Je suis en ce moment, dans le TGV (qui s'arêtte d'ailleurs au milieu de rien), en train d'écouter le générique de fin du dessin animé Larme Ultime. Dessin animé que j'avais regardé en fin Novembre 2004, à une époque où il faisait trés froid. On rentre dans l'hiver... Et c'est un dessin animé 'd'époque'.
Pourquoi est ce que je parle aujourd'hui de ce dessin animé de 13 épisodes ? Pourquoi pas, c'est bien de parler aussi des dessins animés qui m'ont marqué. Celui là m'a marqué.
L'histoire est cucu au possible, au premier abord. Et le générique, parsemé de phrase en français, donne le ton. "Je t'aime", "je suis ta petite copine"... On y est en plein dedans. Ce dessin animé parle en premier lieu d'un amour de collège. Entre un garçon et une petite fille qui connait visiblement son premier amour. Elle a pleins de copines beaucoup plus "matures" qu'elle question garçon, mais elle semble tellement empruntée, et pourtant si mignone. C'est collégien, c'est mignon, ca parle du premier amour. Et en cette période, pour moi, de profonde nostalgie aigue (j'en ai souvent, mais là c'est du 100 à l'heure), peut être est ce pour ça que ce dessin animé ressort avec force.
Pourtant, derrière cet aspect cucu au possible, ce dessin animé est trés dur. Derrière le collège, c'est la guerre. Entre qui et qui, personne ne le sait. Et honnêtement, est ce important ? Et par le hasard d'un bombardement, un ami de classe va mourrir.
Quel est le role de cette petite fille ? Elle est "l'arme Ultime", une fille cybernétisée qui possède le pouvoir de faire basculer la guerre. Elle est l'ange de la mort. Et son petit copain s'en rend vite compte...
Derrière une merveilleuse histoire d'amour cucu au possible se trame donc la guerre, avec tout ce qui s'en suit. Des morts en pagaille, et un amour qui n'est pas si possible que ça. Puis je faire l'amour avec une machine ? Puis je l'aimer, mon petit copain, sachant que j'ai la mort entre mes mains ? Et pourtant, ils s'aiment...
Ce n'est pas le genre de dessin animé à regarder lorsque l'on a pas le moral. Car rien n'est gratuit dans cet animé. La guerre est montrée cruement, mais les sentiments sont vraiment là. Ce n'est pas du larmoyant simple, et c'est même trés délicat. Pourtant, le malaise, la tristesse, est là. Une fin adorable, l'épisode 9... Qui donne d'ailleurs le ton à la fin. "Si vous voulez une belle fin, ne regardez pas la suite".
Larme Ultime est un beau dessin animé. Avec de merveilleuses musiques, des génériques envoutant (qui montre que le français est peut être bien la langue de l'amour...), et pourtant qui peut rendre heureux ou triste selon l'épisode que l'on regarde. Et le tout merveillesement réalisé.
Le genre de dessin animé qui montre que l'animation japonaise propose parfois (et souvent) de superbes produits. et des choses qui marquent sincérement, et bellement. Comme SaintSeiya par exemple (mais est ce vraiment, pour moi, un simple dessin animé ?)
Pourquoi est ce que je parle aujourd'hui de ce dessin animé de 13 épisodes ? Pourquoi pas, c'est bien de parler aussi des dessins animés qui m'ont marqué. Celui là m'a marqué.
L'histoire est cucu au possible, au premier abord. Et le générique, parsemé de phrase en français, donne le ton. "Je t'aime", "je suis ta petite copine"... On y est en plein dedans. Ce dessin animé parle en premier lieu d'un amour de collège. Entre un garçon et une petite fille qui connait visiblement son premier amour. Elle a pleins de copines beaucoup plus "matures" qu'elle question garçon, mais elle semble tellement empruntée, et pourtant si mignone. C'est collégien, c'est mignon, ca parle du premier amour. Et en cette période, pour moi, de profonde nostalgie aigue (j'en ai souvent, mais là c'est du 100 à l'heure), peut être est ce pour ça que ce dessin animé ressort avec force.
Pourtant, derrière cet aspect cucu au possible, ce dessin animé est trés dur. Derrière le collège, c'est la guerre. Entre qui et qui, personne ne le sait. Et honnêtement, est ce important ? Et par le hasard d'un bombardement, un ami de classe va mourrir.
Quel est le role de cette petite fille ? Elle est "l'arme Ultime", une fille cybernétisée qui possède le pouvoir de faire basculer la guerre. Elle est l'ange de la mort. Et son petit copain s'en rend vite compte...
Derrière une merveilleuse histoire d'amour cucu au possible se trame donc la guerre, avec tout ce qui s'en suit. Des morts en pagaille, et un amour qui n'est pas si possible que ça. Puis je faire l'amour avec une machine ? Puis je l'aimer, mon petit copain, sachant que j'ai la mort entre mes mains ? Et pourtant, ils s'aiment...
Ce n'est pas le genre de dessin animé à regarder lorsque l'on a pas le moral. Car rien n'est gratuit dans cet animé. La guerre est montrée cruement, mais les sentiments sont vraiment là. Ce n'est pas du larmoyant simple, et c'est même trés délicat. Pourtant, le malaise, la tristesse, est là. Une fin adorable, l'épisode 9... Qui donne d'ailleurs le ton à la fin. "Si vous voulez une belle fin, ne regardez pas la suite".
Larme Ultime est un beau dessin animé. Avec de merveilleuses musiques, des génériques envoutant (qui montre que le français est peut être bien la langue de l'amour...), et pourtant qui peut rendre heureux ou triste selon l'épisode que l'on regarde. Et le tout merveillesement réalisé.
Le genre de dessin animé qui montre que l'animation japonaise propose parfois (et souvent) de superbes produits. et des choses qui marquent sincérement, et bellement. Comme SaintSeiya par exemple (mais est ce vraiment, pour moi, un simple dessin animé ?)
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