J'aurais du prendre la route pour Montpellier, Stade de la Mosson. Deux places gagnées pour Afrique du Sud - USA ce soir. Au lieu de ça, je me suis préparé un thé écossais (au whisky) et je fais ma mi-temps entre le trés bon France Géorgie de tout à l'heure, et le crucial Irlande - Argentine de dans cinq minutes.
Et si je zappe un peu sur les chaines du cables, où Milan est tenu en échec par Catane, et où Sienne et Cagliari s'annihilent, je reste en pantoufles. Je n'irai pas à Montpellier ce soir.
Parce que pluie : il y a encore eu des innondations dans le Gard oriental cette nuit, et le coin de la Mosson, innondable comme son nom l'indique (la Mosson, il fallait le trouver...), ne m'attire pas quand le ciel est menaçant comme ça. Parce que mon dos me fait souffrir comme il y a quatre mois. Parce que mal à la tête, parce que coup de froid de mon amie. Parce que finalement tant pis, nous aurons d'autres occasions de voir un match de rugby sympa. Triste car l'occasion était belle. Mais Afrique du Sud - USA ne mérite pas 3 heures de route aller-retour pour se prendre pluie, vent, et continuer à faire souffrir ce dos de pas encore 30 ans qui me fait déjà des misères.
Pour autant, j'ai assisté y a deux semaines à USA - Tonga, à Montpellier. Un mercredi aprés-midi de RTT, sous un soleil estival, avec un collègue de bureau. Vive les RTT là où on travaille (merci la gauche... non j'déconne, quoique ^__^). Deux photos pour essayer de montrer un peu cette ambiance bon enfant, dans un stade sans grillages et sans insultes. La grossiéreté laissée aux portes de la ville, pour des orchestres camarguais qui jouaient des musiques de chez nous. La bière coulait à flot, sans risque de débordement d'avoir des supporters au QI de meringues salées beurrés comme des tartines... Et c'était chouette.
Aprés, nous pouvons toujours jouer les rabats-joies, et se dire "oh, ils nous emmerdent avec le rugby !". Mais que je voyais, dans ce stade et dans la capitale du Languedoc, les gens simplement heureux, qui n'avait pas envie de se prendre la tête, juste passer un bon moment, je me dis que ça vaut la peine. Mon amies des Bons Enfants de Marseille avait écrit un texte magnifique sur la vague all-black à Marseille, sur son merveilleux blog. Y avat tout dedans : de la couleur, une certaine joie dans les rues, populaire. Que demander d'autre ? Y a tellement de moments pour se prendre le chou que quand des gens sont simplemet et bêtement heureux, je trouve que ça vaut le coup.
Et si je zappe un peu sur les chaines du cables, où Milan est tenu en échec par Catane, et où Sienne et Cagliari s'annihilent, je reste en pantoufles. Je n'irai pas à Montpellier ce soir.
Parce que pluie : il y a encore eu des innondations dans le Gard oriental cette nuit, et le coin de la Mosson, innondable comme son nom l'indique (la Mosson, il fallait le trouver...), ne m'attire pas quand le ciel est menaçant comme ça. Parce que mon dos me fait souffrir comme il y a quatre mois. Parce que mal à la tête, parce que coup de froid de mon amie. Parce que finalement tant pis, nous aurons d'autres occasions de voir un match de rugby sympa. Triste car l'occasion était belle. Mais Afrique du Sud - USA ne mérite pas 3 heures de route aller-retour pour se prendre pluie, vent, et continuer à faire souffrir ce dos de pas encore 30 ans qui me fait déjà des misères.
Pour autant, j'ai assisté y a deux semaines à USA - Tonga, à Montpellier. Un mercredi aprés-midi de RTT, sous un soleil estival, avec un collègue de bureau. Vive les RTT là où on travaille (merci la gauche... non j'déconne, quoique ^__^). Deux photos pour essayer de montrer un peu cette ambiance bon enfant, dans un stade sans grillages et sans insultes. La grossiéreté laissée aux portes de la ville, pour des orchestres camarguais qui jouaient des musiques de chez nous. La bière coulait à flot, sans risque de débordement d'avoir des supporters au QI de meringues salées beurrés comme des tartines... Et c'était chouette.
Aprés, nous pouvons toujours jouer les rabats-joies, et se dire "oh, ils nous emmerdent avec le rugby !". Mais que je voyais, dans ce stade et dans la capitale du Languedoc, les gens simplement heureux, qui n'avait pas envie de se prendre la tête, juste passer un bon moment, je me dis que ça vaut la peine. Mon amies des Bons Enfants de Marseille avait écrit un texte magnifique sur la vague all-black à Marseille, sur son merveilleux blog. Y avat tout dedans : de la couleur, une certaine joie dans les rues, populaire. Que demander d'autre ? Y a tellement de moments pour se prendre le chou que quand des gens sont simplemet et bêtement heureux, je trouve que ça vaut le coup.
Je retourne voir le match. Je regarderai le dernier, celui de ce soir, à la télé, au chaud. Aprés l'apéritif dominical. Je n'aurais pas l'orchestre derrière moi qui jouera des chansons à boire. Comme sur cet essai, dont je vous propose une "Falcon Video" faite sur place. Pour vous faire entendre un peu de la joie qu'on peut recevoir et ressentir dans un stade.
Comme disaient les chanteurs en 98', c'est beau de voir un monde qui joue. Quelque soit la forme du ballon ou le nombre de bonhommes sur le terrain.
Comme disaient les chanteurs en 98', c'est beau de voir un monde qui joue. Quelque soit la forme du ballon ou le nombre de bonhommes sur le terrain.