Décidément, la place est bonne... On peut être titulaire de biens faibles résultat, et principal fossoyeur de "l'esprit de 98'", on s'accroche quand même...
L'interview d'Escalettes dans l'Équipe du jour est affligeante, et typique du monarque en fin de règne aveugle devant la colère du peuple, s'accrochant à son siège comme l'enfant s'accroche aux basques de sa maman...
Cela a un côté pitoyable, tant d'indignité...
Dans cette interview, Escalettes tape sur tout le monde. Surtout Rama Yade et les politiques, qui ne font que constater l'étendue des dégats.
Et bien sur concernant Domench, le roitelet de la FFF sort un "on reste comme on est" qui traduit vraiment la maladie d'une direction de la FFF, qui refuse de voir la gravité de la maladie...
Le clou du spectacle est cette volonté de durer, envers et contre tout, surtout contre le bon sens et l'honneur. "J'irais jusqu'au bout de mon mandat. Il n'y a pas de raisons que j'arrete avant...". Il ajoute plus loin "...si j'ai le soutien de ceux qui m'ont élu..."
Il parait pourtant clair que "ceux qui l'ont élu" n'ont pas plus le soutien du peuple du football que celui, tout en haut, qui demeure aveugle et refuse de prendre ses responsabilités.
Plus que Raymond Domenech, c'est Escalettes et son conseil fédéral les responsables de la débacle. Ils faut qu'il parte.
Le 27 Mars, je souscrirai sans état d'ame à un "no Escalettes day". Pour sauver le football français...
En PS, le président de la fédération de football de Slovenie présente sa démission. Pourtant la Slovenie est qualifiée pour la Coupe du Monde... La France n'est pas la Slovenie, dommage...
(Pour continuer la discussion, les copains de blogs ont aussi disserté sur notre triste direction du Football Français. Hashtable se pose la question suivante : "si la France laissait sa place à la coupe du monde". Mathieu fait un chouette exercice de style en reprenant le No Domenech Day. Enfin Nemo propose une réflexion sur Football et Culture, loin d'être dépourvue d'intérêt...)
L'interview d'Escalettes dans l'Équipe du jour est affligeante, et typique du monarque en fin de règne aveugle devant la colère du peuple, s'accrochant à son siège comme l'enfant s'accroche aux basques de sa maman...
Cela a un côté pitoyable, tant d'indignité...
Dans cette interview, Escalettes tape sur tout le monde. Surtout Rama Yade et les politiques, qui ne font que constater l'étendue des dégats.
Et bien sur concernant Domench, le roitelet de la FFF sort un "on reste comme on est" qui traduit vraiment la maladie d'une direction de la FFF, qui refuse de voir la gravité de la maladie...
Le clou du spectacle est cette volonté de durer, envers et contre tout, surtout contre le bon sens et l'honneur. "J'irais jusqu'au bout de mon mandat. Il n'y a pas de raisons que j'arrete avant...". Il ajoute plus loin "...si j'ai le soutien de ceux qui m'ont élu..."
Il parait pourtant clair que "ceux qui l'ont élu" n'ont pas plus le soutien du peuple du football que celui, tout en haut, qui demeure aveugle et refuse de prendre ses responsabilités.
Plus que Raymond Domenech, c'est Escalettes et son conseil fédéral les responsables de la débacle. Ils faut qu'il parte.
Le 27 Mars, je souscrirai sans état d'ame à un "no Escalettes day". Pour sauver le football français...
En PS, le président de la fédération de football de Slovenie présente sa démission. Pourtant la Slovenie est qualifiée pour la Coupe du Monde... La France n'est pas la Slovenie, dommage...
(Pour continuer la discussion, les copains de blogs ont aussi disserté sur notre triste direction du Football Français. Hashtable se pose la question suivante : "si la France laissait sa place à la coupe du monde". Mathieu fait un chouette exercice de style en reprenant le No Domenech Day. Enfin Nemo propose une réflexion sur Football et Culture, loin d'être dépourvue d'intérêt...)