jeudi 4 septembre 2014

Château de Peyrepertuse - fin du voyage

Terminons la promenade au Château de Peyrepertuse. Avant d'aller prendre l'apéritif et de regarder un France - Espagne en football, c'est très bien...

La page Wikipédia nous a appris que ce coin était déjà fréquenté à l'époque romaine. Que le château daterait à peu près des années 850 et des brouettes. Et que beaucoup l'ont utilisé, habité, agrandi.
Ses ruines accueillent aujourd'hui près de 100 000 visiteurs par an. Elles dominent de 800 m les vignobles de la région et le village de Duilhac (vignoble des Corbières).
 On y accède par une route qui s'arrête juste en dessous de la falaise sur un parking, les visiteurs peuvent ensuite utiliser un chemin (environ un quart d'heure) pour faire le tour du château par l'est et rentrer par l'entrée principale côté nord. Même si le château est en ruine, la plupart des murs sont encore debout, certaines pièces sont encore bien conservées (notamment la chapelle fortifiée dans le Bas-Château).
J'avais, dans un billet précédent, mis quelques photos du village de Duilhac. Qui a un charme certains. 


Pour les courageux et les randonneurs, un sentier de grande randonnée part du village de Duilhac (prendre la route du château sur quelques centaines de mètres avant de prendre à droite un petit chemin qui coupe les lacets). Il s'agit d'une variante du sentier cathare.
Ce sentier cathare, il faudra que je le fasse... Et la marche vers le château, elle avait l'air magnifique... J'avoue avoir commencé depuis le parking. 

Par temps d'orage ou de grand vent, la montée est fortement déconseillée et souvent interdite pour protéger les visiteurs de la foudre et des glissades dangereuses dans l'escalier Saint-Louis, qui relie l'ancien château au donjon, déjà fort glissant par beau temps.
La falaise de calcaire est propice à l'escalade et les voies aboutissent toutes ou presque dans l'enceinte, au grand plaisir des grimpeurs qui terminent leur ascension sous le regard des touristes spectateurs.

Le château mesure 300 mètres de long et 60 mètres de large dans sa plus grande largeur. L'entrée se trouve au nord et tout le reste du château est inaccessible de par les falaises qu'il surplombe. Tout le château est entouré de remparts soigneusement accrochés en haut des à-pics. Mais la muraille de la partie nord plus accessible est plus imposante que celle de la partie sud qui est composée de pentes très abruptes. Il est composé de deux esplanades à l'est et à l'ouest.
L’enceinte "basse" a conservé son chemin de ronde formé de dalles reposant sur des corbeaux. Le côté sud est défendu par l'à-pic de la falaise. L'angle nord-ouest abrite la porte d'entrée. On peut observer sur cette esplanade le château primitif du comte de Besalù et la chapelle du xiie siècle. Une ancienne citerne d'eau est visible près du château primitif.

Ce qui m'a impressionné vu d'en bas, c'était la longueur de ce château, qui épousait merveilleusement ce pic rocheux.
Là encore, lire Wikipédia c'est bien. Imaginer que ceux sont des hommes, il y a bien longtemps, qui ont construit ce château, c'est édifiant...

L'homme est probablement un immense connard. Mais il est capable de génie...


Le donjon vieux est formé de l'église Sainte-Marie, de style roman, et d'un logis, constitué de deux pièces voûtées superposées. Quatre citernes alimentaient le château.
 
Sur l'esplanade ouest se dresse le château plus récent perché sur le roc Sant Jòrdi. Il fut construit sur l'ordre du roi Saint-Louis en 1242 pour renforcer la forteresse. Pour y accéder, un escalier dit de Saint-Louis assez vertigineux monte le long de la paroi du roc. Le "donjon de Sant Jòrdi" est un château avec son propre système de défense capable de résister aux assaillants ayant réussi à accéder à la forteresse et possédait sa propre chapelle dans le donjon, la chapelle Sant-Jordi (Saint-Georges) à nef unique.

C'est par ces quelques lignes Wikipédia que nous terminerons la balade dans le Château de Peyrepertuse. Plus tard, il faudra que j'écrive quelques billets sur Carcassonne, la cité est immense, magnifique. Et superbement conservée...


D'ailleurs, cette dernière réflexion... Souvent, je me dis que j'aimerais remonter dans le passé, dans mon passé. Je ne suis pas de ceux qui disent "je ne regrette rien, j'assume tout". J'ai beaucoup de regrets, des choses que j'aimerais modifier. Même si ma vie actuelle est merveilleuse, j'aimerais changer certaines choses. Modifier plutôt...


Mais remonter dans le passée aussi pour voir ces citadelles à l'époque de leurs apogées. Ca devait être merveilleux...
Il faudra que je fasse le tour du net pour essayer de trouver s'il existe des modélisations de ces châteaux dans l'apogée de leurs vies. Si vous avez des liens, chers visiteurs, je vous en serai gré...

Je ne ferai pas la recherche ce soir. Mes bébés hurlent, et j'ai l'impression qu'un bon verre de vin blanc me ferait un bien fou : il a fait chaud aujourd'hui...

Stop !

Pardon...

Merci à la méchante page.

En train de perdre la sans dent...

Rien à dire sur cette histoire de livre de Valérie Trierweiler. J'ai pu avoir de la compassion pour elle au moment où elle a été "mise à pied", mais je n'ai pas énormément de tendresse pour la dame. Sinon que je lui sais gré d'avoir contribué à ce que Ségolène Royal soit battue.
Son livre ne change pas non plus l'image que j'ai de son ancien compagnon président normal aujourd'hui. Humainement parlant (puisqu'on ne parle pas politique là). Elle était mauvaise. Elle n'évoluera pas.

En fait, je n'ai rien à dire sur ce livre. Ni en bien, ni en mal. Je ne lirai, j'ai pleins d'autres bon bouquins à lire (les Michael Connelly c'est bon). Qu'il existe ne me pose aucun problème moral ou autre. 

Mais j'avais envie de faire un jeu de mots sur ascendant. Et l'image m'avait fait rire.


mercredi 3 septembre 2014

La première rentrée des classes...

Morceau de vie personnel, ce matin... La maison était vide.
Les doudous demandaient : "il est où bébé Faucon ? on est tout seul, on le cherche...".

Bébé Faucon venait de faire sa première rentrée des classes. L'institutrice a l'air gentille. Son assistance toute jolie. 
Le papa venait de prendre son bébé Faucon dans les bras : il venait de poser sa petite veste sur le petit porte manteau à l'entrée. Il venait de lui faire un gros bisous, avant de lui faire un "au revoir", le voyant partir dans la classe.

Beaucoup d'émotion. J'imagine que si la rentrée avait été à Montfaucon, là où j'avais fait la mienne une trentaine d'année plus tôt, j'aurais eu une petite larme... Même si mon ancienne école maternelle n'est plus. L'école primaire, dans la colline de Montlézon, est toujours là.

Simple morceau de vie. Et beaucoup d'émotion dans la vie du papa que je suis. Du bonheur aussi...

Stigmatisons, stigmatisons...

Je suis surpris par le « tôlé » provoqué par la déclaration du ministre François Rebsamen, qui parlait de renfoncer les contrôles sur les chômeurs. Enfin, « tôlé »… Chez une certaine partie de la classe politique, parce que ces propos de bon sens du ministre n’ont provoqué l’indignation de partout.

Il est évident qu’il ne faut pas stigmatiser les chômeurs. Et les propos de François Rebsamen ne les stigmatisent pas. Donc tout va bien.

Par contre, rien de choquant de stigmatiser ceux qui fraudent et ceux qui trichent. Qu’ils soient chômeurs ou pas. Il faut lutter contre la fraude, contre toutes les fraudes. La fraude des grands patrons, la fraude des riches, mais aussi la fraude de ceux qui profitent de la solidarité nationale.

Il faut stigmatiser ceux qui trichent. Ceux qui ne respectent pas la loi. Ceux qui profitent de la solidarité nationale financée par nos impôts.
Et dire qu’il faut renfoncer les contrôles pour les attraper n’a rien de choquant. Les propos de François Rebsamen sont logiques et censés.

Ne faisons pas croire que ces propos sont « une stigmatisation des plus pauvres » comme le pleure une certaine partie de la classe politique. C’est mensonger. Et cela tendrait à faire croire que l’on tolère les tricheurs, ou du moins une certaine catégorie de tricheur. Ce n’est pas sain.

En tous cas, sur cette déclaration anodine pleine de bon sens, il est évident que je soutiens François Rebsamen. J'attends les actes maintenant... 
Si on commence à faire des polémiques sur des déclarations logiques et censées, l’année sera longue…

mardi 2 septembre 2014

Château de Peyrepertuse : suite et un peu d'histoire

Continuons la promenade dans le château de Peyrepertuse. Parce les paysages sont jolis, parce que le château et les cathares le méritent.

Une réflexion aussi. Je ne savais pas qu'avant d'acheter le PSG, le cathare construisait des château sur des pics rocheux.
La blague est mauvaise, mais elle m'a fait rire et cela fait deux jours que je la sors à la machine à café. Les gens sont affligés : ils sont raison. Car en plus, j'en suis fier...

Continuons donc notre promenade dans le château de Peyrepertuse. Nous sommes déjà à 800 mètres d'altitude. Le vent fouette notre visage. Les Corbières se dévoilent à nous. 

Nous apprenons sur la page Wikipedia que "Le site fut occupé à l'époque romaine dès le début du premier siècle avant Jésus-Christ, comme l'ont montré des fouilles récentes. En 806 apparurent les premières mentions du château dans l'Histoire. Il était alors catalan et s'appelait Perapertusès"
La Catalogne n'est pas loin...

À l'époque de la croisade contre les Albigeois, il était le fief de Guillaume de Peyrepertuse qui, ne voulant pas se soumettre, fut excommunié en 1224. Ce dernier se soumit après l'échec du siège de Carcassonne, et le château devint une possession française en 1240.
En 1242, Saint-Louis décida de le renforcer et de lui ajouter une deuxième partie, le donjon Sant Jòrdi, situé plus en hauteur sur la crête ; le donjon Sant-Jordi fut alors construit en 1250-51 et on réaménagea le Donjon Vieux ainsi que l'église Sainte-Marie qui existait antérieurement. 

La situation était confuse dans cette région jusqu'à la signature du traité de Corbeil en 1258 laissant libre la Catalogne et le Languedoc. Il fixait aussi la frontière juste au sud du château de Peyrepertuse. Celui-ci, comme ses voisins, les châteaux de Puilaurens et Quéribus, était une des forteresses royales reconstruites à la fin du xiiie siècle pour défendre la frontière contre le royaume d'Aragon puis l'Espagne jusqu'au xviie siècle.
Donc Puilaurens reste le dernier des grands châteaux qu'il faut que je visite... Je me demandais quoi faire l'an prochain...


En 1355, le château fut remis en état de défense et Henri de Transtamare, prétendant au trône de Castille, défait à Navarette, fut autorisé par le roi de France Charles V à s'y réfugier. En 1542, Jean de Graves, seigneur de Sérignan, s'empara du château au nom de la Réforme, mais fut pris et exécuté.
Un petit truc comme ça. En 2006, j'ai habité à Sérignan. Sérignan du Comtat, dans le Vaucluse. J'en garde des souvenirs émus. Je sais qu'il existe un Sérignan dans l'Hérault, je suppose que ce seigneur était de celui là, de Sérignan.
Enfin, je suppose, je n'en sais rien...

Le château fut déclassé comme place frontière lors du Traité des Pyrénées en 1659 ayant perdu son intérêt stratégique. Bien que la citadelle eut beaucoup moins de valeur depuis l'annexion du Roussillon en 1658, une faible garnison commandée par un officier subalterne fut maintenue jusqu'à la Révolution française, pendant laquelle il fut abandonné. Vendu comme Bien National en 1820, ses ruines subsistèrent jusqu'à aujourd'hui. La première campagne de consolidation du monument commença en 1950.

C'est très bien Wikipédia finalement pour avoir quelques informations rapides... 


En tous cas, ça me fait plaisir d'écrire ces billets, après avoir repris le boulot. Demain, bébé Faucon commence l'école. Et moi, je pense à mes prochaines vacances...

Comme quoi...



Nu son mon cloud... ?

Deux trois réflexions suite aux vols de photos intimes de stars sur iCloud, Dropbox etc…

J’avais écrit hier soir un tweet ironique, pas méchant du tout : « Si on me pirate mon iCloud, on verra des photos de mes bébés, de mes vignes, du Ventoux... Mais je n'ai jamais pensé à me prendre tout nu... ». Ce qui est vrai...
J’ai eu une réaction d’un ami proche, qui m’a confirmé que lui non plus n’avait pas pris sa paire de bouboules en photo avec son iPhone. Nous en avons plaisanté, sans plus. Cela n’avait en tous cas pas d’autres volontés que de plaisanter avec mes copains.

J’ai été surpris d’avoir reçu, derrière, des tweets me faisant un procès en machisme, voire plus. Surpris, le mot est faible : on peut rien dire sur Twitter (et ailleurs) sans que l’on se prenne des procès d’intention sur « ce qu’on pensait en fait mais qu’on a pas écrit, parce que inconscient ou pas les couilles de l’écrire ». On peut rien dire, sans que les 140 mots soient pris de travers. Bon…
Faire simplement la remarque que si on me pirate mon Dropbox, on ne verra que mon bébé mais probablement pas une photo de moi la piche à l’air parce que l’idée ne m’a pas traversé l’esprit est une marque de machisme et d’anti-féminisme coupable. C’est effrayant.

Il n’empêche.
Ces vols de photos personnelles sur des réseaux personnels est inquiétant et m'est insupportable. J’ai sur mon Skydrive et mon iCloud des photos de paysages, des photos de mes bébés, quelques photos prises à des moments sympas avec mes amis, ma famille. Rien de déshonorant, rien d’intime ou de cochon. Mais rien que je n’ai envie de voir débouler sur le net sans mon consentement…
Quelque part, j’estime bêtement que se voir piquer des documents personnels sur des espaces personnels, c’est une sorte de viol. C’est comme se faire cambrioler sa maison, se faire fouiller ses tiroirs, ses armoires, son ordinateur… C’est une sorte de viol.

C’est en tous cas le terme que j’emploie… (que les hordes du bon-parler et du féminisme ne viennent pas hurler, merci).
Et je comprends l'émoi que provoque ce genre de nouvelles. 

Jamais je n’aurais l’idée de prendre des photos de moi tout nu (pourtant j’ai un joli ventre et des belles jambes). Mais l’idée même qu’on puisse venir voler des documents personnels sur mon ordinateur ou sur mon cloudest quelque chose qui m’effraie et m’insupporte.


Pour autant, les procès sur les soi-disant arrières pensées d’un tweet ou d’un mot me gonflent. Je sais que Twitter fonctionne comme ça. Mais je ne m’y ferai jamais…

(pour la photo, que mon ami Homer ne s'inquiète pas je n'ai aucun dossier compromettant sur lui :-) Je lui souhaite une bonne rentrée)

lundi 1 septembre 2014

Château de Peyrepertuse : entrons et marchons...

Le château de Peyrepertuse, on y est... Passons la semaine à marcher dans ce coin des Corbières. L'endroit est sympa, et pour ma semaine de reprise au boulot, ça permet de prendre l'apéritif avec des jolies images dans la tête...

La page Wikipédia est très sympathique quand on n'a pas un Pierrot13 sous la main pour nous faire l'histoire du château et du coin. 
En quelques lignes (je résume) on y apprend que : 
"Le château est situé sur la commune de Duilhac-sous-Peyrepertuse dans les Corbières. Il se trouve sur une crête calcaire à près de 800 m d'altitude, dominant garrigue et vignes. Position stratégique qui permet à la fois de voir loin dans les différentes vallées qui l'entourent, de contrôler les cols ou de communiquer des signaux au château de Quéribus un peu plus au sud."
Elle est très bien cette page Wikipédia. Même s'il faut aussi profiter du paysage : ce château est vertigineux. "Vertigineux" est le terme qui définit le mieux ces châteaux, merci Pierrot. 

Le vent qui frappe le visage, en provenance des entrailles des Corbières, est quelque chose de magnifique. Ca sent bon en plus, c'est super...

Revenons sur la page Wikipédia : 
"La vue du château depuis Duilhac (au sud) est impressionnante grâce à la falaise de 30 à 40 mètres sur laquelle le château est posé.
L'entrée principale se trouve du côté nord, mais à l'époque des Cathares un passage secret permettait après un chemin étroit derrière un gros éperon rocheux de rentrer dans le château par une échelle amovible. Aujourd'hui la poterne du passage secret est fermée mais le chemin est toujours là (le passage derrière l'éperon est exceptionnel) et on peut terminer l'ascension par une voie d'escalade."
Je n'ai pas fait la voix d'escalade...


La page Wikipédia apprend d'autres choses que j'aime beaucoup...
"Le château fait partie des « Cinq fils de Carcassonne » avec les châteaux de Quéribus, Puilaurens, Termes et Aguilar, tous situés en haut de pitons rocheux « imprenables ». Il est surnommé la « Carcassonne céleste » car c'est le plus grand des cinq châteaux et qu'il était aussi vaste que Carcassonne"
La Carcassonne céleste. C'est joli, c'est tellement chouette... Le château de Carcassonne, ça sera parmi les prochaines photos que je vous proposerai. J'y suis passé aussi, c'est sympa...


Finalement dans ces trois jours, j'aurais fait Aguilar, Quéribus et Peyrepertuse. Termes, je l'ai vu au loin il y a 4 ans. Il me restera Puilaurens. Et les Pyrénées Orientales. L'année prochaine ?

En tous cas, la balade à Peyrepertuse n'est pas terminé. On va continuer à se promener. 

Sinon, la reprise au boulot a été ce qu'elle a été. Merci pour elle. Mais bon, j'étais mieux en vacances...





Reprenons le boulot...

Ce matin, retour au boulot... Il fait tôt déjà, et je suis un des premiers arrivés à mon bureau. C'est bien...

Photo prise dans le château de Peyrepertuse. Nous étions vers 9h30, et le soleil était déjà haut. C'est ça qui est bien en Août...
Le reste, c'est que les vacances sont bien finies. Il parait que l'été va continuer encore un peu.

Demain, bébé Faucon découvrira l'école. Je suis ému et content. 

Et puis après, nous verrons bien... Je vais lancer Google Actualité pour voir les dernières déclarations, tout ça... Quelque chose me dit qu'on en aura, des choses à dire...

dimanche 31 août 2014

Bière de fin de vacances

Elle est bonne et belle cette bière.

Je l'ai ouverte quand Lyon s'est pris le deuxième but à Metz. L'institution OL battue par un but de Falcon, il faut le vivre, ça...
Je vais vous faire un aveu : j'adore la ville de Lyon. Mais je déteste le club de Lyon. Je déteste l'OL. Sans doute le président y est pour quelque chose. A force de m'insulter (en tant que marseillais provençal et stéphanois par les liens, je suis une cible évidente), il a perdu mon affection. 

Sinon, c'est la fin de mes vacances. J'ai encore des châteaux cathares pleins mon escarcelles et mon iCloud. 
J'ai aussi pleins de sentiments sur cette séquence politique navrante que nous venons de vivre. Les "symboles" Taubira (qui se permet tout sans être inquiétée, pensez vous...) et Vallaud-Belkacem m'affligent moins qu'ils ne m'inquiètent sur la voie que prend mon pays. Et le fait d'avoir un pouvoir sans soutien ni base est quelque chose qui m'interroge. Et appuie mon exigence d'avoir une opposition républicaine digne et crédible, ce qui aujourd'hui n'est pas le cas.

Enfin, c'est la fin de mes vacances. Et ma bière, bien que servie bizarrement, était sympathique. Comme mes enfants. Comme mes vacances.

Demain sera un autre jour...

Croix cathare

Continuons la promenade commencée hier dans le village de Duilhac sous Peyrepertuse. Le village au dessous du château éponyme.

Une petite église toute mignonne vous accueille.

Avec une vue magnifique des Corbières. 

Ces villages aux confins de l'Aude sont magnifiques... Et l'histoire des cathares est présente à chaque endroit...

Le reste, ceux sont des vacances qui se terminent. La semaine reprendra. Quelque chose me dit que l'actualité sera riche également. Nous verrons bien...

Au dessus des Corbières, Peyrepertuse

Pour mon dernier jour avant de reprendre le travail, continuons la promenade dans les châteaux cathares. Nous étions à Duilhac sous Peyrepertuse. Village qui, comme son nom l'indique (ou pas), se trouve en avant du château de Peyrepertuse.

Une route sinueuse et pentue nous amène vers ce château. En fait, elle n'amène à nulle part ailleurs qu'à ce château. Le village est le départ de cette route unique vers ce château qui épouse incroyablement la crête de la montagne...

Une fois la voiture garée et le guichet passé, la balade commence. Une marche pas forcément longue qui monte, qui monte... 
Ce qui est saisissant, c'est la vue sur les Corbières... Nous étions 9h30 lorsque nous sommes arrivés, et forcément les couleurs sont encore matinales. Les images sont différentes qu'à Quéribus (c'était 15 heures). Mais aussi parce que Peyrepertuse est plus haut que Quéribus

Vertigineux prend tout son sens... Quelques photos pour s'envoler dans les Corbières au matin levant.

Sur la première photo, en allant loin, vous observerez justement le château de Quéribus qui vous fait un petit coucou. Et en bas, le village de Duilhac sous Peyrepertuse.


Le petit chemin tourne, vire. Et monte, le château n'est pas loin. 

Nous y voilà devant. Le prochain billet sur le château sera écrit de l'intérieur du château. D'autres photos, la balade continuera. 
Avec un peu plus de sueur sur le TShirt, car mine de rien, ça monte un peu... 






samedi 30 août 2014

Duilhac sous Peyrepertuse, sur la route des châteaux cathares

Continuons ma promenade dans les châteaux cathares des Corbières. J'ai laissé le château de Quéribus et le merveilleux village de Cucugnan derrière moi.  Et je continue ma marche dans les Corbières.

Au loin, je vois le château de Peyrepertuse qui apparaît sur la crête de la colline. C'est toujours autant fascinant, ces châteaux sur les cimes de ces hautes collines. L'homme est capable de construire des choses hallucinantes...

Mais avant d'arriver tout en haut, on passe par le village de Duilhac sous Peyrepertuse. Faisons y une petite pause...

Ce village n'a rien d'exceptionnel. Par rapport à Cucugnan,  je suppose qu'il est moins touristique. Pourtant, il a un coté paisible et agréable... Des petites rues mignonettes comme tout. 
Le tout sous la protection du château de Peyrepertuse, qui se voit de partout.


La suite de la promenade nous amènera dans ce château. Vertigineux est le terme qui s'impose, tant il l'est, vertigineux... Avec finalement ce sentiment que la visite dans ce village, rapide visite, n'aura valu que pour la vue qu'il nous offrait vers ce château. Comme un apéritif...

Les Corbières sont merveilleuses...

Suite de la promenade au prochain épisode...






Inouï que Cécile Duflot fut ministre...

Ce qui est inouï n'est pas que la raison l'ait finalement emporté, et que ces lois Duflot grotesques et dangereuses aient été revues. Ce qui est inouï, c'est qu'une telle personne ait été ministre
Qu'elle crache aujourd'hui dans la soupe avec un toupet sans borne n'est pas surprenant de la part de ce type de personnage. Elle rajoute au caractère inouï de sa nomination en ministre.

Ce qui est inouï, c'est que les verts aient un nombre hallucinant de députés. Ce qui est inouï, c'est que ce parti soit disant vert d'extrême gauche, composé d'opportunistes notoires, ait eu des ministres. Alors qu'ils ne représentent rien.

Ce qui est bon par contre, c'est que la politique gouvernementale semble s'éloigner de ses lubies verts. Et que les gens qui composent ce gouvernement semblent sérieux, délesté de ces poids dont faisait parti Duflot. Après, il reste Royal, Taubira et Vallaud-Belkacem, mais d'un gouvernement qui n'est pas de ma tendance je ne peux pas tout attendre non plus...

Enfin... C'était inouï que Cécile Duflot ait été ministre. Qu'elle fasse simplement attention que la soupe ne se venge pas et ne lui crache pas dessus... 

vendredi 29 août 2014

Dominer les Corbières et les Pyrénées pour finir la semaine...



Fin de vacances, fin de semaine aussi. Elle a été riche. Je n'ai pas commenté l'actualité, je n'ai pas suivi les blogs. J'étais perdu dans les montagnes des Corbières...

Quelques images, encore une fois, des Corbières. Depuis le divin château de Quéribus. Je passerai aux autres plus tard. 
La vue est magnifique quand on est là haut. Au loin on voit les Pyrénées. On voit la mer aussi. Et les Corbières tout autour...


On passera plus tard à Peyrepertuse. Le terme "vertigineux" est faible, tant il est haut et grandiose ce château... On fera ça plus tard.

Restons à Quéribus, et terminons la semaine comme ça...