lundi 7 mars 2016

Légion d'honneur qui déshonore

Ce changement qui devait être maintenant est bien spécial… Le dernier épisode m’est particulièrement abject. La légion d’honneur délivrée à un prince d’un pays dont les valeurs sont aux antipodes des nôtres est une nouvelle injure faite à la République. Qui doit commencer à avoir bien mal au boule…

Pleins de choses sont choquantes dans cette histoire de légion d’honneur à ce Prince d’un pays qui exécute et bafoue nos valeurs de manière naturelle (elles sont différentes des leurs). L’Obs relaie 5 points :
  
  • Une visite discrète à l’Elysée. Pas d’évocation sur l’agenda officiel d’une décoration de la République. Transparence…
  • Une information révélée par l’Agence de Presse Saoudienne… Le changement c’est maintenant, c’est davantage de transparence.
  • Une décoration controversée. Tu m’étonnes… Que la République s’abaisse à donner la légion d’honneur à ce type de personnage peut faire vomir.
  • 70 exécutions depuis Janvier. Le rythme est soutenu…
  • Le Lapsus du brillant ministre des affaires étrangères Jean-Marc Ayrault est la cerise sur la pendule : « C'est une tradition démocra… diplomatique, diplomatique. C'est une vraie tradition diplomatique qui peut étonner, il faut la prendre comme telle ». Bah oui.
Le changement ça devait être maintenant. Bachar El Assad sur les Champs Elysées ou Kadhafi en tente à l’Elysée valent bien un dictateur cubain invité en grande pompe ou un Prince Saoudien décoré d’une légion d’honneur qui déshonore la République.


C’est sans doute cela qui me débecte le plus. Pour se défausser, l’entourage présidentiel ressort le sempiternel « mais sous Sarkozy c’était comme ça… ». Cela laissera donc le loisir au successeur d’Hollande de faire au moins pire : les arguments pour valider l’invalidable sont tout trouvés


Vivement que ce mandat qui aura fait mal à notre République se termine. Bien que je ne sois aujourd’hui guère rassuré sur ce qui peut suivre, vu ce qu’est devenue notre classe politique…

dimanche 6 mars 2016

J'ai mal à mon OM #OMTFC

J'ai passé une aprés-midi affreuse devant ma télévision. Je me demande si j'ai déjà vu un Olympique de Marseille aussi faible, aussi laid, aussi affligeant...


Quelqu'un sur Twitter m'a rappelé le Marseille - Guingamp de Janvier, qui était une purgeasse de chez purgeasse. Mais j'étais allé me coucher à la mi-temps. Là, j'ai regardé. Presque jusqu'au bout. C'était hideux

Hideux l'attitude des joueurs. Plutôt que de chercher à "montrer qu'il existe" avec une coupe de cheveux blond pouffiasse, Alessandrini devrait démontrer qu'il est un footballeur collectif. Il a tout loupé. 
Je prends ce joueur pour cible, mais c'est trop facile d'avoir critiqué l'ancien entraineur qui ne le faisait pas jouer, de se montrer individualiste dans les attitudes, et de ne jamais rien montrer sur le terrain. Il est malheureusement le symbole d'une équipe qui n'en est pas une. Le symbole d'un football français qui ne pense qu'à sa gueule.

Je suis en colère. Affligé. Les joueurs ont décidé cette aprés-midi de lâcher leur entraîneur et de lui faire la peau ? Soit. Mais quel manque de respect pour le public et pour ceux qui aiment ce club. Je pensais qu'avoir viré des Lemina, Imbula ou Payet ferait du bien à ce vestiaire, mais tu parles... 

J'avais été choqué hier soir des publics du Parc des Princes vis à vis de son PSG. Public ingrat, typiquement français. Aujourd'hui, c'est peut être à cause de l'aspirateur que j'avais lancé à la fin du match (je voulais voir quelque chose d'efficace et qui courrait cette aprésmidi...), mais j'aurais imaginé des sifflets encore plus violents, assourdissants.

Je suis en colère. Mais ma salle à manger est propre.

vendredi 4 mars 2016

mercredi 2 mars 2016

Analyse politique atomique

Je n'ai pas eu le temps de réagir à la (juste) déclaration, qui propose de prolonger de 10 ans la durée de vie des centrales nucléaires si l'ASN donne son accord. Je suis favorable à cette proposition, frappée du sceau du bon sens. Et espère une politique énergique ambitieuse pour mon pays, qui passera (entre autre) par un nucléaire plus sûr et plus moderne. 

Politiquement, j'ai été amusé de la situation politique. J'ai été amusé par quelques tweets, dont celui la. Très classe.


Sinon, en parlant des verts, j'ai été touché par cet article qui montre combien la République ne s'est décidément pas honorée en offrant des maroquins ministériels a des gens aussi peu dignes que les verts (dont Jean-Vincent Placé qui incarne vraiment tout ce qui provoque le dégoût des gens vis à vis de la politique et des élus)

Un billet politique rapide. Pour rappeler combien je trouve quand même choquant que les verts soient dans un gouvernement de notre république (pourquoi pas des communistes ou des FN ?)

La prochaine fois, j'écrirai sur mon dégoût devant la,déclaration aujourd'hui de Noël Le Graet qui annonce qu assurément, Benzema portera à nouveau le maillot de l'équipe de France. Cela serait un scandale et marquerait une fracture aussi forte que Knysna entre le public et l'équipe de France. Mais ce football français pourri n'en est pas à une indignité près. 
Et ça sera l'objet d'une autre billet... (Un billet / une idée disait le philosophe)

lundi 29 février 2016

Instagram du mois de Février

Un mois résumé en quelques photos

Un mois de février qui commence par,la chandeleur et des crêpes

Puis l'anniversaire de ma maman le lendemain. Nous aurons mangé des gâteaux...

Un mois de Février avec des jolies couleurs le matin.

Et une température printanière. Des amandiers en fleurs, et un bébé content de marcher dans le village de son papa.

Un village qui se pare de jolies couleurs en Février quand le ciel est bleu

La tondeuse sortie pour préparer le jardin au printemps...

Un mois de Février qui fut long, et au final épuisant... (pour ne pas dire déprimant)

La suite aux prochains épisodes... Un billet de rien, mais décidément incapable de mieux en ce moment...





dimanche 28 février 2016

Un dimanche pluvieux et beau à la fois

Deux photos de ce dimanche. 

La première de l'église de mon village sous une froide pluie d'hiver. J'allais acheter le pain, faire mes paris sportifs, avant d'aller au village d'à coté pour acheter le journal... (plus de marchands de journaux dans mon village... Merci ceux qui font que la presse écrite ne se vend plus et que les marchands de journaux ferment... Je pense entre autre aux syndicats du livre)

Puis l'aprés-midi dans le jardin. Des bébés qui jouent. Le soleil est froid, mais il fait beau.

Un drôle de dimanche. Un peu triste quand même. A l'image d'une semaine. Et, je le crains, de celle qui arrive.

(non, pas le moral. Mais ça reviendra...)


Condamner le syndicalisme délinquant (même paysan)

J’avais écrit il y a quelques temps un billet où je condamnais fortement les paysans bretons, après le bordel qu’ils avaient mis pendant une de leurs manifestations.
De la même manière que je condamne le syndicalisme délinquant de syndicats extrémistes (style CGT) à Air France ou dans d’autres entreprises, je condamne fortement ces « représentants de paysans » qui ont saccagé les stands de Bigard ou Charal.

Je le condamne d’autant plus que les doléances du monde paysan sont justes. Et que ces violences sont dramatiques en termes d’image : comment soutenir les paysans après ça ?
Je leur reconnais le droit de siffler le président de la République (lui ou un autre) ou les responsables politiques. Et d’exprimer leur mécontentement. Mais je leur conseille de faire le ménage dans leur corporation, surtout parmi les gens qui prétendent les représenter.

Je pense que ce syndicalisme-là est voué à l’échec, et à être désapprouvé et rejeté par l’opinion. Encore plus aujourd’hui, je crois que l’opinion est hermétique à ces images de violence et de saccage. Et ça serait un drame que les paysans se mettent l'opinion à dos (et pas l'inverse andouille), à cause de quelques imbéciles qui pensent que saccager un supermarché, une préfecture ou un stand d’industriel, c’est fun et utile.


Je suis cohérent dans mes indignations : je m’oppose à toutes les violences syndicales, et je les combats. Ce syndicalisme-là est voué à l’échec.

vendredi 26 février 2016

Mieux comprendre les histoires Aurier et Benzema (entre autre)

J’ai écrit beaucoup de billets sur les maux du football français. Qui ressemblent aux douleurs de notre société. J’ai écrit ces billets en étant convaincu de ce que j’écrivais. Sans aucune modestie. Je connais des gens qui gravitent autour du sport professionnel en France (rugby, hand, et aussi football). Et certains qui sont dans et autour des centres de formation de clubs professionnels (et dont je suis proche).
En les écoutant, je ne regarde pas les histoires Knysna, Anelka, M’Vila, Nasri & co d’un œil distrait. Je comprends.

Si je voulais expliquer les dernières histoires Benzema ou Aurier à des amis (ou à des gens qui veulent écouter, sans juger ni condamner, simplement écouter et se faire un avis), je leur conseillerai simplement la lecture de ces deux livres.

Le footballeur masqué. On ne sait pas qui l’a écrit, ni même s’il était vraiment un footballeur professionnel de Ligue 1. Mais tous les gens qui gravitent autour du football qui en parlent disent que c’est vrai.
Et quand ce footballeur masqué parle d’un monde du football français gangréné (ou influencé) par le monde du rap, de l’argent facile et des codes issues de la cité, ces gens qui connaissent ce milieu disent qu’il dit vrai. Quand il parle de footballeurs plus influencé par Booba et le Tony Montana de Al Pacino que par Brel et James Bond, il dit vrai. Et c’est triste.

Racaille Football Club, de Daniel Riolo. Il présente le football français tel qu’il est aujourd’hui. Avec des témoignages, des explications, une réelle pédagogie.
« Racaille », pour bien des footballeurs issus du football français, ce n’est pas une insulte : c’est une signature qu’ils assument et dont ils se réclament. Avec ses codes, sa manière d’être, de penser. Quand il explique que Gabriel Heinze a quitté l’OM car il n’était plus en phase avec un vestiaire de rap et de wesh-wesh, il ne juge pas. Il décrit, il explique. Et il dit pourquoi le grand PSG d’aujourd’hui s’est construit autour de Léonardo, de Thiago Silva, de Motta, de Verrati, et d’un football italien et brésilien plutôt que français.

Et il explique surtout que le responsable n’est pas le footballeur français. Ce n’est pas Aurier, Nasri ou M’Vila. Mais c’est la direction de ce football, qui a toléré l’intolérable. Qui a fermé les yeux. C'est la formation française, qui a omis la formation de l'être humain, de l'homme. Parce qu'elle a considéré que le talent du footballeur excuserait forcément les manquements de l'humain. Qu'un but efface forcément une quenelle. 
Le maux le plus visible est la présidence de Noel Le Graet, qui a fermé les yeux quand Patrice Evra a insulté tout le monde à plusieurs reprises, et qui s’est délibérément mis au soutien de Benzema contre Valbuena.

L’histoire Valbuena – Benzema est d’ailleurs typique du mal qui touche notre football français.
Alors que tout le football enterrait Benzema sous des fleurs et des soutiens touchés et amicaux, Valbuena était enterré sous une chape d’indifférence. Et la victime était tel le Glassmann de l’époque, le traitre, la taupe, celui qu’il faut crucifié car il a brisé « la loi du silence ». Cette loi du milieu qui fait que le football français est justement un « milieu », avec des codes bien codifiés. La balance sera toujours pire que le délinquant. Et Anelka ou Ribery davantage glorifiés qu’un Gourcuff qui a vu sa carrière brisée après Knysna.

Après nous sommes libres. Libres de croire ou pas à ces témoignages, et cette explication de ce qu’est le football français. Le sport français même, puisque qu’une « icone » comme Yannick Noah s’est déclaré en soutien total d’un Aurier par exemple.
Et nous sommes libres aussi de ne pas être solidaire de ce sport-là. De cette France là. Il va de soi que si Didier Deschamps devait rappeler Karim Benzema en Equipe de France, je considérerai que cette équipe n’est pas celle qui représente ma France, mes valeurs, ma République, celle qui est Charlie plutôt que Booba, Dieudonné ou Anelka.

Nous sommes libres. Mais c’est bien de savoir de quoi on parle, et d’avoir quelques références pour mieux comprendre ce que l’on vit. Et comprendre les histoires Aurier et Benzema aujourd’hui, Knysna Anelka M’Vila ou Nasri hier.

Et se dire que finalement, ceux ne sont pas ces joueurs les plus à blâmer, mais plutôt un système qui a permis à leurs valeurs et leurs codes de prendre le pouvoir…

Bonne nouvelle pour le football

Nous l'avons échappé belle. L'élection du cheik Salman aurait été une catastrophe pour ce sport
Apres cela reste un beau bordel...

mardi 23 février 2016

Lemaire en deuxième choix

Les secrets de Polichinelle tombent comme les certitudes et l'espoir en une République irréprochable. Dernière information : Bruno Lemaire est officiellement candidat aux primaires de la droite.

Pas de mauvais esprit de ma part. Bruno Lemaire serait mon deuxième choix quand j'irai voter aux primaires
Pour l'instant, mon vote va toujours chez Alain Juppé. Mais Bruno Lemaire est quelqu'un à qui je souhaite un destin national : je pense qu'il serait un bon premier ministre. En tous cas un homme très digne, qui ferait du bien à la France, et à la République.

Après, rien de plus à dire dans ce billet. Un billet pour rien. Mais j'avais envie d'écrire un truc sympa pour Bruno Lemaire, qui fait du bien à la France, et à la droite. 

Mais au delà des égos et des personnes, j'espère que les primaires de la droite feront émerger la personne qui permettra de mettre fin à cette parenthèse socialiste. Une parenthèse que l'histoire jugera plus tard (pour moi elle aura été dramatique et lamentable, mais je suis moins pertinent que ne le sera l'histoire...).
En tous cas, je voterai sans hésitation ni état d'ame pour le candidat qui sortira des primaires de la droite. Tel qu'il soit. Même si cela doit être Sarkozy, ou un dans le genre.

Mais ça fera l'objet d'un prochain billet... Pour l'instant c'est Bruno Lemaire la "star" de la soirée... (Arsenal - Barcelone et Juventus - Bayern le dépasseront vite quand même)

lundi 22 février 2016

Pluie de merde

Ce soir, en finissant ma journée, je suis tombé sur cette pluie de merde. Qui a niqué ma voiture. Fuck.

Après l'apéritif chez mon ami, j'ai vraiment vu l'état de lieux. Voiture noire sous une nuit de pleine lune. Enculé de pluie de sable.


Je voulais parler football. Evoquer l'article de Daniel Riolo qui explique les affaires Benzema et Aurier. En rappelant cette impossibilité de discuter du fond sans se prendre l'insulte suprème "tu es raciste". Celle qui empêche toute discussion, toute réflexion. Les censeurs du net sont là, et ils sont là pour faire taire et empêcher de parler. "Je suis Charlie", mais pas tout à fait quand même.

Je voulais parler, mais je me retrouve avec une voiture souillée et dégueulasse. Et l'enculé de droite que je suis ne pense forcément qu'à lui (je suis de droite, et je dis "enculé" deux fois dans un billet. Et en plus j'écris un italique). 

Mais je vais parler de ma voiture vilaine. De cette pluie de merde. Et on parlera demain de la loi El Komery (peut être) et du reste.
Si ma voiture est propre. 

dimanche 21 février 2016

Un dimanche de fin février

Bébé 2 court en une pelouse fraîchement tondue par son papa a qui il ne veut pas faire de bisous (il est comme moi, pas câlin)

J'ai sorti ma tondeuse pour préparer ma pelouse au traitement de fin d'hiver que j'y prodigue tous les tous ans avec amour.

Cela n'empêche pas de m'inquiéter pour un cerisier malade, et des cyprès morts. Une saloperie est venu en tuer quelques uns dans mon jardin, voir si j'arriverai à endiguer la maladie...

Décidément les centres de mes billets changent. Ils ne génèrent plus de discussion ou de commentaires, mais en ai je vraiment envie ?

J'aurais pu parler d'un vert (de Rugy) qui souhaite que la Grande Bretagne sorte de l'Europe (ce qui historiquement et symboliquement serait un drame pour nos valeurs), non sans appeler au maintien de la jungle. Les verts qui sont revenus au gouvernement , qui ont sur le cœur et l'âme le sang de Notre-Dame-des-Landes et de Sievens, ne changent pas. Ils sont juste revenus ministres.
Par contre les anglais, quelque soit leurs choix, il ne faudra jamais oublier l'hommage que la Grande Bretagne a rendu à la France, à nos universelles valeurs communes, le week-end les attentats islamistes de Paris. Jamais l'oublier, même si les verts préfèrent honorer d'autres personnes. 

J'aurais pu parler de la loi El Khormy. Mon ami Nicolas en a parlé en utilisant pas les mêmes arguments ou les mêmes mots. Mais avec une sincérité que je n'aurais pas eu. 

J'aurais pu parler d'Aurier, de Benzema, et de ce soutien terrifiant d'un foot Français qui a préféré se coucher devant Benzema, en ignorant Valbuena (quand ce n'est pas en le méprisant). Mais j'écrirai quand même un billet sur le football français. J'en ai commis pas mal, mais c'est bien de rappeler que ce dernier est davantage Anelka et Dieudonné que Charlie, et que ces codes ne sont pas ceux de la République, 
Jusqu'au plus haut de ses dirigeants. Voir Aulas et Le Graet soutenir Benzema , sans mot (sinon des moqueries) pour Valbuena, montre ce qu'est le football français. Le foot rock de l'époque Cruyff Platini a été remplacé par le foot Booba des vestiaires des clubs de Ligue 1. On ne peut que le constater...

J'aurais pu en parler mais j'en parlerai un autre soir. Il a fait beau ce dimanche. Et c'est le plus important.

samedi 20 février 2016

Regarder Mulung avec un casque de chantier jaune

Piwi+ est une chaîne formidable... bébé2 adore. 

Photo de vie avec un casque jaune sur la tête. Devant ce chef d'œuvre qu'est Mulung...

vendredi 19 février 2016

Ciel de feu

Photos prises un jour cette semaine avant la gare de Valence, vers 8h du matin

Ce Avignon Lyon est peu rempli à 7h du matin. J'aime bien cette ambiance...

Depuis, des météorites ont traversé le ciel de l'Isere (je l'ai vu mercredi soir...). Et certains parlent et souhaitent le retour de Benzema en équipe de France (ce qui serait un symbole insupportable).

La Terre continue de tourner et c'est très bien... (Mais je suis épuisé)

mercredi 17 février 2016

Printemps gardois

Temps printanier ce dimanche. J'en ai profité pour montrer à bébé Faucon des coins jolis vers chez moi. Partir à l'aventure...

Dont ce point de vue magnifique de Roquemaure.

Il a fait beau ce week-end. Les amandiers sont en fleur. C'est joli.

À part ca je n'ai plus le temps de rien en ce moment. Absorbé par le boulot. À fond. Départ quand mes bébés dorment encore. Et retour quand ils sont déjà douché et en pyjama. Oh, rien d'exceptionnel, je suis un ingénieur moyen, comme beaucoup.
Mais un peu fatigué. Simplement fatigué.

Ca m'évite d'écrire des billets sur ces footballeurs très "Racaille Football Club", sur Mélenchon qui appelle à la discrimination selon le métier que l'on exerce, ou sur cette classe politique qui m'écœure...