Après l’attestation de deux pages et les rayons de 1, 10 et 30 km, notre pouvoir nous sort un alexandrin à la con. Hier nous avions la pub avec la vieille qui toussait dans son coude. On est vraiment des cons...
mardi 23 mars 2021
Infantilisation gouvernementale et cerisier
Après l’attestation de deux pages et les rayons de 1, 10 et 30 km, notre pouvoir nous sort un alexandrin à la con. Hier nous avions la pub avec la vieille qui toussait dans son coude. On est vraiment des cons...
samedi 20 mars 2021
Attestation mon vier
mardi 16 mars 2021
16 mars ça repart
Pensées à Charles Pasqua que j’aimais beaucoup (personnellement aussi)
dimanche 14 mars 2021
Il y a un an, le confinement...
Le pseudo confinement de Novembre et cette période trouble depuis Janvier m'exaspère...
mercredi 10 mars 2021
lundi 8 mars 2021
Orange un soir avant le confinement
A part ça j’en ai marre. J’ai entendu sur mon iPhone le « j’en ai marre » d’Alizee. Non je n’ai pas que des trucs géniaux sur pin téléphone. Mais 256 Go on peut avoir une sacrée playlist.
mercredi 3 mars 2021
Rions avec le confinement... (il nous reste ça)
Ce confinement à la con me gonfle. J'adore cette connerie qui circule sur ces nons décisions de la France.
Je trouve le traitement de la crise par ce gouvernement est con. Mais aussi et surtout inhumain. Un supplice chinois qui ne s'arrête pas.
Heureusement nous avons McFly et Carlito pour rappeler les gestes barrières. Remarquez, ça vaut bien la pub complètement conne et infantilisante avec la vieille qui tousse dans son coude et le jeune qui se mouche avec un kleenex...
vendredi 26 février 2021
Carte postale du Mont Aiguille et soupirs préconfinés #Gard
Quand j'écris sur ce sentiment de fatigue permanente, je sais que beaucoup ressentent la même chose. Impossibilité de se concentrer, fatigue, chaque truc bête est épuisant ou énervant ou déprimant.
mardi 23 février 2021
Lyon c’est de la viande et Notre Dame de Fourviere
lundi 22 février 2021
Speedy
dimanche 21 février 2021
Vivre pour toujours, avec Osiris @OsirisCovBande
j'adore ce qu'est devenu l'immense Eric Di Méco
samedi 20 février 2021
Rio grande, ou l'envie du grand large...
Deux chansons en tête ce soir. "Restez vivant" de Johnny, qui démontre que non j'ai eu été mieux. Et une autre, que j'adore, de son ami Eddy. Rio Grande. L'appel du grand large.
Si un jour je vais au USA, New York m'intéresse moins que la Floride, la Nouvelle Louisiane ou la Californie. Je verrai Le Mississipi avec plaisir. Mais le Rio Grande, avec la voir d'Eddy, le copain de Johnny.
Gardons des horizons et des objectifs..
Ça commence comme dans un film noir :
Un jeune couple embarqué dans une sale histoire.P'tit voleurs fichés et recherchés,La vie les a changés en marginaux blessés.En cavale, changeant chaque soir,D'hôtel, d'identité, Evitant les bars.Bêtes traqués, une seule lueur d'espoir :Ça s'ra la fin du bluesDans l'port de Vera Cruz.(Refrain:)Rio, Rio Grande. Dès la frontière passée,Nous s'rons blanchis, sauvésRio, Rio Grande. Le temps va s'arrêterPour mieux nous oublier.On s'promet une vie, sans bluesTout commence à Vera CruzVrais mensonges, rêveurs éveillés,Le Mexique est bien loin du supermarché.Les vigiles nous ont vite repérés :Ça s'ra toujours le bluesDans la banlieue d'Mulhouse.
vendredi 19 février 2021
Le silence
Francis Cabrel chantait "c'est le silence qui se remarque le plus". Me concernant je n'ai pas cette prétention. Je m'inquiète du silence de certains, mais après est ce que je lis ? Ou ne suis je pas dans cette grotte ?
J'avais envie de poster des photos d'un aprésmidi dans le Gard avec Falconette et mes enfants. Hier, j'étais chez le médecin du travail pour dire que j'arrivais au bout de je ne sais pas quoi. Un nouveau cliquet, mais quel objectif ?
Des fois il vaut mieux se taire. Le silence. Mes photos du Gard vu d'en haut, je les partagerai plus tard.
Aujourd'hui, j'admets pas l'écrit (libérateur) que la dépression saisonnière est présente. Plusieurs Février durs.
J'ai deux bébés et une épouse formidable. Mes amis le sont aussi. Dans la vraie vie et dans les blogs. Merci à vous.
lundi 15 février 2021
Saint Valentin et Bruce Springsteen
samedi 13 février 2021
Quelques cris
La Chromecast est un des objets qui aura changé nos vies. Il y a les tablettes, qui fait que ma grand mère, mes parents, nous et mes enfants utilisons le même objet récent. Qui a changé nos vies. Le smartphone : quand en 2010 j'étais aux urgences de Bagnols avec un téléphone à la con, la cheville dans la boite à gants et tout le programme de TF1 qui défilait sous mes yeux, j'ai pris la décision d'acheter l'iPhone. Je ne le regrette pas.
La Chromecast, c'est l'ane Trotro ou le générique de Bioman qui passe à la télé facilement. C'est aussi pour moi mettre mes clips, mes chansons.
Le samedi soir, avant qu'arrive the Voice (y a pas longtemps c'était Ninja Warrior mais je ne me bats pas le samedi soir... Le Lyon Montpellier je m'en fous, et j'adore voir mes enfants adorer une émission qu'on regarde en famille), j'ai des chansons qui me viennent en tête.
Ce soir, c'est la chanson (encore) de Johnny "quelques cris". Elle n'avait pas de clip. "Partie de cartes", du même album, j'ai déjà posté. Ce clip Jean Réno Johnny, il est superbe. Mais la chanson "quelques cris", la troisième de l'album de 1999, est superbe. C'est son fils David et Françoise Sagan qui l'ont écrite (David je savais, Sagan j'ai mis Wikipédia pour être sur).
C'était un cri de nouveau-né
Le jour où ma mère me mit bas
Nu, sanglant, entre des draps
Oh, me ft peur
Ce fut un cri de volupté
Lorsqu'une femme m'attira
Nu, tremblant, entre ses bras
Oui, me fit peur
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Fut celui de l'homme comblé
Lorsque la foule me rappela
En scène, pour la dixième fois
Oh, me fit peur
C'est qu'une autre a pris le dessus
Elle parle peu, elle parle bas
La solitude brise ma voix
Me fait peur
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Dernière fois
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
J'avais le regard affamé
L'air égaré du mal-aimé
L'air du garçon qui ne sait pas
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient
Que deux corps parfois se foudroient