Le pire, c'est que j'ai pas eu de maux au coeur à quitter cet environnement. Société dont le siege est à Marseille, qui m'aura permise d'aller là où j'irai à partir du 15 Janvier. Je pars sans haines, sans colère, sans rien. Je garde néanmoins en mémoire que le monde professionnel est parfois injuste, que certaines personnes qui ont leurs noms sur les places de parking réservées doivent avoir du mal à se regarder dans une glace. Je garde en mémoire que cette société n'est pas un modèle de politique sociale d'entreprise. Je garde enfin en mémoire qu'il existe d'authentiques enculés qui le paieront un jour ou l'autre.
Ce soir, je garde en mémoire ces quelques personnes qui m'ont témoigné une amitié qui m'a vraiment touché. Il y a des cons, mais ils sont quantité négligeable en face des personnes chouettes que j'ai rencontré. C'est d'elle que je garde le souvenir.
Maintenant, me reste ces souvenirs à Marseille. Avec vue sur les montagnes de Luminy. Il me reste ces soirs où j'allais voir mon amie des Bons enfants et, même pendant des moments vraiment durs, avait toujours cette porte ouverte et cette bouteille de whisky toujours pleine. Il me reste ces balades à Nogent/Seine, à Bordeaux, à Gravelines ou à Dieppes.
Mais maintenant, le plus important est le futur, il semble beau, ce futur. L'horizon s'ouvre à moi. Il ne me reste plus qu'à prendre la mer. Et à faire de 2007 une grande année.
bonne route - et pardon
RépondreSupprimeret il repartit vers de nouvelles aventures...
RépondreSupprimeren italien on dit "auguri"
De tout coeur avec toi dans cette nouvelle vie, amigo
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