Un pays, le Kenya, a été meurtri dans sa chair : 148 personnes, dont 142 étudiants, ont été assassinées en quelques heures par un commando djihadiste, jeudi, à Garissa, dans la province nord-est du pays. Comment blesser davantage le Kenya dans ses fibres les plus profondes, comment le toucher plus au cœur qu’en s’en prenant à ses enfants ?
L’université de Garissa a été visée pour ces raisons. Tout a été conçu pour susciter, dans un second temps, l’effroi, la peine et la colère : des étudiants surpris dans leur sommeil, chassés impitoyablement, triés en fonction de leur religion avant d’être abattus (les chrétiens) ou épargnés (les musulmans ou ceux en mesure de réciter une sourate du Coran), le tout assorti de propos provocateurs dont les assaillants se doutaient bien qu’ils seraient rapportés par les survivants, souhaitant notamment aux étudiants « de bonnes vacances de Pâques », comme le transmet l’Agence France-Presse, avant de décider qui achever, qui laisser vivre.
L'article du Monde montre l'inhumanité de ces gens. Sont ils encore humain ? C'est vraiment un Dieu qu'ils prétendent servir et défendre ?
Difficile d'avoir foi en l'être humain quand certains "trient" en fonction de la religion, pour décider de qui peut vivre ou non. "Bonnes vacances de Pâques"... C'est abject.
Ce génocide chrétien perpétré par des islamistes est effrayant. Hier, des chrétiens étaient égorgés sur des plages de l'autre coté de la Méditerranée, par des connards qui pointaient le doigt en direction de Rome. Aujourd'hui, des enfants, des étudiants.
Et pendant ce temps, chez nous, on se bat pour savoir si on peut mettre une affiche avec marqué "chrétien" dans les couloirs du métro à Paris... Ça doit bien faire rire ces salopards qui massacrent opposants et chrétiens au nom de leur Islam, nos délires...
Inquiet pour la suite. Écœuré aussi.
Ouais.
RépondreSupprimerOuais, retour au moyen-age.
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