Finalement ce soir, je suis au moins aussi fatigué que hier soir. Y aura normalement rien de bien palpitant comme billet ce soir. Je suis crevé, j'ai mal à la tête, et je me rend compte que je supporte vraiment trés mal les premières chaleurs estivales. Et comme je me souviens toujours trés bien des choses me concernant, je me revois 2 ans en arrière, mois de Juin 2005, où vraiment j'étais mort de fatigue... Fatigue qui allait déboucher ensuite sur une première alerte en Juillet 2005, puis un burn-out fantastique à l'automne.
Sauf qu'à l'époque, j'étais professionnellement dans l'oeil du cyclone. Non seulement je travaillais 50 heures par semaines, sur les routes de mon beau pays, à me demander si "travailler plus pour gagner plus" signifiait quelque chose quand on travaillait pour enrichir d'abord sa société, ensuite son Directeur et ses apotres, et puis aussi bien sur les actionnaires qui profitaient de mes kilomètres et de mes heures de boulot. Pour une prime assez ridicule à la fin de l'année et une santée physique et morale dans les chaussettes au final. Travailler plus pour gagner plus, mais comment aurais je pu travailler "plus" ? Mystère, je n'aurais jamais la réponse.
A cet époque du début de cet été, je regardais l'excellent dessin animé Mai Hime dont la musique ne m'aidait pas à soigner ma triste mélancolie. Un peu de musique, puisque je sais comment ça marche maintenant. "Ensei instrumental" est le titre de ce morceau de Yuki Kajiura. Ca colle bien à mon moral ce soir en plus.
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Sauf qu'à l'époque, j'étais professionnellement dans l'oeil du cyclone. Non seulement je travaillais 50 heures par semaines, sur les routes de mon beau pays, à me demander si "travailler plus pour gagner plus" signifiait quelque chose quand on travaillait pour enrichir d'abord sa société, ensuite son Directeur et ses apotres, et puis aussi bien sur les actionnaires qui profitaient de mes kilomètres et de mes heures de boulot. Pour une prime assez ridicule à la fin de l'année et une santée physique et morale dans les chaussettes au final. Travailler plus pour gagner plus, mais comment aurais je pu travailler "plus" ? Mystère, je n'aurais jamais la réponse.
A cet époque du début de cet été, je regardais l'excellent dessin animé Mai Hime dont la musique ne m'aidait pas à soigner ma triste mélancolie. Un peu de musique, puisque je sais comment ça marche maintenant. "Ensei instrumental" est le titre de ce morceau de Yuki Kajiura. Ca colle bien à mon moral ce soir en plus.
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Là, je suis super bien. Un travail passionnant et agréable. Une confiance de mes proches et collègues de travail, et des objectifs qui font envie. Un stress qu'actuellement je n'ai pas, et une envie de m'améliorer, de créer, de m'éclater. Franchement, tout va bien. Et à la maison aussi tout va bien.
Et pourtant physiquement, je suis crevé. Envie de dormir, d'aller dormir. Pourquoi ? Première chaleur on dira.
Donc ce soir, je vais aller faire un tour dans ma piscine (oui je suis un capitaliste bourgeois), un épisode du nouveau dessin animé en cours (Busou Renkin, un shonen des familles qui fait pas forcément trop réfléchir... ), et puis dodo. Demain debout tôt pour profiter des rosées matinales. Et boulot. Et tout reprendra son cours.
Donc je ne parlerai pas politique. Ni foot. Pourtant, l'interview du brillantissime Gomis de StEtienne m'appelera des commentaires. Ce club par en sucette, avec tout ce que je hais : l'opportuniste qui tue pour réussir, et la pseudo star en Ferrari qui écoute du rap qui fait un caprice d'enfant gaté.
Et coté politique, l'histoire de cette TVA sociale m'ammènerait des commentaires pas forcément dithyrambique. Mais j'en parlerai plus tard. Ce weekend au fait, je vote - Roubaud - par procuration.
Non, ce soir, je préfère poster quelques autres photos prises ce weekend. Saint André de Roquepertuis, donc, la vallée de la Cèze toujours. Une photo de l'Eglise (à droite), parce que je la trouve belle. Massive d'extérieur, toute petite dedans. Avec ces grosses pierres qui gardent la chaleur. Puis une photo prise de la maison des photos de la mariée. Une belle, une trés belle, maison... Un architecte parisien qui a réussi et qui profite justement d'une jolie demeure au dessus du village. Enfin, une photo du Coureau en fin de journée. Ce coin qui m'attend pour cet été. Bientôt, bientôt...
Donc je ne parlerai pas politique. Ni foot. Pourtant, l'interview du brillantissime Gomis de StEtienne m'appelera des commentaires. Ce club par en sucette, avec tout ce que je hais : l'opportuniste qui tue pour réussir, et la pseudo star en Ferrari qui écoute du rap qui fait un caprice d'enfant gaté.
Et coté politique, l'histoire de cette TVA sociale m'ammènerait des commentaires pas forcément dithyrambique. Mais j'en parlerai plus tard. Ce weekend au fait, je vote - Roubaud - par procuration.
Non, ce soir, je préfère poster quelques autres photos prises ce weekend. Saint André de Roquepertuis, donc, la vallée de la Cèze toujours. Une photo de l'Eglise (à droite), parce que je la trouve belle. Massive d'extérieur, toute petite dedans. Avec ces grosses pierres qui gardent la chaleur. Puis une photo prise de la maison des photos de la mariée. Une belle, une trés belle, maison... Un architecte parisien qui a réussi et qui profite justement d'une jolie demeure au dessus du village. Enfin, une photo du Coureau en fin de journée. Ce coin qui m'attend pour cet été. Bientôt, bientôt...
Allez, plouf, et dodo. A bientot