...
Délicieux blog du Moscato show, qui présente ce haka de 1973, à Cardiff. Des All Blacks pas très inspirés... ^___^
Ca m'amuse. Et ça prépare un délicieux weekend de sport...
Ca m'amuse. Et ça prépare un délicieux weekend de sport...
Olympique de Marseille : c'est quoi ce maillot orange ?
Les résultats des clubs français ont été mauvais en Ligue des Champions cette semaine. C’est un fait incontestable. Ce qui est également incontestable, c’est cette maladie des clubs français de bafouer leurs identités et leurs couleurs au nom d’un marketing insupportable.
Lyon aura joué contre le Grand Real de Madrid en rose. Et Marseille aura joué, à domicile, en orange. Marseille en orange… Davantage que le jeu, j’ai trouvé cela insupportable. Surtout qu’Arsenal a joué avec ses couleurs extérieures, en noir. Il n’aurait pas été choquant que Marseille se pare de ses couleurs blanches et bleues. Les historiques. Celles avec lesquelles la bande à Boli et Deschamps eurent conquis l’Europe.
Mais non. Il doit y avoir un as du marketing, à Marseille. L’an passé, il nous a joué la blague de l’hommage à l’Afrique pour valider un maillot moche et immonde. Cette année, il nous a pondu un maillot orange grotesque.
Le pire, dans cette histoire, c’est de voir dans les tribunes, ou dans les rues, des supporters qui l’ont acheté et qui le mettent, ce maillot qui est une insulte à l’histoire d’un club. Qui ne mérite pas ça. Et qui tel les autres grands clubs d’Europe, devrait affirmer ce qu’il est, et ses couleurs. Imagine t’on Barcelone, Manchester United, la Juventus ou le Bayern, jouer en jaune fluo un match à domicile en Ligue des Champions ?
Le reste sinon, c’est les résultats du club que j’aime. Et la tristesse des supporters, les vrais supporters.
Mais c’est aussi, par ailleurs, une sorte d’indifférence en ce moment autour de mon OM. Je ne sais pas si c’est le fait de voir un stade Vélodrome à moitié détruit, mais je sens une résignation lasse des supporters… Une indifférence… Je ne sais pas, mais aujourd’hui je suis inquiet…
Ce n’est pas un moche maillot orange qui me redonnera la confiance…
Lyon aura joué contre le Grand Real de Madrid en rose. Et Marseille aura joué, à domicile, en orange. Marseille en orange… Davantage que le jeu, j’ai trouvé cela insupportable. Surtout qu’Arsenal a joué avec ses couleurs extérieures, en noir. Il n’aurait pas été choquant que Marseille se pare de ses couleurs blanches et bleues. Les historiques. Celles avec lesquelles la bande à Boli et Deschamps eurent conquis l’Europe.
Mais non. Il doit y avoir un as du marketing, à Marseille. L’an passé, il nous a joué la blague de l’hommage à l’Afrique pour valider un maillot moche et immonde. Cette année, il nous a pondu un maillot orange grotesque.
Le pire, dans cette histoire, c’est de voir dans les tribunes, ou dans les rues, des supporters qui l’ont acheté et qui le mettent, ce maillot qui est une insulte à l’histoire d’un club. Qui ne mérite pas ça. Et qui tel les autres grands clubs d’Europe, devrait affirmer ce qu’il est, et ses couleurs. Imagine t’on Barcelone, Manchester United, la Juventus ou le Bayern, jouer en jaune fluo un match à domicile en Ligue des Champions ?
Le reste sinon, c’est les résultats du club que j’aime. Et la tristesse des supporters, les vrais supporters.
Mais c’est aussi, par ailleurs, une sorte d’indifférence en ce moment autour de mon OM. Je ne sais pas si c’est le fait de voir un stade Vélodrome à moitié détruit, mais je sens une résignation lasse des supporters… Une indifférence… Je ne sais pas, mais aujourd’hui je suis inquiet…
Ce n’est pas un moche maillot orange qui me redonnera la confiance…
jeudi 20 octobre 2011
Présidente ou première dame de France ?
J'ai adoré la caricature du jour de l'excellent Ranson, dessinateur au Parisien. Il illustrait l'interview de Ségolène Royal qui nous rassure, elle ne quittera pas la vie politique. J'en suis ravi.Je ne sais pas si ce billet peut être considéré comme "un mot empoisonné" à l'attention d'une dame que je n'apprécie pas particulièrement (je ne dirai rien sur l'interview... soupir), mais la caricature m'a bien amusé...
Une copine présidentielle pour bébé Faucon ?
Le frère de mon meilleurs ami a eu un bébé il y a 10 jours, le lendemain du quart de finale France - Angleterre. Sa femme, une anglaise (et oui) lui a donné une délicieuse petite fille...
Nous ferions la naissance imminente de ce bébé dans la cave de mon ami. Il y avait le maire du village, et dans la rigolade, je lui demandais "tiens ? on peut réserver la salle des fêtes de Lirac pour Juin 2034 ? On fera le mariage de bébé qui nait demain et mon bébé Faucon".
Et on riait. Et on buvait. Et le lendemain, quand est née la divine enfant, on a recommencé.
Je n'ai pas eu d'information push hier soir, mais j'ai vu sur Twitter que Carla Bruni avait accouché d'une fille. J'en suis ravi pour elle, et pour son papa de Président.
Aujourd'hui, le net bruissera de remarques caustiques, de moqueries. Évidemment, de la part d'une frange pleine de tolérance de nos blogueurs et commentateurs militants politiques, de méchancetés qui donnent foi en l'humanité qu'il y a dans chacun d'entre nous (amen).
Ma seule remarque est bête. J'ai parlé ce matin à bébé Faucon, et lui ait dit qu'il avait une nouvelle petite copine qui est née cette nuit. Il m'a fait "aaaaeeeuuuhhhh". Je lui ai dit qu'il avait déjà vu ses parents à la télé, que son papa était président. Bébé Faucon a tourné sa tête, et a fait cette tête en cul de poule que je poste régulièrement du Facebook, et qui me vaut le délicieux qualificatif de "gâteux", que je trouve totalement justifié...
Par contre, il est comme son papa mon bébé Faucon. Il aime la fidélité, ce petit canaillou... Dans ses yeux, j'ai compris qu'il n'était finalement que peu intéressé. Qu'il avait déjà une petite copine, et que ses beaux parents sont mes amis. Il m'a fait comprendre qu'il préférait un merveilleux mariage dans les villages où il né, plutôt qu'un encore plus fastueux à Paris, dans les ors de la République.
Mais je me suis quand même dit aussi, gâteux que je suis, que c'est chouette une naissance. C'est bien d'être papa. Que l'on soit simple plouc ou Président de la République. Et je leur souhaite à eux, à mes amis de Lirac, et à tous, pleins de bonheur.
Tout simplement...
Nous ferions la naissance imminente de ce bébé dans la cave de mon ami. Il y avait le maire du village, et dans la rigolade, je lui demandais "tiens ? on peut réserver la salle des fêtes de Lirac pour Juin 2034 ? On fera le mariage de bébé qui nait demain et mon bébé Faucon".
Et on riait. Et on buvait. Et le lendemain, quand est née la divine enfant, on a recommencé.
Je n'ai pas eu d'information push hier soir, mais j'ai vu sur Twitter que Carla Bruni avait accouché d'une fille. J'en suis ravi pour elle, et pour son papa de Président.
Aujourd'hui, le net bruissera de remarques caustiques, de moqueries. Évidemment, de la part d'une frange pleine de tolérance de nos blogueurs et commentateurs militants politiques, de méchancetés qui donnent foi en l'humanité qu'il y a dans chacun d'entre nous (amen).
Ma seule remarque est bête. J'ai parlé ce matin à bébé Faucon, et lui ait dit qu'il avait une nouvelle petite copine qui est née cette nuit. Il m'a fait "aaaaeeeuuuhhhh". Je lui ai dit qu'il avait déjà vu ses parents à la télé, que son papa était président. Bébé Faucon a tourné sa tête, et a fait cette tête en cul de poule que je poste régulièrement du Facebook, et qui me vaut le délicieux qualificatif de "gâteux", que je trouve totalement justifié...
Par contre, il est comme son papa mon bébé Faucon. Il aime la fidélité, ce petit canaillou... Dans ses yeux, j'ai compris qu'il n'était finalement que peu intéressé. Qu'il avait déjà une petite copine, et que ses beaux parents sont mes amis. Il m'a fait comprendre qu'il préférait un merveilleux mariage dans les villages où il né, plutôt qu'un encore plus fastueux à Paris, dans les ors de la République.
Mais je me suis quand même dit aussi, gâteux que je suis, que c'est chouette une naissance. C'est bien d'être papa. Que l'on soit simple plouc ou Président de la République. Et je leur souhaite à eux, à mes amis de Lirac, et à tous, pleins de bonheur.
Tout simplement...
(non, je n'avais pas envie de parler politique ce matin...)
(source photo)
mardi 18 octobre 2011
Luttons contre l'ostéoporose ! (buvons des bières)
C'est Maxiscience, relayé par le Monde, qui l'annonce.
Selon des chercheurs britanniques, boire de la bière permettrait aux femmes de lutter contre l'apparition future d'ostéoporose. C'est les copines qui vont être contentes.
Il se trouve que la bière est riche en silicium, et que le silicium permet de lutter efficacement contre l'ostéoporose. Mais les chercheurs disent qu'il n'y a pas que ça : "le silicium n'était pas le seul ingrédient important. L'éthanol contenu dans la bière intervient aussi en diminuant la perte osseuse, tandis que le silicium encourage sa reformation".
Il y a des bonnes nouvelles, comme ça. Je suis rassuré pour certains amis : je sais qu'ils n'auront pas de problèmes osseux, et c'est une belle nouvelle.
Selon des chercheurs britanniques, boire de la bière permettrait aux femmes de lutter contre l'apparition future d'ostéoporose. C'est les copines qui vont être contentes.
Il se trouve que la bière est riche en silicium, et que le silicium permet de lutter efficacement contre l'ostéoporose. Mais les chercheurs disent qu'il n'y a pas que ça : "le silicium n'était pas le seul ingrédient important. L'éthanol contenu dans la bière intervient aussi en diminuant la perte osseuse, tandis que le silicium encourage sa reformation".
Il y a des bonnes nouvelles, comme ça. Je suis rassuré pour certains amis : je sais qu'ils n'auront pas de problèmes osseux, et c'est une belle nouvelle.
Quand à moi, je m'en vais m'occuper de ma santé...
Tour de France 2012 : c'est demain...
J'adore le Tour de France. L'édition 2012 promet d'être délicieuse...Le départ sera belge, avec un tour de Liège. C'est bien, c'est un pays de vélo, la Belgique. De la moyenne montagne beaucoup : ça sera sympa. Les bretons vont gueuler par contre. Et pour chez moi, j'aurais un Saint Paul 3 Chateaux - Cap d'Agde qui fera la part belle aux échappés.
Pas de Ventoux (bouh), mais le Grand Colombier, la Croix de Fer, la Madelaine ou le mur de Péguère, ça sera bien.
Bref, vivement l'été... (en plus les présidentielles seront passées...)
Pas de Ventoux (bouh), mais le Grand Colombier, la Croix de Fer, la Madelaine ou le mur de Péguère, ça sera bien.
Bref, vivement l'été... (en plus les présidentielles seront passées...)
- Prologue (30 juin): Liège - Liège 6.1 km
- 1re étape (1er juillet): Liège - Seraing 198 km
- 2e étape (2 juillet): Visé - Tournai 207 km
- 3e étape (3 juillet): Orchies - Boulogne-sur-Mer 197 km
- 4e étape (4 juillet): Abbeville - Rouen 214 km
- 5e étape (5 juillet): Rouen - Saint-Quentin 197 km
- 6e étape (6 juillet): Épernay - Metz 210 km
- 7e étape (7 juillet): Tomblaine - La Planche des Belles Filles 199 km
- 8e étape (8 juillet) : Belfort - Porrentruy 154 km
- 9e étape (9 juillet) : Arc-et-Senans - Besançon 38 km (contre-la-montre)
- Journée de repos
- 10e étape (11 juillet): Mâcon - Bellegarde-sur-Valserine 194 km
- 11e étape (12 juillet): Albertville - La Toussuire 140 km
- 12e étape (13 juillet): Saint-Jean-de-Maurienne - Annonay 220 km
- 13e étape (14 juillet): Saint-Paul-Trois-Châteaux - Le Cap d'Agde 215 km
- 14e étape (15 juillet): Limoux - Foix 192 km
- 15e étape (16 juillet): Samatan - Pau 160 km
- Journée de repos
- 16e étape (18 juillet): Pau - Bagnères-de-Luchon 197 km
- 17e étape (19 juillet): Bagnères-de-Luchon - Peyragudes 144 km
- 18e étape (20 juillet): Blagnac - Brive-la-Gaillarde 215 km
- 19e étape (21 juillet): Bonneval - Chartres 52 km (contre-la-montre)
- 20e étape (22 juillet): Rambouillet - Paris Champs-Élysées 130 km
(à noter que la fuite du tracé la semaine dernière : même le Tour, vous vous rendez compte...)
lundi 17 octobre 2011
Je viens de recevoir un avertissement d'HADOPI (ouh là là)
Non, je plaisante j'ai rien reçu. Mais il n'empêche : Omar et Fred restent brillants ^__^
LOL HADOPI - SAV des émissions par partipirate
LOL HADOPI - SAV des émissions par partipirate
Réagir sur Hollande, alors qu'on a envie de soupirer sur l'UMP...
Je ne sais pas quoi écrire ce matin, pour parler de la désignation de François Hollande comme candidat du parti socialiste. Mais bon, ça serait dommage, pour moi en tous cas, que je n'écrive rien...
Une grande majorité de mes copines et copains de gauche fêtent aujourd’hui la désignation de leur candidat, qu’ils aient ou non voté pour lui. C’est beau, le rassemblement. Mais je ne sais pas quoi dire…
Je pourrais taper sur François Hollande, qui est donc aujourd’hui le candidat de la gauche, et celui susceptible de gouverner avec des verts et des mélenchonistes (j’espère pas plus à gauche…) qui vont lui faire la fête à la surenchère (à moins qu’ils ne se contentent de places chaudes sans moufter ?). Mais non, même pas… Je suis content que Martine Aubry ait été battue, et heureux de voir que sa manière cassante et sectaire de concevoir le combat politique n’est pas celle qui fut sélectionné par les votants au primaire. Cela me donne un peu (juste un peu) espoir en la politique…
Quand je vois, par contre, les Morano ou les Copé sur les plateaux télé, et m’attends à demain ce grand show UMP pour taper bêtement et caricaturalement sur le programme socialiste, mon espoir s’envole, et revient ainsi le désespoir…
Mais quelque part, autant j’espère que Hollande mettra au silence certains de son équipe (je pense à Peillon, toujours égal à lui-même dans la médiocrité), autant je souhaite vivement que Sarkozy élimine de son équipe ceux qui font énormément de mal à la politique, et à la droite d’une manière générale. Quand on peut compter sur un Fillon, un Juppé, un Baroin ou même une Pécresse quand elle est bien réveillée, on peut se passer sans problème de Copé, Dati, Hortefeux ou Morano…
La gauche a réussi à mettre hors jeu Ségolène Royal, pourquoi la droite n'arriverait elle pas à mettre sur la touche Jean-François Copé ? Ca serait bien pour la politique...
Il est bizarre mon billet de ce matin. Je devrais réagir sur François Hollande. Normalement, lui taper dessus. Et en fait je remarque que depuis le début de mon billet je tape sur la droite, qui hier m’aura été pathétique…
Elle sera dure, la campagne présidentielle si un peu de ménage n'est pas vite fait...
Alors je me contenterai de reprendre ma réflexion du 20 Septembre 2011, quand je remarquais que l’on ne mourrait jamais en politique. François Hollande, qui aura été un premier secrétaire mis dehors à grand coups de pieds dans le joufflu, revient triomphant. Ce Flamby qui était pour de Montebourg le pire défaut du Parti Socialiste devient, 3 ans après, son meilleurs atout.
Les choses changent. Parfois très vite. On ne meurt jamais en politique, François Hollande vient d’en apporter une nouvelle preuve… Peut être que d’autre, au pouvoir aujourd’hui mais mal en point, pourraient le prouver demain ?
Une grande majorité de mes copines et copains de gauche fêtent aujourd’hui la désignation de leur candidat, qu’ils aient ou non voté pour lui. C’est beau, le rassemblement. Mais je ne sais pas quoi dire…
Je pourrais taper sur François Hollande, qui est donc aujourd’hui le candidat de la gauche, et celui susceptible de gouverner avec des verts et des mélenchonistes (j’espère pas plus à gauche…) qui vont lui faire la fête à la surenchère (à moins qu’ils ne se contentent de places chaudes sans moufter ?). Mais non, même pas… Je suis content que Martine Aubry ait été battue, et heureux de voir que sa manière cassante et sectaire de concevoir le combat politique n’est pas celle qui fut sélectionné par les votants au primaire. Cela me donne un peu (juste un peu) espoir en la politique…
Quand je vois, par contre, les Morano ou les Copé sur les plateaux télé, et m’attends à demain ce grand show UMP pour taper bêtement et caricaturalement sur le programme socialiste, mon espoir s’envole, et revient ainsi le désespoir…
Mais quelque part, autant j’espère que Hollande mettra au silence certains de son équipe (je pense à Peillon, toujours égal à lui-même dans la médiocrité), autant je souhaite vivement que Sarkozy élimine de son équipe ceux qui font énormément de mal à la politique, et à la droite d’une manière générale. Quand on peut compter sur un Fillon, un Juppé, un Baroin ou même une Pécresse quand elle est bien réveillée, on peut se passer sans problème de Copé, Dati, Hortefeux ou Morano…
La gauche a réussi à mettre hors jeu Ségolène Royal, pourquoi la droite n'arriverait elle pas à mettre sur la touche Jean-François Copé ? Ca serait bien pour la politique...
Il est bizarre mon billet de ce matin. Je devrais réagir sur François Hollande. Normalement, lui taper dessus. Et en fait je remarque que depuis le début de mon billet je tape sur la droite, qui hier m’aura été pathétique…
Elle sera dure, la campagne présidentielle si un peu de ménage n'est pas vite fait...
Alors je me contenterai de reprendre ma réflexion du 20 Septembre 2011, quand je remarquais que l’on ne mourrait jamais en politique. François Hollande, qui aura été un premier secrétaire mis dehors à grand coups de pieds dans le joufflu, revient triomphant. Ce Flamby qui était pour de Montebourg le pire défaut du Parti Socialiste devient, 3 ans après, son meilleurs atout.
Les choses changent. Parfois très vite. On ne meurt jamais en politique, François Hollande vient d’en apporter une nouvelle preuve… Peut être que d’autre, au pouvoir aujourd’hui mais mal en point, pourraient le prouver demain ?
dimanche 16 octobre 2011
Prenons l'autoroute pour Nazareth
Ce soir, il faudrait normalement parler des primaires, de François Hollande. Mais non, pas envie...
Par contre, mon winamp vient de me jouer "Speedway to Nazareth", de l'immense Mark Knopfler. Et oui, ce soir, j'ai envie de prendre la route...
Il sera temps, demain, de parler politique... De ces réticences dans la grande famille de gauche. Et en face, de cette UMP qui, ce soir, devrait vraiment la jouer profil bas, et empêcher des Morano, Copé ou Jacob de parler au nom de la droite...
On parlera politique demain... Ce soir, prenons l'autoroute vers ailleurs...
Par contre, mon winamp vient de me jouer "Speedway to Nazareth", de l'immense Mark Knopfler. Et oui, ce soir, j'ai envie de prendre la route...
Il sera temps, demain, de parler politique... De ces réticences dans la grande famille de gauche. Et en face, de cette UMP qui, ce soir, devrait vraiment la jouer profil bas, et empêcher des Morano, Copé ou Jacob de parler au nom de la droite...
On parlera politique demain... Ce soir, prenons l'autoroute vers ailleurs...
samedi 15 octobre 2011
Haka français
Belle matinée en perspective... (un peu de stress là, quand même). Alors rions avant le début du combat !
HAKA Francais
HAKA Francais
vendredi 14 octobre 2011
Montebourg : "Hollande, c'est le principal défaut du parti socialiste"...
C'est toujours adorable de regarder le Petit Journal. La scène est à la 5eme minute...
Vive la politique, n'est ce pas... ?
(en bonus track, un merveilleux document du Monde : "Arnaud Montebourg : 10 ans d'union et de désunion politique". Un modèle de parcours...)
François Hollande, qui était à l'époque le principal défaut de Ségolène Royal, était en 2007 le principal défaut du parti socialiste pour Arnaud de Montebourg. Aujourd'hui, Martine Aubry est, apparemment, un défaut encore plus gênant...
Vive la politique, n'est ce pas... ?
(en bonus track, un merveilleux document du Monde : "Arnaud Montebourg : 10 ans d'union et de désunion politique". Un modèle de parcours...)
Deux conceptions d’une campagne politique… (Hollande vs Aubry)
Martine Aubry contre François Hollande. La finale ne concernera que peu d’électeurs (les sympathisants de gauche qui se déplaceront), mais elle montre en tous cas, à mon sens, deux manières différentes de faire et de concevoir la politique. Le fond est sans doute identique sur bien des points. Pas la forme.
Hier soir, Martine Aubry a lancé une nouvelle salve pleine d’humanisme en direction de son concurrent François Hollande. Ce n’est pas la première depuis le début de la campagne. C’est une manière de faire de la politique : centrer son discours sur l’attaque ou la moquerie de l’autre.
Un ton cassant. Une envie de faire mal. A l’autre, à l’adversaire, au camp d’en face, qu’on accusera de tous les maux.
Sur la forme toujours, cette volonté d’avoir une « gauche dure »… Combattre le mal par le mal. Remplacer la droite dure par la gauche dure ? La belle affaire… Et puis laquelle, de « gauche dure » ? Celle actuellement au pouvoir en Espagne, en Grèce ou au Portugal, qui réduit le salaire des fonctionnaires, augmente considérablement les impôts et la durée de cotisation pour la retraite ?
En face, il y a François Hollande, qui a fait une campagne que j’ai trouvé assez digne. Certains lui reprochent de ne s’être prêté au jeu préféré de Royal et d’Aubry, celui des petites phrases cassantes sur les uns et sur les autres. Certains lui reprochent de « ne pas participer pas à cette escalade. (…) Ne pas participer pas à ces dénigrements, à cette dévaluation. »… Deux conceptions de la politique.
Deux conceptions de la politique toujours sur cette histoire de gauche dure, avec pour moi, avec François Hollande, la meilleure phrase de l’ensemble de ces primaires socialistes : « Je n'ai pas envie d'une gauche dure. On sort de cinq ans d'une présidence brutale. Nous serions, nous, une candidature sectaire? Je ne le veux pas. Je pense que ce pays a besoin d’être apaisé ».
Il a complètement raison. Cette phrase l’a grandit.
Alors sans doute perdra-t-il bien des voix auprès des sectaires tenant de la « vraie gauche », celle qui fera rendre gorge à tous ceux qui ne sont pas de gauche. Les « socials traitres », ou autre conneries de ce genre. Ca sera très bien…
Je suis de ceux qui pensent qu’une élection se gagne en rassemblant au-delà de son camp. Celui qui reste arcquebouté sur son sectarisme et son camp ne dépassera jamais le nombre de voix de ses militants, de ses sympathisants. Pour gagner une élection, c’est insuffisant.
Il va de soit que je ne voterai jamais pour une personne qui me promet « une gauche dure ». Une personne qui cherche le rassemblement m’est déjà plus sympathique. Après, je ne suis pas de gauche, je ne suis pas la cible visé. Mais si, comme le fait Martine Aubry, je me sens au pire insulté, au mieux mis de coté, il va de soit que je voterai contre…
Oh, il se passera du temps avant que je n’ai envie de voter pour Hollande aux présidentielles. Il va de soit que s’il m’annonce vouloir gouverner avec les amis de Mélenchon, ou avec les verts (une interview affligeante ce matin de Cécile Duflot sur Europe 1, avec encore une série de clichés et de mensonges sur le nucléaire notamment…), il n’aura pas ma voix pour lui.
Mais entre lui ou Aubry, il n’y a évidemment pas photo pour moi : deux conceptions de la politique différentes…
Pour autant, François Hollande n’a pas encore gagné dimanche. Uniquement 2,5 millions de votant, il reste encore bien de la réserve comme le rappelle Toréador sur son blog. Et on ne sait pas ce que feront, ou ne feront pas, ces gens là.
Ensuite parce que Martine Aubry a déjà prouvé qu’elle était capable de gagner des élections internes sans forcément faire plus de voix que son adversaire… Et bon, on ne sait jamais…
(notre amie Shaya aura reconnu une photo du Lac d'Annecy, un souvenir de 2009... Pourquoi cette photo sur ce billet ? Pourquoi pas...)
Hier soir, Martine Aubry a lancé une nouvelle salve pleine d’humanisme en direction de son concurrent François Hollande. Ce n’est pas la première depuis le début de la campagne. C’est une manière de faire de la politique : centrer son discours sur l’attaque ou la moquerie de l’autre.
Un ton cassant. Une envie de faire mal. A l’autre, à l’adversaire, au camp d’en face, qu’on accusera de tous les maux.
Sur la forme toujours, cette volonté d’avoir une « gauche dure »… Combattre le mal par le mal. Remplacer la droite dure par la gauche dure ? La belle affaire… Et puis laquelle, de « gauche dure » ? Celle actuellement au pouvoir en Espagne, en Grèce ou au Portugal, qui réduit le salaire des fonctionnaires, augmente considérablement les impôts et la durée de cotisation pour la retraite ?
En face, il y a François Hollande, qui a fait une campagne que j’ai trouvé assez digne. Certains lui reprochent de ne s’être prêté au jeu préféré de Royal et d’Aubry, celui des petites phrases cassantes sur les uns et sur les autres. Certains lui reprochent de « ne pas participer pas à cette escalade. (…) Ne pas participer pas à ces dénigrements, à cette dévaluation. »… Deux conceptions de la politique.
Deux conceptions de la politique toujours sur cette histoire de gauche dure, avec pour moi, avec François Hollande, la meilleure phrase de l’ensemble de ces primaires socialistes : « Je n'ai pas envie d'une gauche dure. On sort de cinq ans d'une présidence brutale. Nous serions, nous, une candidature sectaire? Je ne le veux pas. Je pense que ce pays a besoin d’être apaisé ».
Il a complètement raison. Cette phrase l’a grandit.
Alors sans doute perdra-t-il bien des voix auprès des sectaires tenant de la « vraie gauche », celle qui fera rendre gorge à tous ceux qui ne sont pas de gauche. Les « socials traitres », ou autre conneries de ce genre. Ca sera très bien…
Je suis de ceux qui pensent qu’une élection se gagne en rassemblant au-delà de son camp. Celui qui reste arcquebouté sur son sectarisme et son camp ne dépassera jamais le nombre de voix de ses militants, de ses sympathisants. Pour gagner une élection, c’est insuffisant.
Il va de soit que je ne voterai jamais pour une personne qui me promet « une gauche dure ». Une personne qui cherche le rassemblement m’est déjà plus sympathique. Après, je ne suis pas de gauche, je ne suis pas la cible visé. Mais si, comme le fait Martine Aubry, je me sens au pire insulté, au mieux mis de coté, il va de soit que je voterai contre…
Oh, il se passera du temps avant que je n’ai envie de voter pour Hollande aux présidentielles. Il va de soit que s’il m’annonce vouloir gouverner avec les amis de Mélenchon, ou avec les verts (une interview affligeante ce matin de Cécile Duflot sur Europe 1, avec encore une série de clichés et de mensonges sur le nucléaire notamment…), il n’aura pas ma voix pour lui.
Mais entre lui ou Aubry, il n’y a évidemment pas photo pour moi : deux conceptions de la politique différentes…
Pour autant, François Hollande n’a pas encore gagné dimanche. Uniquement 2,5 millions de votant, il reste encore bien de la réserve comme le rappelle Toréador sur son blog. Et on ne sait pas ce que feront, ou ne feront pas, ces gens là.
Ensuite parce que Martine Aubry a déjà prouvé qu’elle était capable de gagner des élections internes sans forcément faire plus de voix que son adversaire… Et bon, on ne sait jamais…
(notre amie Shaya aura reconnu une photo du Lac d'Annecy, un souvenir de 2009... Pourquoi cette photo sur ce billet ? Pourquoi pas...)
jeudi 13 octobre 2011
Laissons le Général de Gaulle tranquille
Nicolas Sarkozy avait parlé en début de semaine : «Le général de Gaulle avait dit vouloir une élection, présidentielle à deux tours, pas à quatre tours. ».
Je suis toujours agacé quand viennent les déclarations « le Général voulait si, le Général aurait fait ça ». Toujours agacé…
Personne ne sait ce que ferait le Général de Gaulle aujourd’hui. N’en déplaise à ceux qui se considèrent les « vrais gaullistes » (oui, on a aussi nos extrémistes, nos « vrais trucs » qui donnent des leçons…).
Mais jouons à ce jeu. Lorsqu’il a crée la Veme République, à laquelle je suis très attaché, le Général de Gaulle avait prévu un mandat présidentiel de 7 ans. Pas de 5 ans.
Il avait prévu que les gouvernants respectent le choix des peuples lorsqu’ils sont sollicités par référendum. Pas qu’on vienne, en loucedé, les désavouer par les chambres parlementaires.
Peut être n’avait il pas forcément prévu que la Veme République devienne ce qu’elle est en 2011. Mais quelqu'un aujourd'hui peut il prévoir comment sera la France en 2061 ?
Nicolas Sarkozy ne s’était pas arrêté là : « Les socialistes parlent aux socialistes, nous nous devons nous occuper de l'ensemble des Français». Il n'a pas tort du tout. C'est aussi pour ça que je ne suis pas allé voter : je n'étais pas concerné.
Alors pourquoi cette idée complètement conne (je prends position) de Jean-François Copé et de l’UMP de faire, la semaine prochaine, une convention télévisée sur le Parti Socialiste ? Le Président dit une chose vraie, à savoir qu’il faut s’occuper de l’ensemble des français. Et voilà que l’UMP s’occupe du Parti Socialiste.
J’ai toujours considéré qu’une élection se gagne en parlant de soi, de son projet, mais surtout pas à parlant uniquement de l’autre, en se positionnant uniquement par rapport aux autres. Là, depuis un mois, l’UMP ne parle que du PS. C’est idiot de faire comme l’adversaire et de ne l’ouvrir que pour moquer et taper sur le camp d’en face. Et au final c'est préjudiciable : ça ne fait pas gagner une élection.
Et ensuite, j’en ai marre d’entendre parler du Parti Socialiste. J’en ai ras le bol. Et voilà que je vois que le parti majoritaire en rajoute une couche, et à la télévision s’il vous plait… Oh ? Ils ont craqué complètement à l’UMP ?
N’en déplaise au Président, les primaires socialistes sont (pour l’instant) une réussite. Elles seront d’actualité à droite pour la succession de Sarkozy (parce qu’aujourd’hui il est idiot de faire une primaire quand le candidat est le sortant). Et ça sera une bonne chose.
Le reste, qu’on laisse le Général de Gaulle tranquille. Que l’UMP s’occupe de ses problèmes, de son projet, et nous parle du projet de Sarkozy pour le prochain mandat. Qu’il me parle du PS, je m’en moque : je n’ai pas besoin d’une convention télévision pour savoir qu’ils n’apporteraient rien de plus positif au pays.
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