Reçu tout à l'heure, une alerte iPhone qui m'a bien amusée : "Retraites : 379 lycées perturbés selon le ministère, 1200 selon les syndicats lycéens". Cela se passe de commentaire...
A ce propos, je recopie le commentaire de l'ami Aspi-rine sur mon billet précédent, qui s'y connait en loi et tout et tout : "Le décret n° 91-173 du 18 février 1991 relatif aux droits et obligations des élèves ne prévoit pas l'exercice d'un droit de grève par les lycéens. En revanche, ce texte mentionne l'obligation d'assiduité aux cours. Des élèves participant à des mouvements de grève encourent ainsi le risque d'être sanctionnés pour défaut d'assiduité en fonction de ce que le règlement intérieur de leur établissement prévoit. ".
Ce décret est signé de la blanche main de Lionel Jospin. Après, on peut toujours appeler la jeunesse de ce pays à aller manifester, et à se mettre hors d'un décret émis par un "camarade"... (quoique entre Lionel et Ségolène, j'ai cru comprendre que...)
Rigolons en plutôt, en pensant à l'extraordinaire Alain de Force Ouvrière Marseille. A Marseille, ils sont peut être marseillais, mais j'adore...
A ce propos, je recopie le commentaire de l'ami Aspi-rine sur mon billet précédent, qui s'y connait en loi et tout et tout : "Le décret n° 91-173 du 18 février 1991 relatif aux droits et obligations des élèves ne prévoit pas l'exercice d'un droit de grève par les lycéens. En revanche, ce texte mentionne l'obligation d'assiduité aux cours. Des élèves participant à des mouvements de grève encourent ainsi le risque d'être sanctionnés pour défaut d'assiduité en fonction de ce que le règlement intérieur de leur établissement prévoit. ".
Ce décret est signé de la blanche main de Lionel Jospin. Après, on peut toujours appeler la jeunesse de ce pays à aller manifester, et à se mettre hors d'un décret émis par un "camarade"... (quoique entre Lionel et Ségolène, j'ai cru comprendre que...)
Rigolons en plutôt, en pensant à l'extraordinaire Alain de Force Ouvrière Marseille. A Marseille, ils sont peut être marseillais, mais j'adore...
Personne n'a incité les lycéens à ne pas aller en cours, juste à manifester (les samedis).
RépondreSupprimer(vive la mauvaise foi).
Ah ? c'était que le samedi ?
RépondreSupprimer(euh, tu parles de qui quand tu parles de mauvaise foi Nicolas ?)
(ben de moi...)
RépondreSupprimerNicolas...
RépondreSupprimer(t'es un mec bien ^___^
mais j'y ai cru un moment ^^)
Bonne soirée ^^
La vidéo démontre bien que les marseillais ne savent pas compter. On le savait déjà depuis leur gros problème de décompte de titre de champion de France de l'OM.
RépondreSupprimer[fin mode mauvaise foi] :)
El Camino (mode grosse voie on) : Ohhhhhhhh !!!!!!!!
RépondreSupprimer(mode grosse voie off)
(ce billet c'était n'importe quoi, mais les commentaires c'est... ^^)
Lemonde en parle:
RépondreSupprimerQuant aux lycéens, ils ne disposent pas du droit de grève puisque celui-ci concerne exclusivement les travailleurs. "Les lycéens ne travaillant pas, il est impropre de parler de grève. Il est plus juste de parler de mouvement de protestation, de manifestation...", souligne maître Regenberg. Ils peuvent néanmoins être copieusement sanctionnés. "L'absence pour aller manifester est une violation de l'obligation d'assiduité, passible de sanctions pouvant aller jusqu'au renvoi. La tolérance des directeurs d'établissements, que ce soit par connivence ou pour éviter d'aggraver les troubles, crée l'apparence d'un droit, l'abus de langage fait le reste. Mais l'abus de langage ne permet pas l'abus de droit", assure maître Eolas.
la suite:
http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/10/19/les-responsables-de-blocus-risquent-la-prison_1428417_823448.html
Tout à fait on ne peut parler de grève que pour les travailleurs.
RépondreSupprimerVive les lycéens, tous des gens très bien ! Bon après ils savent pas trop pourquoi ils sont dans la rue mais on leur a juste demandé d'y venir, pas de savoir pourquoi...
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