Je viens de recevoir un SMS de mon papa : "Je suis très triste Laurent Fignon est décédé". Moi aussi en fait...
Je mangeais un sandwich à Béziers... Triste.
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Je mangeais un sandwich à Béziers... Triste.
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Ouais, il faisait parti des types que j'aimais bien...
RépondreSupprimerClic.
RépondreSupprimermoi aussi
RépondreSupprimerje l'ai écouté encore cet été quand je mettais le Tour en fond sonore et visuel (un peu!) au bureau en juillet...
cette voix me faisait une peine immense à chaque fois
Un grand coureur et un chic type qui disait ce qu'il pensait. c'est triste, tout ça à cause de ce putain de cancer.
RépondreSupprimerDécédé... parti...
RépondreSupprimerIl vous fait peur à ce point, ce beau mot : MORT ?
Nicolas, oui...
RépondreSupprimerFB, j'aimais bien ses commentaires et j'ai adoré ce Tour...
Meclalex, oui. C'est une saloperie...
Didier, aujourd'hui vous tirez à coté. Complètement.
http://www.parismatch.com/Actu-Match/Sport/Photos/Laurent-Fignon-une-vie-en-images/
RépondreSupprimerParis Match retrace sa vie en image, je n'ai eu la chance de le connaitre qu'en temps que journaliste et il va manquer au Tour c'est sûr
Mais je ne "tirais" pas, j'étais fort sérieux. "Décédé" a un côté fiche administrative qui me semble indigne de la grandeur de la mort. Le respect des morts, auquel je suis très attaché, me semble passer par une reconnaissance pleine et entière de ce qui leur est arrivé. Tout le reste est plus ou moins un escamotage.
RépondreSupprimer(Et, bien sûr, cela n'avait rien à voir avec la personne évoquée dans ce billet.)
Val, tu as raison... Joli le lien.
RépondreSupprimerDidier, vous avez raison, cela n'a rien à voir avec le sujet, ce débat sémantique qui ne m'intéresse pas plus que ça ce soir, sur ce billet en tous cas.
Quant au respect des morts... Non, restons en là, je ne discuterai pas de ce sujet ce soir (ni demain d'ailleurs)
Bonne soirée (agréable citée de Carcassonne)
C’est triste. Un champion, mais aussi un homme qui a dit des choses intelligentes avec mesure, simplicité et courage sur le cyclisme, mais aussi la maladie, sans misérabilisme. Dommage que les médias résument parfois sa carrière aux fameuses 8 secondes du Tour 89.
RépondreSupprimerLe grand champion de mon enfance qui s'en va, ça m'a fait quelque chose...dire qu'il y a un mois je l'entendais encore commenter le Tour, c'est vraiment trop brutal, lui qui disait les choses sans langue de bois, sans crainte de heurter les gens, certains devraient en prendre la graine...
RépondreSupprimerManuel, les 8 secondes font aussi parties intégrantes de sa légende...
RépondreSupprimerChibi, oui... Il envoyait du bois, c'était un chouette consultant en plus...
Non, triste... La une de l'Equipe doit être remarquable aujourd'hui...
Un type plutôt sympa, intelligent, atypique.aspi
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