jeudi 5 août 2021

Le petit bonhomme droit sanitaire et personnel

Un ami du boulot, un guide, a souvent utilisé cette expression. "Remettre le petit bonhomme droit". 

Je ne sais d'où elle vient. Je l'ai souvent entendu, et je l'aime bien. Je l'utilise forcément souvent dans mon univers universitaire ou professionnel. Rien d'anormal à ce qu'elle me revienne.
Souvent nos sources deviennent nos ruisseaux. J'ai souvent retourné des choses que ceux que je considère comme des guides m'ont dit et appris. A mon âge, ce miroir me revient aussi.

Il est à la fois agréable, et inquiétant. Il rappelle que nous avons moins d'avenir que de passé

J'ai écris beaucoup de billets très "ouverture de veines compatible". Je l'assume. Mais je sais que notre environnement global est favorable à l'ouverture des veines.

Je suis en vacances demain. Je n'ai à le dire à personne (quoique la décision du conseil constitutionnel lève le secret médical). Je suis doublement vacciné. Je n'ai pas ni égo ni temps à faire une vidéo en TShirt pour dire quoique ce soit.

Je n'ai pas envie que mon restaurateur préféré me demande si je suis vacciné et si je suis fidèle à ma femme et séronégatif. Mais à mon ami, je dirais oui à ces trois questions.

J'ai aimé la tribune de FX Bellamy. En résumé, c'est en temps de guerre que l'on affirme nos valeurs. Nous sommes en guerre, et j'ai l'impression que nous lâchons tout. 

Je n'arrive pas à mettre mon petit bonhomme droit personnel. Je suis en contradiction permanente... Avec moi même. C'est dur. 

mardi 3 août 2021

La loi du silence

Reprendre l'interface Blogger a quelque chose de particulier. Je me rends compte combien le silence et le fait de ne plus écrire a quelque chose d'inversement proportionnel à l'adrénaline que propose l'écriture.

Je vois aussi que peut être je ne suis pas bien gaillard. Mon fils de 10 ans me rappelle des soirs à 20 heures, me disant sa peur de la mort. De nos morts. Mes docteurs ont des doses à injecter et dans mon équipe deux personne ont depuis deux semaines un Covid à 40°...

Mais j'entends les démons de mon fils. Ils me rassurent : il est bien mon fils. Il va déguster mon pauvre bébé... J'aimerais que mon ami Guy vienne à la maison. Pas que pour moi... Je deviens un peu sans arme face à un enfant (son petit frère aussi) qui ont des questions que bon... 


Nicolas j'aurais besoin de toi aussi. D'autres personnes qui n'ont pas de blogs. 

La loi du silence était un film. Que je n'ai pas vu. Par contre Johnny change tout. La dernière séance reste dans mon coeur.
Mais en revenant sur mon début. A titre personnel je peux aller vers la destruction. A titre de mari et de père, puis je rester avec un verre de rosé à regarder Monaco ?

J'écris ça, ce n'est pas ce que je fais. Et ce que j'ai fait. J'ai inquiété les trois personnes qui m'ont lu ? Je les rassure. Le chef du gars au Covid long a fait son devoir de chef, de manager, d'ami et simplement d'homme. La mari a respecté le contrat. Le père sera toujours au délà. 


Par contre j'ai besoin de parler. Même en restant silencieux...

mardi 27 juillet 2021

J'aurais écrit un billet finalement

Je n’écris plus sur ce blog. L’écriture est comme la course à pied. Quand on s’arrête, reprendre est difficile. Je n’écris plus. Plus de mails, plus rien. Plus rien à dire. Plus rien à partager.
 
Oh, des avis j’en ai. Politiquement, je pourrais écrire des positions qui sont les miennes, avec les interrogations voire les contradictions qui sont les miennes. Sur le sport, j’aurais tant à écrire. Syndicalement aussi, l’actualité dans mon secteur d’activité est riche.
Mais je n’y arrive pas. Sur la vie, ce déconfinement qui tourne au fiasco et la 4eme vague qui arrive. Sur ce que je ressens mais que je n’arrive pas à décrire.
 
Sur le retour au bureau, que je suis obligé d’occuper deux à trois jours par semaines, pour rien. Interdit de faire des réunions à plusieurs. Un gars de mon équipe est tombé malade du Covid hier. J’ai ouvert une fenêtre Outlook et j’écris ce qui me passe par la tête…
 
Y a une époque j’écrivais une fois par jour minimum sur mon blog. J’arrivais tôt au bureau pour écrire un billet. « Le » billet, celui qui ferait des commentaires, qui serait repris par les copains. On était con mais c’était rigolo.
 
Aujourd’hui, alors qu’écrire hier était un plaisir naturel, j’ai l’impression d’un effort sur-humain. Même écrire un mail pour le boulot m’est difficile. Alors écrire à un copain ou une amie…
 
Lassitude, fatigue générale. Je ne sais pas quel mot mettre dessus. Je pourrais me contenter de poster des photos, mais je n’en prends même plus des photos…
 
Je sais que ce n’est pas une déprime ou un épisode dépressif. Je connais les sinusoïdes haut bas. Aujourd’hui elle ne monte plus (mais depuis le premier confinement, qui date d’une réorganisation au boulot qui a été violente et douloureuse elle n’est jamais trop montée haut). Elle peut descendre, mais je sens quand elle descend, et j’arrive à me connaitre pour éviter les choses que l’on regrette (un mail un dimanche soir à sa N+2 en vidant le famas). Je vois quand je tombe.
Aujourd’hui ce n’est pas le cas. Fatigue, simplement. Hier un docteur m’a parlé d’un spleen qui m’est familier. Cette recherche d’un idéal fantasmé qui est de fait inaccessible car idéal et fantasmatique. Le romantique à deux balles dans toute sa splendeur.
 
Finalement, j’ai un peu réussi à écrire ce que je ressens. Peut-être que cela me remettra en selle…
J’avais commencé en début d’année l’écriture de deux bouquins (en parallèle oui…), j’ai arrêté car c’est vraiment un truc qui me prenait toute mon énergie et je ne pensais qu’à ça. Ca m’a fait peur. J’ai peur d’être déçu par ce que je vais produire aussi, sans doute est-ce ça le pire…
 
Finalement j’aurais écrit un billet aujourd’hui


dimanche 18 juillet 2021

Chat va bien mais…

Un mot pour dire que je ne suis pas mort, je dors...

Joli weekend. Un restaurant que nous aimons. Des amis proches. Un Grand Prix fantastique, même si le vainqueur ne le mérite pas. 
Des enfants adorables






La crainte d'un lundi matin au boulot, en présentiel. Mais bon, le Gard remonte...

Je n'ai pas pris de positions suite aux annonces de Macron. Pour deux raisons. La première est que mon avis ne vaut rien et on s'en fout. La deuxième car mes amis chez LR ont fait le boulot, en mettant en avant que la forme était forte, mais sur le fond tout le monde est dans la merde. Inapplicable. Sauf à accepter que nous sommes tous le gendarme de l'autre.

Epoque où on dénonçait...

A titre personnel, j'ai de la chance d'avoir un ami médecin. Si j'avais du passer par la voix normale, je serai con. J'ai eu droit d'être vacciné il y a 6 semaines, et mon ami m'a mis au début.
Je suis fasciné de voir ce jeune président élu grace au Canard Enchainé venir me faire la leçon, alors que ça fait 7 mois qu'il m'empêche d'être vacciné.

Et malgré lui je le suis. Je suis de ceux des vaccinés, qui trouvent que son intervention était insupportable et insupportable. 

Je reste de ceux qui pense que En Marche (En Mentant disent d'autres) ont volé l'élection de 2017. L'an prochain régularisons les choses. 

jeudi 1 juillet 2021

Abstention de l'analyse (mais quand même)

Je viens de me rendre compte que ça fait un moment que je n'ai plus rien écris. Je ne suis pas mort. Je dors (un peu), et je n'ai rien à dire.

Politiquement la période aura été fantastique pour moi. Mon amie a été réélue dans mon canton. Elle est de gauche mais c'est une personne fidèle, précieuse. 

Le Vaucluse est passée à droite, avec à sa tête une amie de mon copain Julien Aubert. Avignon et le Ventoux sont en de bonnes mains.

A droite tout va bien. Wauquiez a fait un malheur. Bertrand, Pecresse aussi. Avec Retailleau et la bande autour, s'ils ne sont pas cons, ils s'entendront et feront sortir cette bande d'opportunistes.


Les extrêmes vont moins bien. Pour répondre à mon ami Nicolas (que j'embrasse et dont je partage l'agacement d'une industrie qui arrête un télétravail qui était cool), Yannick Jadot ne me fait pas peur. Conh-Bendit non plus. Robert Menard ou Jacques Bompard pas plus d'ailleurs (j'ai eu à travailler avec le deuxième et bon je n'ai pas été mangé).
Par contre, Mélenchon, Obono, Piolle, Hamon, Autain... Ils me font très peur. Autant que la famille Le Pen, sinon plus car les premiers ont une extrême onction de nos leaders d'opinion.

Donc si j'étais de gauche, je me réfugierais derrière Carole Delga. Super bien élue, en refusant toute compromission et collaboration avec une extrême gauche racialiste et très open vis à vis de déviances radicales. 
Manuel Valls a raison, il y a deux gauches irréconciliables.

Il y aussi une droite républicaine. Avec son allié centriste. Et le reste. On ne confond pas une Formule 1 et un karting.
Mais pire, on ne mélange pas l'huile et le vinaigre. Dans ma droite, les choses ont été claires. Le résultat me convient parfaitement. 

Sinon j'essais d'aller bien. 

samedi 26 juin 2021

Samedi soir sur ma terre

Une bière de Sabran, achetée chez un épicier local dans mon village (qui fermera faute de client, mais j’ai des griefs face à la population de mon village d’enfance… ). Mi temps d’un très beau Pays de Galles - Danemark (je mettrai un billet sur les danois demain en pari), et jolies images de Toulouse et de la fête d’après Brenus (qui reste un morceau de bois, il flotte)

J’ai une pensée pour les parents de Lucas Tronche. L’enfant que l’on sans doute malheureusement retrouvé. Nous travaillons avec ses parents au même endroit, et ils ont vécu un enfer.
L’endroit où les ossements ont été retrouvé, je le connais bien. En haut en bas je l’ai visité. Bon, je ne fais pas d’escalade…

Je suis papa de deux enfants que j’aime. je voulais lâcher mais non, le grand nous l’accompagnerons à l’école. Il a 10 ans je m’en fous. 


vendredi 25 juin 2021

Société violente et complétement conne

Oui, la société est violente.

 

Je ne reviens sur la violence de cette campagne électorale qui aura été abjecte de bout en bout.

L’abjection totale est l’alliance maintenant assumée et décomplexée à Paris d’une gauche normale, de gouvernement, avec des soumis à l’extrême gauche racialiste et antiflic. En ce sens, le maintien de la liste LREM, dont les seuls faits d’armes auront été d’essayer de casser et de pourrir la campagne, est une faute politique. Christian Jacob a raison quand il rappelle que le Front Républicain doit contre les deux extrêmes. Mélenchon, Autain et Obono ne sont pas plus sympathiques que la bande à le Pen.

Pour finir ce volet politique, je me félicite de voir que Carole Delga, chef de file PS dans ma région, a refusé de s’allier les verts rouge-brun et avec la France Insoumise. Il y a des gauches dignes. Je serai m’en souvenir dimanche.

 

La violence est partout. Début de semaine au boulot. Réunion avec la direction dans le cadre d’un problème dans un service que nous essayons de régler intelligemment avec le syndicat. La réunion se passe bien, et un directeur m’insulte et me menace. Je regarde les autres membres de la direction, contrit. Le médecin du travail. Mes collègues. Et je dis « bon… Insultes, menaces… Je ne suis pas assez fort pour supporter… Je vous propose de clore la réunion ». 

Je me suis levé et je suis parti, accompagné par mes collègues et le médecin du travail, qui a validé ma manière de faire.

 

La violence est partout. On l’accepte. 

En bas de ma rue un sens interdit. Que personne ne prend, ce qui occasionnera un accident un jour. Hier soir alors que j’allais courir, deux « jeunes » le prennent, bien au-delà de la vitesse autorisée. Ils n’étaient pas si pressé puisque voyant mon soupir et ma tête dodelinante, ils se sont arrêtés. 

« Tu as un problème ? ». Moi « si j’avais été en face en voiture j’en aurais eu un, oui… ». « Tu es de la police ». Moi, « non, mais (prenant mon téléphone) si vous voulez j’appelle le premier adjoint qui habite à deux pas et qui viendra avec la gendarmerie ».

Un « enculé » avec un doigt et ils sont parti. Moi je leur envoyé un bisou avec la main.

 

La violence est partout. Pourtant j’ai apprécié faire un Fortnite avec bébé 2, qui n’est pas violent.

Le monde d'après, il pue un peu quand même...

dimanche 20 juin 2021

L’attente

J’aime bien attendre le résultat des élections. Je vais couper Twitter pour attendre 20 heures.






Un verre de whisky à la main. Orageux ce soir

Demain retour pour une semaine très présentielle. Blues du dimanche soir. J’espère que mes amis dans mon canton feront un bon score du premier tour. Oui, ils sont de gauches mais j’ai voté LR aux régionales. Je pense qu’ils feront un score horrible mais bon.

Allez… si je suis au bureau j’écrirai un peu sur le rapport au boulot. Lire le Point de cette semaine… 


dimanche 13 juin 2021

Le Gard va bien


Grand bébé a passé une journée sportive. Le Gard est un beau département.

Grand Bébé à une force que son papa n’a pas. Il a fait des matchs supers. Avec des « copains » qui, a 10 ans, restent des copains. 

Je suis fier de mes deux enfants.

Le reste ? Pas d’avis sur grand chose. Mais encore présent. Toujours vivant disait Johnny

lundi 7 juin 2021

Le silence

10 jours que je n'ai rien écrit ici. Ca peut durer.

Quand nous n'avons rien de pertinent à dire, autant se taire. Là, je n'ai rien à dire. Commenter les abjections de Mélenchon et des Insoumis (qui montrent qui sont les vrais dangers de la République : le Front Républicain doit être contre cette gauche qui n'a rien de gauche et qui est abjecte et à vomir) n'est pas intéressant.

Le reste... Je n'ai envie de voir personne. Alors écrire...

Sinon je me suis fait vacciner (rien de formidable). Demain je vais au bureau. Une vie fantastique. 

Autant se taire. 

vendredi 28 mai 2021

Mal au ventre

 Cette nuit j'ai mal dormi. Sans doute était il écrit que la journée serait un cauchemar.


Cela a commencé par un tweet de mon ami Jean-Baptiste, un des chefs de l'IKF. Une secte, plutôt une famille. JB a vécu un drame personnel. Le Moscato Show, notre culte, lui a rendu hommage. Je pense à lui, humainement, fraternellement. 

Vers 10 heures, pendant que je jouais à Fortnite (oui...) un appel du numéro 2 de mon syndicat. Je vais vers le Top 5 je laisse passer. Je rappelle. Elle m'apprends la mort du secrétaire de notre CSE. Un homme pour qui j'avais du respect, de l'estime, une confiance, réciproque. Je suis CFE-CGC, il était CGT, mais nous avions des mêmes valeurs.
Et surtout, ce que j'aime, un respect de nos différences. Jamais nous ne nous sommes trahis. Nous avons été ensemble quand notre direction nous a trainé au tribunal (elle a perdu).

Cet homme est mort. Je reviens 11 ans en arrière, quand on m'a appris la mort du maire de Roquemaure, mon ami, mon père politique. Ca fait 11 ans que j'ai des somnifères et des anxiolitiques à portée de mains...

Fin de journée, mon bébé (grand) vient. Il a perdu (belle branlée) son élection au conseil municipal des jeunes de notre village. Est ce mon nom et ce que nous sommes qui sont rejetés ? Il est si gentil... Peut être ne sait il pas faire campagne.
Pourtant je l'aime et je suis fier de lui.

Demain il fait sa communion. Aujourd'hui... Je suis triste, vraiment triste. 

mercredi 26 mai 2021

Merci mon Basilou


Ma première petite amie, ma meilleure amie, m’a rappelé que sa fille entrait en troisième. J’ai 43 ans. J’étais un enfant. 

Amoros je l’aime. Son penalty a été arrêté. Basile je l’aime aussi. Eric était là les deux fois, JPP aussi mais pas dans le même camp

Cette photo est superbe. Merci Twitter. Pascal Olmeta derrière. Des seigneurs 

mercredi 19 mai 2021

Karim Benzema, oui. Mais...

J'aime écrire sur le football. Je suis loin de prétendre écrire sur le site de l'after-foot ou dans la revue, mais j'aime écrire, lire, échanger.


Hier, sur Twitter, le mot clef était "Benzema". J'allais écrire un billet mais comme la super ligue, j'avais des avis changeant. La soirée d'hier a été difficile, avec une nouvelle qui m'a beaucoup touché, concernant une amie, et qui a touché Falconette. Le 18 Mai n'aura pas été que la veille du déconfinement et du retour de Benzema, mais aussi d'un moment moins léger. Plus lourd. 


Revenons sur l'équipe de France. Karim Benzema, car le reste n'est que rien. Un milieu de terrain que je trouve pauvre (Sissoko gentil mais bon, Rabiot dont la présence est pour moi une honte plus forte que la surprise Benzema). Zouma en sélection (je ne comprendrai pas...). Des choix bizarres. Mais bon, nous sommes 70 millions de sélectionneurs, plus les autres...

Benzema, c'est comme quand on parle de Jean-Michel Aulas. Nous commencerons la phrase par mettre en avant un bouclier, pour se protéger de la critique. "Quel grand président il a été", et puis vient le "mais"
Benzema, hier, je lisais pareil. Et je pensais pareil. Karim Benzema, quel grand joueur il est devenu. Il faut être aveugle pour ne pas voir que c'est le pilier de Madrid, et qu'il est bien plus qu'un 9. "Mais" il y a un "mais"... Et tout ce qui est avant le "mais"...

Karim Benzema, malgré lui, est un sujet politique. Ce n'est pas de sa faute. Mais le président et le premier ministre de l'époque de l'Euro s'en sont mêlés. Une affaire de justice qui concerne Mathieu Valbuena (la victime mais dont personne ne parle, et dont le niveau football n'est pas moins important que d'autres milieux et qui n'a pas eu de deuxième) est toujours en cours. Enfin, il est, là encore malgré lui, le symbole politique de quelque chose qui le dépasse. 
Ce n'est pas la "partie raciste" de la France qui parle. Car Manuel Valls n'est pas raciste. Car je ne suis pas raciste. Car sur les sujets de quartiers et d'intégration, n'en déplaise à Macron, des males blancs peuvent avoir des avis pertinents (référence au moment où il aurait jeté le rapport banlieue de Borloo en lui assénant un délirant "ce n'est pas deux males blancs qui vont régler les problèmes des quartiers"). 

Je fais sans doute fausse route, et quelque part je le souhaite. Mais je me demande s'il n'y a pas, encore une fois, de la politique là dedans. Tout est politique. L'Euro commence avant les élections régionales, et je vois tellement de Machiavel dans nos lieux de pouvoir que je ne peux m'empêcher, moi le cartésien, de voir du "complot" quelque part. Ce qui est profondément idiot.

Car enfin, réfugions nous sur le terrain. Karim Benzema est un magnifique footballeur qui a fait des saisons extraordinaires. Sur le plan du football, il est au niveau international ++
Mais... ?