Connerie amusante trouvé ici.
Ca m'afflige toujours autant d'entendre ce terme "bashing". Lorsqu'on ose critiquer leur gourou ou leur leader, les militants emploient ce terme de "bashing". Pour ridiculiser ceux qui critiquent, les dénigrer. Ca coupe le débat, c'est nul.
Critiquer Hollande, sa gouvernance, ses reniements et ses résultats, c'est donc du "Hollande Bashing". Je revois avec émotion le brillant Harlem Désir huler, les petits poings serrés, que "le PS bashing et le Hollande bashing, ça suffisait"... Avant d'insulter la droite, l'UMP et tout ce qui de l'autre coté de l'hémicycle...
Normal, la politique ne stimule pas l'intelligence des fois...
Je me demande si ceux qui abusent de ce mot pour dénigrer toutes critiques se rendent compte qu'ils sont ridicules... Et qu'ils ridiculisent le débat public et la politique (qui n'a pas forcément besoin de ça).
Le "Bashing bashing", ça serait un concept...
Mais non, critiquer Hollande n'est pas du bashing. Ce qui est du bashing c'est quand toute la presse fait des unes sur Hollande comme c'était le cas fin 2012, par exemple.
RépondreSupprimerOu sur Sarkozy à l'époque.
SupprimerJe trouve quand même ce mot et cette ligne de défense ridicule. D'autant plus qu'elle se généralise ( y compris à droite )
Oui, sur Sarko à l'époque.
SupprimerMais pourquoi tu en parles ce matin ? J'ai loupé un épisode ?
Et pourquoi tu parles de fin 2012 ?
SupprimerSinon pourquoi je parle de bashing ce matin, je ne sais pas. Peut être parce que j'ai trouvé cette image qui m'a amusé. Et ça change de parler de Dieudonné.
(et puis bon, on parle de ce qu'on veut quand on veut sur nos blogs...)
Oui, on parle de ce qu'on veut, ma question n'était qu'une question.
SupprimerPourquoi de fin 2012 ? C'est parce que c'est à cette époque que ça a commencé, surtout à la fin de l'été.
Y avait du bashing bien avant sur d'autres personnes, dans d'autres camps politiques. Mais à l'époque visiblement, le mot "bashing" n'existait pas (sauf pour Ségolène Royal, tiens...), ou n'était pas employé.
SupprimerEt je reste sur la position que j'essaie modestement d'exprimer sur ce billet. Se défendre en se plaignant d'un "bashing" me parait ridicule.
Oui, mais je ne sais pas si c'est une défense. Toujours est-il qu'à cette époque de fin 2012, j'étais énervé de voir que la presse ne parlait que des vacances du président et du gouvernement qui ne faisait rien mais oubliait de dire ce qu'il faisait.
SupprimerBon, je ne vais pas jouer mon Koltchak ! Bon appétit !
Ca peut se comprendre que tu fut agacé.
SupprimerTiens ! Je reviens sur notre échange et mon premier commentaire où je disais que critiquer Hollande n'est pas du bashing.
SupprimerPar contre, quand je vois ce billet de blog je me dis que c'est typiquement du bashing. Je ne suis pas en train de le défendre mais la dame (c'était une copine des blogueurs de gauche mais elle a décidé de ne plus nous fréquenté quand les réacs ont commencé à s'unir contre le Mariage pour tous) fait du bashing : elle tape sur Hollande pour le plaisir pour un sujet qui n'en est pas un.
Nicolas,
SupprimerJe viens de lire rapidement. Je ne trouve pas ça pire que bien des billets sur la droite que peuvent écrire aujourd'hui des blogueurs de gauche, pour le simple plaisir de taper sur la droite sur des sujets qui n'en sont pas (pour reprendre tes termes).
Je pense que c'est une question de point de vue. Je comprends que tu sois agacé, je le suis aussi quand je lis des billets qui tapent assez gratuitement sur des personnes de droite.
Après, je n'ai pas envie de m'exprimer sur le sujet.
"Je pense que c'est une question de point de vue." Mais non ! Je suis d'accord avec toi. Arrête de voir tous les trucs comme un débat droite gauche.
SupprimerImagine que je fasse un billet, aujourd'hui, pour taper sur Sarkozy dire qu'il a ruiné la France et tout ça. Ca serait du bashing. Par contre, si je dis "Copé mange avec Sarko ce midi (c'est vrai...) : il veut savoir comment ruiner la France comme son maitre ?" Ce n'est plus du bashing mais de l'humour et de la méchanceté contre Copé (qui est dans l'actualité puisqu'il a invité Sarkozy).
Nicolas,
SupprimerTu t'énerves tout seul, et tu veux voir derrière ce que je dis ou entre les lignes d'autres choses.
Nous sommes d'accord, et je l'avais compris que nous étions d'accord.
(ne nous énervons pas, et arrêtons d'essayer d'interpréter les propos qu'on se tient : j'ai déjà eu Koltchak ce matin qui m'a joué les interprétations, ça suffit ^___^)
Mais je ne m'énerve pas. Je glande au bureau. Maintenant, on peut à nouveau commenter les blogs blogger.
SupprimerLe gros avantager de ce vocable à consonance anglo-saxonne, c'est qu'on ne sait pas ce qu'il veut dire exactement, ce qui permet à tout un chacun de croire qu'il le sait.
RépondreSupprimerC'est très orwellien, finalement.
D'après internet c'est le participe présent de "bach" mot gallois qui vient du breton "bac'h". Ce qui veut dire "petit". J'ignorais qu'un adjectif avec un participe présent, mais vu ce que picolent les Bretons, hein !
SupprimerA noter que "bac'h" a en suite été dérivé en "bihan" qui veut dire petit en breton. Par exemple, "Morbihan" veut dire "petit mère".
Didier,
SupprimerC'est vrai.
L'avantage d'être un libéral, ni à gauche, ni à droite, c'est qu'on ne peut pas se faire taper dessus puisqu'en France, il n'y a pas de libéraux (ou du moins, il n'y en a aucun qui existe médiatiquement).
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