mercredi 20 février 2013

Cela fait 8 mois que je n'ai plus parlé de Sarkozy...

Je préparais mon billet sur l'analyse de Raffarin à propos de la campagne de Nicolas Sarkozy, lorsque j'ai fait un constat...
Je cherchais le libellé "Sarkozy" sur mon blog. Je voyais que le dernier billet qui s'y rapportait était celui là : "la Fin du film". Billet prémonitoire (écrit le 4 Mai). Parce que je voyais la défaite gros comme une maison. Parce que je n'y croyais pas. Parce que peut être aussi j'en avais marre de cette campagne électorale.

Depuis le 4 Mai, je n'ai plus écrit de billet avec le libellé "Sarkozy". Peut être n'ai je plus parlé de Sarkozy non plus. 
Je n'en tire aucun commentaire. Je n'en rigole pas. Je n'en suis pas triste non plus. C'est comme ça...

Aujourd'hui, beaucoup de billets à gauche évoquent cette "nostalgie Sarkozy". Parfois, souvent, avec moquerie. Tendresse ? N'en demandons pas trop...  
Le fait est qu'il n'est plus au pouvoir. Pendant qu'on parle de Sarkozy, et que certains moquent la droite (qui a tout perdu), on ne parle pas trop du pouvoir en place. Peut être est ce mieux...

En tous cas personnellement, ça faisait 8 mois que je n'avais pas parlé de Sarkozy. C'est long...

11 commentaires:

  1. et puis faut pas non plus se forcer à être maso

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  2. Bob, encore un commentaire hors-sujet;

    Tambour, dommage que silence soit dérangé par les tapages d'une bruyante gouvernance de gauche qui, à mon sens, ne donne pas de notre pays une image meilleure que la majorité précédente (personnellement, je ne vis pas mieux maintenant qu'il y a 8 mois)

    Mais bon, chacun son point de vue (tant qu'on respecte celui des autres...)

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  3. Mon commentaire a disparu ou la modération est activée ?

    Je confirmais que je me moquais des gens nostalgiques de Nicolas Sarkozy. Je ne me moque pas des électeurs de droite qui voudraient autre chose...

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    1. Ton commentaire a disparu... (ou alors je ne l'ai jamais eu)

      Oui, la nostalgie est un peu surjouée. Je n'en parle pas dans ce billet, mais bon... Je n'oublie pas que Sarkozy et sa bande de nostalgique ont contribué à tout faire perdre la droite, pour mettre en place une gauche dont mon sentiment est ce qu'il est (et pas forcément élogieux)

      Je ne te visais pas quand je parlais des moqueries.
      Par contre, la moquerie de certains à gauche qui ont vraiment le succès immodeste et irrespectueux, elle commence à me gonfler. Mais c'est un autre débat.

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    2. Oui mais lis tu des blogs de droite ? La vantardise de la gauche parait souvent dérisoire par rapport à certains propos de la droite.

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    3. Simple question de point de vue : il n'y a pas de bonne ou de mauvaise réponse de toutes manières...

      Je pense que bien des blogueurs de gauche n'ont aucune leçon à recevoir des blogueur de droite en matière de vanité, de vantardise, parfois même de bêtises, d'intolérance, etc, etc...

      Mais cela n'est que question de point de vue. Subjectif.

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    4. T'as raison. Mon commentaire était peu précis. Je voulais dire qu'avant les élections, les blogueurs de droite étaient relativement humbles. Je ne m'étais jamais fâché avec des blogueurs de droite avant. Depuis l'élection, je me suis fâché avec 3. Je ne vais pas les citer pour ne stigmatiser personne et je ne te dirais donc pas qu'il s'agit de Corto, Vallenain et Vlad. Plus précisément je me suis fâché avec deux d'entre eux à partir du moment où il est apparu évident que Hollande gagnerait.

      Deux des trois ont acquis leur notoriété en dialoguant de blog à blog avec moi (Vlad se foutant de la notoriété).

      Et je peux difficilement être qualifié d'intolérant (de soupe au lait, oui, mais je me rabiboche le lendemain avec excuses à l'appui). Les blogueurs de gauche étant beaucoup plus nombreux que les blogueurs de droite, la proportion de blogueurs de droite qui ont dépassé les bornes peut être qualifiée d'extraordinaire !

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    5. Pas faux ce que tu dis le truc sur les proportions.

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    6. Bah ! Je ne sais pas si c'est le lieu et le moment de continuer la conversation. Mais tous ont ouvertement défendu Nicolas Sarkozy. Et ce sont les seuls types de droite que je connais à l'avoir fait alors que j'en fréquente un paquet.

      On va donc réviser la proportion : 100%.

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    7. Rien de choquant de défendre Sarkozy quand on est de droite.

      Après simple question de point de vue.

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