Plein milieu de l'aprésmidi, et la seule chose que je trouve à faire est de venir pianoter sur mon blog. Je suis au bureau, affalé sur ma chaise, et je n'ai qu'une seule envie : quel l'horloge tourne, et tourne vite. Pour rentrer à la "maison", et aller me coucher. Est ce les deux verres de blanc (pardon...) accompagnant la choucroute de midi qui m'assoment ? Même pas, puisque ce matin, je n'ai jamais eu l'impression d'emmerger, malgré quatres cafés. 4 cafés, + 2 l'aprésmidi, + 2 verres de blanc + 1 choucroute =... = j'ai envie d'aller me coucher.
D'où me vient cette fatigue ? Je ne sais pas. Lassitude devant un travail qui ne m'interresse pas ? Devant un avenir ici que je sais bouché, par ma faute, et par celle de gens sans éthique ni morale ? Il y a beaucoup de ça, c'est évident... Mais cela ne fait pas tout. Fatigue morale, devant des évenements personnels, des retours vers le passé et des présents parfois amers ? Il y a de ça sans doute, quand bien même je me sois fait à certaines réalités, dures à accepter, mais il faut parfois être fataliste. Fatigue physique sinon ? Ben oui, j'ai fait du sport ce weekend et cette semaine... Et mon pauvre petit corps n'est pas trés athlétique... Oui, il y a de ça.
mais il y a aussi le fait que mes nuits, quoique pleines, ne sont pas reposantes. Je ne fais pas de cauchemars : plutot même des reves agréables. Mais le matin,je me leve encore plus crevé que la veille au soir. Et les journées, forcément, je rame...
Alors je reve un peu à ces paysages marseillais, qui me manquent quand même. A ces moments où je me dis que mes jours dans cette société arrivent à leur terme peut être, je ne peux m'empecher de me revoir en 2002. J'arrivais à Marseille. Quelle chouette année. Des moments trés durs, mais au final, cette année restera une grande année pour moi. Même si une de mes meilleures amies que j'adore m'a dit qu'il fallait un peu que j'arêtte de trop me tourner vers moi même et vers mon passée... (mais on ne se refait pas quand bien même on essait...).
Enfin, ça ne change rien au soucis du moment. Je suis épuisé, je n'avance pas, et j'ai envie d'aller me coucher... Aller, encore une heure, et je m'en vais. En plus, ce soir, j'ai coiffeur. Bah, je somnolerai en me faisant tripoter les cheveux...
D'où me vient cette fatigue ? Je ne sais pas. Lassitude devant un travail qui ne m'interresse pas ? Devant un avenir ici que je sais bouché, par ma faute, et par celle de gens sans éthique ni morale ? Il y a beaucoup de ça, c'est évident... Mais cela ne fait pas tout. Fatigue morale, devant des évenements personnels, des retours vers le passé et des présents parfois amers ? Il y a de ça sans doute, quand bien même je me sois fait à certaines réalités, dures à accepter, mais il faut parfois être fataliste. Fatigue physique sinon ? Ben oui, j'ai fait du sport ce weekend et cette semaine... Et mon pauvre petit corps n'est pas trés athlétique... Oui, il y a de ça.
mais il y a aussi le fait que mes nuits, quoique pleines, ne sont pas reposantes. Je ne fais pas de cauchemars : plutot même des reves agréables. Mais le matin,je me leve encore plus crevé que la veille au soir. Et les journées, forcément, je rame...
Alors je reve un peu à ces paysages marseillais, qui me manquent quand même. A ces moments où je me dis que mes jours dans cette société arrivent à leur terme peut être, je ne peux m'empecher de me revoir en 2002. J'arrivais à Marseille. Quelle chouette année. Des moments trés durs, mais au final, cette année restera une grande année pour moi. Même si une de mes meilleures amies que j'adore m'a dit qu'il fallait un peu que j'arêtte de trop me tourner vers moi même et vers mon passée... (mais on ne se refait pas quand bien même on essait...).
Enfin, ça ne change rien au soucis du moment. Je suis épuisé, je n'avance pas, et j'ai envie d'aller me coucher... Aller, encore une heure, et je m'en vais. En plus, ce soir, j'ai coiffeur. Bah, je somnolerai en me faisant tripoter les cheveux...
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