Il y aurait tellement de choses à dire ce matin… Lendemain de cantonales dans mon canton. Toujours fatigantes, les journées électorales. Passionnantes, mais épuisantes…
J’aurais, dimanche prochain, un duel entre le conseiller général sortant socialiste, et le Front National. Le Front National arrivé assez largement en tête dans mon canton.
Je vais de suite clore le suspens, je voterai sans aucun état d’âme pour le conseiller général sortant. Il avait été l’adversaire de mon ami lors des dernières cantonales, c’est un homme pour qui j’ai de la sympathie, quand bien même j’ai de la réserve sur son parcours et certaines de ses positions politiques. De plus, j’ai une sincère amitié pour sa suppléante. Mon vote est logique...
Et bien loin des considérations nationales. Mon vote est local, pour un homme que je connais. Et que j'aime bien.
Le reste, je le laisse volontiers aux éditorialistes politiques…
Il y aurait tellement de choses à dire ce matin… Comme parler de ma rencontre, vendredi soir, avec une des "stars" de mon blog… Une personne pour qui j’ai une affection toute relative… L’ancien porte parole UMP Frédéric Lefebvre, qui est venu dans mon village d’enfance soutenir le candidat de mon canton. Un copain, que j’aime beaucoup (j’avais de l’amitié pour les deux principaux candidats républicains), et dont l’élimination dès le premier tour me peine un peu. J’aime l’homme, et je sais qu’une défaite, une désillusion, ce n’est jamais marrant…
Enfin bon. Frédéric Lefebvre était chez moi. Dans cette salle des fêtes que j’avais inauguré avec mon école, lors d’une course à pied en relais, un Lyon – Montpellier qui reste dans mes souvenirs. Et Frédéric Lefebvre a presque fait du Frédéric Lefebvre.
Presque, parce que j’ai l’impression que lunettes et nouvelle coupe de cheveux le rendent moins agressif. Bon, le discours est toujours très à droite, signe que la présidentielle risque de voir bien des sorties de route. Et l’argumentaire reste celui de mon député : si Sarkozy a déçu et n’a pas tenu ses promesses, c’est la faute de la crise… La crise… Je garde pour ma part un souvenir très fort de l’EPAD, qui, me semble t’il, n’a rien à voir avec la crise. Et qui demeure le début de la fin pour le sarkozysme officiel…
Bref, il y aurait beaucoup à dire. Sur une cantonale qui évoque pleins de souvenirs pour moi. J’aime cette élection. Demain, elle opposera un candidat socialiste, que j’apprécie, et un front national, que je ne connais pas.
Le second tour, c’est dimanche prochain. Cela fera un an que mon ami, ancien candidat en 2004, ancien maire de mon village, est mort. J’aime les journées électorales. Celle d’hier s’est faite sans lui, ma première depuis que j’ai l’âge de voter… Celle de dimanche prochain sera vraiment très fatigante…
Sinon hier soir, Marseille a battu Paris Saint Germain. Peut être l’information de la journée pour moi…
J’aurais, dimanche prochain, un duel entre le conseiller général sortant socialiste, et le Front National. Le Front National arrivé assez largement en tête dans mon canton.
Je vais de suite clore le suspens, je voterai sans aucun état d’âme pour le conseiller général sortant. Il avait été l’adversaire de mon ami lors des dernières cantonales, c’est un homme pour qui j’ai de la sympathie, quand bien même j’ai de la réserve sur son parcours et certaines de ses positions politiques. De plus, j’ai une sincère amitié pour sa suppléante. Mon vote est logique...
Et bien loin des considérations nationales. Mon vote est local, pour un homme que je connais. Et que j'aime bien.
Le reste, je le laisse volontiers aux éditorialistes politiques…
Il y aurait tellement de choses à dire ce matin… Comme parler de ma rencontre, vendredi soir, avec une des "stars" de mon blog… Une personne pour qui j’ai une affection toute relative… L’ancien porte parole UMP Frédéric Lefebvre, qui est venu dans mon village d’enfance soutenir le candidat de mon canton. Un copain, que j’aime beaucoup (j’avais de l’amitié pour les deux principaux candidats républicains), et dont l’élimination dès le premier tour me peine un peu. J’aime l’homme, et je sais qu’une défaite, une désillusion, ce n’est jamais marrant…
Enfin bon. Frédéric Lefebvre était chez moi. Dans cette salle des fêtes que j’avais inauguré avec mon école, lors d’une course à pied en relais, un Lyon – Montpellier qui reste dans mes souvenirs. Et Frédéric Lefebvre a presque fait du Frédéric Lefebvre.
Presque, parce que j’ai l’impression que lunettes et nouvelle coupe de cheveux le rendent moins agressif. Bon, le discours est toujours très à droite, signe que la présidentielle risque de voir bien des sorties de route. Et l’argumentaire reste celui de mon député : si Sarkozy a déçu et n’a pas tenu ses promesses, c’est la faute de la crise… La crise… Je garde pour ma part un souvenir très fort de l’EPAD, qui, me semble t’il, n’a rien à voir avec la crise. Et qui demeure le début de la fin pour le sarkozysme officiel…
Bref, il y aurait beaucoup à dire. Sur une cantonale qui évoque pleins de souvenirs pour moi. J’aime cette élection. Demain, elle opposera un candidat socialiste, que j’apprécie, et un front national, que je ne connais pas.
Le second tour, c’est dimanche prochain. Cela fera un an que mon ami, ancien candidat en 2004, ancien maire de mon village, est mort. J’aime les journées électorales. Celle d’hier s’est faite sans lui, ma première depuis que j’ai l’âge de voter… Celle de dimanche prochain sera vraiment très fatigante…
Sinon hier soir, Marseille a battu Paris Saint Germain. Peut être l’information de la journée pour moi…