Ne pas parler politique. Ne pas parler du France - Maroc de hier soir, de la Marseillaise sifflée... Moins d'une semaine aprés les cérémonies du 11 Novembre, mon aiguille interne de mon cadran "compréhension - tolérance" étant dans le rouge depuis hier soir, je risque d'écrire des choses trop fortes, désagréables... Je ne supporte pas qu'on siffle un hymne, tel qu'il soit, quand c'est en plus par des "concitoyens", je...
Mince, ça fait bip bip, donc j'arêtte d'en parler. Trop énervé. Parlons d'autres choses...
Ce weekend, je monte chez ma belle famille. Cet aprésmidi, balade dans le Beaujolais. Le Domaine de Cruix, parents d'un de mes plus proches amis de promotion. Cadre magnifique, dans lequel j'ai pléthores de souvenirs d'étudiants. Autour de Lyon.
Est ce que ce soir je mangerai avec mes "amis" (guillemets) de promotion ? Je ne sais pas. Un coté de ma conscience me dit "ça sera super". L'autre, au taquet avec la somme de choses qui me gonfle en ce moment, m'invite à aller me coucher tot ce soir. Demain, "repas de famille", gardons des forces semblerait me dire mon horloge interne.
Et puis bon, tu ne sais pas être bien quand il y a beaucoup de monde autour de moi en ce moment me rappelle, sournoise, ma conscience en essayant de baisser un peu le niveau de soupir à l'intérieur de mon coeur et de mon crane. Si c'est pour aprés soupirer pendant une semaine pour pleins de raisons, est ce la peine de rester "entre amis" ?
Les souvenirs d'un Lyon où j'étais chez moi, où je me sentais chez moi, c'est du passé. Je mets en première photo une image de Fourvière. J'habitais dessous. Cette image m'évoque tellement de chose. Tout Lyon voyait ces tours, comme moi. Quand le train m'ammenait, pour le boulot de Paris à Avignon, je voyais cette basilique de loin. Je voyais ces tours. Je pensais à une personne qui le voyait peut être, mais bon... Soupir bis, ça repart, vite une douche et on part.
Où sont les chiens ? C'est gentil les chiens... Ca calme les chiens, pleins de gentillesses, gratuits, et ça ne demande rien d'autre en échange que de l'amour et de la gentillesse. Allez, allons voir Vanille, ça ira mieux aprés.
De l'actualité ? J'étais fier de la CGT et de la CFDT lorsqu'ils ont appelé à la renégociation, et à aretter les mouvements de grève du temps des travaux. Un syndicalisme raisonnable et responsable comme j'en appelle de mes voeux depuis longtemps.
Et puis une base toujours radicales, toujours j'en veux plus. Pourquoi faire ? On ne sait pas... Gardons la politique du coup de poing et de l'intimidation, plutot que de la négociation et de la discussion entre adulte. Continuons d'être idiot. Et adulte comme étudiant, même combat. La batte de baseball doit remplacer la table autour de laquelle tout le monde s'assoit. Et le monde ira mieux comme ça.
Avant d'employer des termes comme "méthodes fascisantes" ou autres pour définir ce que je ressens en attendant quelques "étudiants" ou "syndicalistes" qui parlent à la télé avec raison et modération, j'écoute les bruits bizarres que me fais mon tolérancométre intérieur. "Trop énervé, tu vas dire des bétises, arrête là". OK, j'arêtte de parler de l'actualité...
Et puis une base toujours radicales, toujours j'en veux plus. Pourquoi faire ? On ne sait pas... Gardons la politique du coup de poing et de l'intimidation, plutot que de la négociation et de la discussion entre adulte. Continuons d'être idiot. Et adulte comme étudiant, même combat. La batte de baseball doit remplacer la table autour de laquelle tout le monde s'assoit. Et le monde ira mieux comme ça.
Avant d'employer des termes comme "méthodes fascisantes" ou autres pour définir ce que je ressens en attendant quelques "étudiants" ou "syndicalistes" qui parlent à la télé avec raison et modération, j'écoute les bruits bizarres que me fais mon tolérancométre intérieur. "Trop énervé, tu vas dire des bétises, arrête là". OK, j'arêtte de parler de l'actualité...
Je ne reléverai même pas le fait que sur ces négociations, c'est "l'Elysée" qui donne les directives et le la. Matignon ? C'est où ça ? Vite, un cachet pour faire baisser la tension...
Ce weekend, je monte chez ma belle famille. Cet aprésmidi, balade dans le Beaujolais. Le Domaine de Cruix, parents d'un de mes plus proches amis de promotion. Cadre magnifique, dans lequel j'ai pléthores de souvenirs d'étudiants. Autour de Lyon.
Est ce que ce soir je mangerai avec mes "amis" (guillemets) de promotion ? Je ne sais pas. Un coté de ma conscience me dit "ça sera super". L'autre, au taquet avec la somme de choses qui me gonfle en ce moment, m'invite à aller me coucher tot ce soir. Demain, "repas de famille", gardons des forces semblerait me dire mon horloge interne.
Et puis bon, tu ne sais pas être bien quand il y a beaucoup de monde autour de moi en ce moment me rappelle, sournoise, ma conscience en essayant de baisser un peu le niveau de soupir à l'intérieur de mon coeur et de mon crane. Si c'est pour aprés soupirer pendant une semaine pour pleins de raisons, est ce la peine de rester "entre amis" ?
Les souvenirs d'un Lyon où j'étais chez moi, où je me sentais chez moi, c'est du passé. Je mets en première photo une image de Fourvière. J'habitais dessous. Cette image m'évoque tellement de chose. Tout Lyon voyait ces tours, comme moi. Quand le train m'ammenait, pour le boulot de Paris à Avignon, je voyais cette basilique de loin. Je voyais ces tours. Je pensais à une personne qui le voyait peut être, mais bon... Soupir bis, ça repart, vite une douche et on part.
Où sont les chiens ? C'est gentil les chiens... Ca calme les chiens, pleins de gentillesses, gratuits, et ça ne demande rien d'autre en échange que de l'amour et de la gentillesse. Allez, allons voir Vanille, ça ira mieux aprés.