Presque un an que mon modeste blog est en ligne. Presqu'un an, et prés de 150 messages, pas tous d'une pertinence exceptionnelle ou d'un interet indiscutable. Pourtant, ce blog, je l'aime bien. Il est lu pas les gens qui le lisent, ils ne sont pas nomnbreux, et alors ? Je prends plaisir à le remplir, et je suis heureux que les gens que j'aime, peu nombreux mais qui j'aime sincérement, le lisent. Cela me suffit.
C'est grace (ou à cause) d'une amie que ce blog à vu le jour. Cette idée, ce concept, de "site INternet light", réactif, et trés personnel finalement, m'a séduit. J'ai tenté de voir comme elle faisait, et j'ai été séduit pas la facilité de réalisation d'un "blog".
Au début, mon intention n'était pas facilement dissimulable. Faire passer des messages à des personnes, ou à une, qui s'était éloignée. J'ai tendance à penser que ce blog, que nos blogs, ont permis de réduire une trop longue distance. Rien que pour ça, je suis heureux d'avoir ouvert ce blog.
Ensuite, il est arrivé ce référendum européen. Le passionné de politique je suis a pris du plaisir a suivre la campagne (sans y participer), et à donner ses modestes et parfois insignifiantes impressions sur ce blog. J'ai écris quelques articles qui m'ont plu et qui ont plu à mes proches. Mon préféré étant sans doute l'article "mon referendum", où je raconte ma journée du 29 Mai... J'en suis fier de cet article, peut être le meilleur que j'ai écris en un an.
A coté de ça, des articles plus personnels. Certains qui ont mal été compris. D'autres qui m'ont permis de renouer des liens distendus, voire rompus. Je n'en ai effacé qu'un, parce que le temps était passé. Je n'en ai, pour ainsi dire, regretter aucun. Parce que j'ai la conscience que ce blog n'a pas grand retentissement, hors mes proches. Cela me suffit. Je me souviens du blog de David Fernandez que j'ai ouvert avec lui, traitant sur l'OM de son "papa" d'entraineur. Un article nous a valu les foudres du journal l'Equipe, et a mené à la fermeture provisoire du blog... Je ne pense pas que mon Mont du Faucon subira les mêmes sorts... (à moins qu'Elizabeth Guigou ou les Maires de Roquemaure et Laudun ne le lise, ce dont je doute...).
Finalement, peut être ce blog est il à mon image... Des sujets parfois "sérieux", parfois dérisoires. Des états d'ame souvent ridicules et futiles. Des coups de colères et des coups de coeur. Et une envie finalement d'être aimé par les gens que j'aime. Ce blog, c'est moi. Avec les quelques espoirs qui me restent, et mes nombreuses désillusions. Parler de moi, parler de ce que j'aime, de ceux que j'aime aussi. Parler de Lyon, de Marseille, de mon village. Parler enfin de ce travail et de la condition d'ingénieur, merveilleuse et aliénante quand l'entreprise prend le pas sur la santée, comme ce fut le cas en Octobre.
C'est grace (ou à cause) d'une amie que ce blog à vu le jour. Cette idée, ce concept, de "site INternet light", réactif, et trés personnel finalement, m'a séduit. J'ai tenté de voir comme elle faisait, et j'ai été séduit pas la facilité de réalisation d'un "blog".
Au début, mon intention n'était pas facilement dissimulable. Faire passer des messages à des personnes, ou à une, qui s'était éloignée. J'ai tendance à penser que ce blog, que nos blogs, ont permis de réduire une trop longue distance. Rien que pour ça, je suis heureux d'avoir ouvert ce blog.
Ensuite, il est arrivé ce référendum européen. Le passionné de politique je suis a pris du plaisir a suivre la campagne (sans y participer), et à donner ses modestes et parfois insignifiantes impressions sur ce blog. J'ai écris quelques articles qui m'ont plu et qui ont plu à mes proches. Mon préféré étant sans doute l'article "mon referendum", où je raconte ma journée du 29 Mai... J'en suis fier de cet article, peut être le meilleur que j'ai écris en un an.
A coté de ça, des articles plus personnels. Certains qui ont mal été compris. D'autres qui m'ont permis de renouer des liens distendus, voire rompus. Je n'en ai effacé qu'un, parce que le temps était passé. Je n'en ai, pour ainsi dire, regretter aucun. Parce que j'ai la conscience que ce blog n'a pas grand retentissement, hors mes proches. Cela me suffit. Je me souviens du blog de David Fernandez que j'ai ouvert avec lui, traitant sur l'OM de son "papa" d'entraineur. Un article nous a valu les foudres du journal l'Equipe, et a mené à la fermeture provisoire du blog... Je ne pense pas que mon Mont du Faucon subira les mêmes sorts... (à moins qu'Elizabeth Guigou ou les Maires de Roquemaure et Laudun ne le lise, ce dont je doute...).
Finalement, peut être ce blog est il à mon image... Des sujets parfois "sérieux", parfois dérisoires. Des états d'ame souvent ridicules et futiles. Des coups de colères et des coups de coeur. Et une envie finalement d'être aimé par les gens que j'aime. Ce blog, c'est moi. Avec les quelques espoirs qui me restent, et mes nombreuses désillusions. Parler de moi, parler de ce que j'aime, de ceux que j'aime aussi. Parler de Lyon, de Marseille, de mon village. Parler enfin de ce travail et de la condition d'ingénieur, merveilleuse et aliénante quand l'entreprise prend le pas sur la santée, comme ce fut le cas en Octobre.
Pour illustrer ce message, j'aurais pu mettre des images de SaintSeiya, mais j'en ai déjà mis pas mal. Non, j'ai préféré trois photos prises, de villes qui me sont chères. Mon village gardois pour commencer, dans lequel je n'habite plus depuis maintenant trois mois. Ensuite, Lyon, ma ville. Des souvenirs comme s'il en pleuvait, de 5 années de grandes joies, de profondes angoisses, et de réelles peines. Et puis les souvenirs aprés ces 5 ans. Ballade une journée de Fevrier dans les rues de Fourviere à la Tête d'Or, ou soirée à boire quelques bieres dans les pubs du Centre. Enfin, Avignon. Capitale de la Provence des Papes. Capitale des Côtes du Rhône. Je suis Provencal, Gardois. Et je ne renie pas ces racines et cette réalité.
Je l'aime bien ce blog. Je vais essayer de le continuer...