Pas de cauchemars cette nuit... Du moins pas que je me souvienne. Pas une nuit plus reposante, mais avec moins de questionnements au levée du jour. Mais cette même lassitude réelle, grognements sourds, au réveil. La douche est chaude, le shampoing sent bon, la tartine chocolatée est préparée avec un amour qui donnerait du courage à tous les chevaliers du zodiaque de la planète. Mais non. Le vent reste froid quand on ouvre la porte de sa maison.
Un simple billet pour ne pas dire plus au final. Poster une photo de chien qui va assez bien avec mon moral, ma forme, mon envie actuelle. Filou (c'est le nom du chien) est las. Il dormait dans son panier quand on est arrivé dans sa maison de weekend avec ses Maitres, il a supporté mes prises de photos gentiment taquines, mais pas la grande forme Filou. Un peu comme moi.
Oh, j'essais de donner le change, et de 'paraitre'. Le propre du chien est qu'il n'a pas forcément besoin de paraitre... Il a envie de se vautrer dans son panier ou de s'avachir, oeil triste, sur le carrelage, il en a le droit. Et il le prend.
En ce moment en plus où je sens que le vent n'est pas la seule source de fraicheur sur mon moral, mettre un chien à la une me refait penser qu'il faut vite que nous en prenions un à la maison...
J'ai l'impression d'avoir plus que jamais besoin de cet amour gratuit et sans arrière pensée que peut donner le chien. De cette fidélité, de cette sincérité, de cette affection, qui fait que j'adore ces boules de poil bourrées d'amour vrai. Je suis un bisounours peut être... Un bisounours à qui il manque la présence, en ce moment, de gens qui lui sont précieux. Je n'aime pas que les chiens... Bisounours peut être, mais je n'ai pas envie de me battre, en ce moment, pour être un tueur, soit dans le virtuel par des passes d'arme agressives sur blogs ou forum, soit dans ma vie.
Où je dois bêtement accepter mes limites, plus proches que j'espérais, et ma situation. Professionnelle, et personnelle aussi. J'essaierai de retrouver la force d'aller de l'avant un peu plus tard, promis.
Ce soir, spectacle comique d'un humoriste soutien de Nicolas Sarkozy en 2007 qui se gratte souvent les couilles sur scène. Je ne dis pas son nom. Je ne passerai pas aux Bons Enfants ce soir, je ne serai sur Marseille que pour la durée du spectacle, et de mon cadeau d'anniversaire. Mais tu auras une pensée amicale et affectueuse de la part de ce pauvre Faucon qui bloggue des cauchemars et des chiens.
Promis, demain je parle de la sécurité sociale et des franchises médicales !
Un simple billet pour ne pas dire plus au final. Poster une photo de chien qui va assez bien avec mon moral, ma forme, mon envie actuelle. Filou (c'est le nom du chien) est las. Il dormait dans son panier quand on est arrivé dans sa maison de weekend avec ses Maitres, il a supporté mes prises de photos gentiment taquines, mais pas la grande forme Filou. Un peu comme moi.
Oh, j'essais de donner le change, et de 'paraitre'. Le propre du chien est qu'il n'a pas forcément besoin de paraitre... Il a envie de se vautrer dans son panier ou de s'avachir, oeil triste, sur le carrelage, il en a le droit. Et il le prend.
En ce moment en plus où je sens que le vent n'est pas la seule source de fraicheur sur mon moral, mettre un chien à la une me refait penser qu'il faut vite que nous en prenions un à la maison...
J'ai l'impression d'avoir plus que jamais besoin de cet amour gratuit et sans arrière pensée que peut donner le chien. De cette fidélité, de cette sincérité, de cette affection, qui fait que j'adore ces boules de poil bourrées d'amour vrai. Je suis un bisounours peut être... Un bisounours à qui il manque la présence, en ce moment, de gens qui lui sont précieux. Je n'aime pas que les chiens... Bisounours peut être, mais je n'ai pas envie de me battre, en ce moment, pour être un tueur, soit dans le virtuel par des passes d'arme agressives sur blogs ou forum, soit dans ma vie.
Où je dois bêtement accepter mes limites, plus proches que j'espérais, et ma situation. Professionnelle, et personnelle aussi. J'essaierai de retrouver la force d'aller de l'avant un peu plus tard, promis.
Ce soir, spectacle comique d'un humoriste soutien de Nicolas Sarkozy en 2007 qui se gratte souvent les couilles sur scène. Je ne dis pas son nom. Je ne passerai pas aux Bons Enfants ce soir, je ne serai sur Marseille que pour la durée du spectacle, et de mon cadeau d'anniversaire. Mais tu auras une pensée amicale et affectueuse de la part de ce pauvre Faucon qui bloggue des cauchemars et des chiens.
Promis, demain je parle de la sécurité sociale et des franchises médicales !