Vincent Peillon a la tête comme un gros melon. Je n'ai jamais ici caché les profondes réserves que j'avais pour ce personnage, aux pratiques politiques parfois contestables...
L'histoire narrée par le Lab d'Europe 1 m'a amusé.
Vincent Peillon ne se déplace pas pour rien. L'anecdote est rappelée ce 5 décembre dans les confidentiels du Figaro. Invité par l'Ecole supérieure de commerce de Paris le 30 novembre à l'occasion d'un débat ayant pour thème "Sortir de l'école de la défiance", le ministre de l'Education nationale a préféré tourner les talons ... voyant que seule une cinquantaine de personnes étaient présentes pour l'écouter. Au lieu des 400 prévus.
Blasé, le ministre aurait lancé à ceux qui semblaient l'oublier :
"Je suis quand même numéro trois du gouvernement !"
Ben oui...
Apparemment, la journaliste de Libération Véronique Soulé, présente (et qui a narré la scène sur son blog), s'est retrouvé "sidéré".
Bah, c'est le numéro trois du gouvernement quand même... Avec un gros melon à la place du carafon, mais ça c'est une autre histoire, l'histoire de Vincent Peillon et son gros melon...
Apparemment, la journaliste de Libération Véronique Soulé, présente (et qui a narré la scène sur son blog), s'est retrouvé "sidéré".
Bah, c'est le numéro trois du gouvernement quand même... Avec un gros melon à la place du carafon, mais ça c'est une autre histoire, l'histoire de Vincent Peillon et son gros melon...