jeudi 22 juillet 2010
mercredi 21 juillet 2010
Gros coup de barre...
Je ne sais pas si c'est la chaleur, ou l'accumulation d'évènement qui touchent profondément et personnellement... Mais ce matin, c'est très dur. Très dur de se lever. Très dur d'allumer son ordinateur. Très dur de boire son thé du matin en ne pensant à rien...
Aujourd'hui, j'ai un gros coup de barre...
Je me demande souvent quand est ce que je vais payer physiquement une année pour l'instant très difficile. Une cheville brisée par de la glace, une opération délicate pour le grand-père, suivie de la disparition d'un ami très proche. Depuis, le printemps est arrivé, et on pourrait que les choses vont mieux...
Mais non. Le grand-père va toujours très mal, et me montre tous les jours que nous ne sommes décidément qu'éphémère, en attente perpétuelle de cette mauvaise nouvelle qui touche tellement de gens tous les jours, la disparition de quelqu'un qu'on aime...
Savoir notre mortalité devrait, je l'ai toujours pensé, nous éviter la petitesse et la médiocrité dans nos relations. Mais non... J'ai tous les jours, en ce moment, l'impression de toucher le fond de ce point de vue là. Tristesse de voir que les évènements passés ne changent pas les personnes. Tristesse, profondément conne je l'assume, de voir que notre mortalité connue et irrémédiable ne rend pas nos relations avec les autres plus saines, plus pures... D'une certaine manière plus simple...
Je ne parle pas uniquement de cette fille qui hante, encore, certains moments où je suis plus triste ou mélancolique ou faible, ou les trois à la fois. Cette personne qui me ramène dans mon enfer à moi, vers l'endroit où Orphée allait chercher une bien aimée au nom qui m'évoque toujours beaucoup de choses...
Sauf que je n'ai pas de lyre avec moi (je ne saurai pas en jouer), je n'ai pas d'Eurydice à essayer d'aller retrouver en enfer... Et mes soupirs vont bien au delà de cet épisode, aujourd'hui vieux de plus de 8 ans...
Pourtant, le soupir reste le même. Pourquoi certaines de nos relations sont aussi difficiles, voire malsaines, alors que normalement... Normalement.
Les quelques images de Prevelli, en Crète, sont là pour me rappeler quelques instants de repos, il y a deux mois maintenant. On était bien. J'avais la tête occupé par bien des débats internes à ma pauvre cervelle, mais j'espérais au retour de cet ile, je trouverai un été positif. M'amenant des chantiers personnels excitants et motivants.
Je constate que des ruines, je n'en ai pas laissé uniquement à Lato ou à Cnossos...
Je constate aussi, et surtout, mon incapacité à changer des choses. Mais que puis je faire ? Je ne sais pas faire revenir ceux qui ont disparu, et je crois que je ne suis pas le seul à avoir ce manque de talent là... J'aimerais guérir les gens que j'aime, faire rajeunir ceux qui sont importants pour moi et qui ont cet age avancé qui irrite certains (ben oui, il parait que les vieux votent à droite...). J'aimerais que les gens que j'apprécie arrivent à se supporter et à passer outre des rancœurs personnelles tellement insignifiantes au regard d'évènement tellement plus dramatiques...
Et puis tant que j'y suis, j'aimerais bien aussi éradiquer la faim dans le monde. Faire que la France soit un pays où il fait bon vivre, sans cet insupportable climat de violence, sans délinquants ni crétins qui tirent sur des gendarmes ou tabassent des passants, sans déficit abyssaux et écarts de richesse qui font mal au ventre. J'aimerais que vivre dans un monde où le bonheur serait loi, où les soldats seraient troubadours. Où l'anarchie serait comme une fleur qui pousserait dans les rues de... Euh, je m'emballe là.
Mais oui, j'aimerais être meilleurs que je ne le suis vraiment.
En tous cas moins con, mais là y a du boulot...
Pendant que je soupire sur moi, je ne parle pas du reste. Je ne parle pas de Woerth, mais de toutes manières une certaine gauche a décidé qu'il était forcément coupable. Si par hasard la justice le dédouane et le juge coupable de rien, cette même gauche criera à la partialité de la justice. De toutes manières, la "présomption de l'innocence", le "respect de la personne", etc, etc, ce n'est pas valable pour les personnes "du camp d'en face".
Cela m'afflige, cela m'insupporte, cela contribue à me dégouter profondément de ce monde politique et militant. Je dis ça aujourd'hui, je disais ça hier pour Dray quand une certaine droite se déchainait contre cet homme qui représentait certains points (pas forcément mes préférés) des années Mitterrand.
J'avais posé chez mon copain Meclalex la question suivante : que diront les militants de gauche qui charcutent Eric Woerth à longueur de blog, quand une personne de leur camp sera également mise en cause ? Seront ils silencieux, comme ils l'ont été certains de responsable ont été condamné par la justice ces derniers temps (il y en a, qui ont même été réélu quelques mois plus tard) ? Appellerons t'il au respect de la personne et de la présomption de l'innocence, ce qu'ils ne font pas vis à vis d'autres personnes de droite, donc fatalement coupable ?
En tous cas, cette cabale menée contre un homme dont j'ai envie de combattre la politique (probablement je ferai grève le 7 Septembre, je ne sais pas mais sans doute...) ne me donne nullement envie d'apporter, en 2012, mes suffrages à cette gauche. Que je trouve au moins aussi sectaire que la droite actuelle au pouvoir, et autant peu objective.
Je n'aime pas cette histoire Woerth. Mais je n'aime rien de cette histoire Woerth. Parce qu'elle montre une droite UMP malade de ces ramifications avec l'argent et le pouvoir financier, ce qui validerait presque les thèses d'une politique qui massacre la classe moyenne pour épargner au maximum ses "amis". Je ne reparle pas de la défense de Bertrand ou de Lefebvre, qui devraient être virés par les militants s'ils espèrent sauver quelque chose pour 2012...
Mais aussi parce qu'elle montre une gauche qui ne me plait pas. Sectaire, injuste, sélective dans ces indignations. Qui donne des leçons aux autres, en refusant de se les appliquer.
Aujourd'hui, je parle encore de politique, alors que cela me dégoute et m'écœure au plus haut point. J'avais dit que j'étais plutôt satisfait de ne pas être considéré comme un "blog politique", aujourd'hui j'en suis ravi...
Pourtant, je vois un peu les limites de mes propres limites... Je dis que je ne veux pas être un blog politique, je ressens en moi le besoin de rester très loin de cette politique qui aujourd'hui me donne mal au ventre... Et pourtant, je parle politique.
Elle me rend malade en ce moment (nationalement, localement), et pourtant j'en parle... Comme cet alcool qui vous a fait vomir toute la nuit, et que vous ne pouvez vous empêcher de boire le matin suivant... C'est une drogue, malsaine pour moi aujourd'hui...
Pourtant, tout est politique... La réforme des retraites. On peut la politiser, les gentils gens de gauche forcément moral tout plein, contre ces méchants laids de droite qui veulent fracasser le bon peuple qui travaille...
Pour ma part, j'en reste à ce constat basique. 85% de la réforme des retraite sera financée par la classe moyenne qui travaille. Et cela me suffirait presque pour suivre les préconisations de mon syndicat, en vue du 7 Septembre...
Et d'une manière générale, il y a ce sentiment bizarre. En France, et dans le monde entier, on se rend compte que c'est la classe moyenne qui supporte les "réformes" entreprises pour lutter contre la crise de 2008. Y compris dans cette Espagne du forcément brillant Zapatero qui a tellement été pris en exemple par Zapatera et tous nos socialistes français.
La classe moyenne paye à cause de la crise. Cela voudrait il dire que pour le monde, c'est la classe moyenne qui est responsable de la crise ?
Ce billet est allé n'importe où... Pourtant, cela m'a presque fait du bien de l'écrire... Des fois, l'écriture, c'est mieux que des antidépresseurs...
Je ne sais pas comment va se finir cet été. Pour être franc, je suis extrêmement pessimiste. J'espérais que le 14 Juillet de cette année marquait la fin d'un cycle douloureux pour moi. Comme j'espérais que le printemps de cette année marque le début de la belle période : il a commencé par ce décès qui continue à me faire du mal.
Alors je suis assez peu optimiste...
Enfin, on va essayer quand même de profiter du soleil, du rosé le soir. Et du reste... Tant qu'il y a de la vie, il faut en profiter.
Aujourd'hui, j'ai un gros coup de barre...
Je me demande souvent quand est ce que je vais payer physiquement une année pour l'instant très difficile. Une cheville brisée par de la glace, une opération délicate pour le grand-père, suivie de la disparition d'un ami très proche. Depuis, le printemps est arrivé, et on pourrait que les choses vont mieux...
Mais non. Le grand-père va toujours très mal, et me montre tous les jours que nous ne sommes décidément qu'éphémère, en attente perpétuelle de cette mauvaise nouvelle qui touche tellement de gens tous les jours, la disparition de quelqu'un qu'on aime...
Savoir notre mortalité devrait, je l'ai toujours pensé, nous éviter la petitesse et la médiocrité dans nos relations. Mais non... J'ai tous les jours, en ce moment, l'impression de toucher le fond de ce point de vue là. Tristesse de voir que les évènements passés ne changent pas les personnes. Tristesse, profondément conne je l'assume, de voir que notre mortalité connue et irrémédiable ne rend pas nos relations avec les autres plus saines, plus pures... D'une certaine manière plus simple...
Je ne parle pas uniquement de cette fille qui hante, encore, certains moments où je suis plus triste ou mélancolique ou faible, ou les trois à la fois. Cette personne qui me ramène dans mon enfer à moi, vers l'endroit où Orphée allait chercher une bien aimée au nom qui m'évoque toujours beaucoup de choses...
Sauf que je n'ai pas de lyre avec moi (je ne saurai pas en jouer), je n'ai pas d'Eurydice à essayer d'aller retrouver en enfer... Et mes soupirs vont bien au delà de cet épisode, aujourd'hui vieux de plus de 8 ans...
Pourtant, le soupir reste le même. Pourquoi certaines de nos relations sont aussi difficiles, voire malsaines, alors que normalement... Normalement.
Les quelques images de Prevelli, en Crète, sont là pour me rappeler quelques instants de repos, il y a deux mois maintenant. On était bien. J'avais la tête occupé par bien des débats internes à ma pauvre cervelle, mais j'espérais au retour de cet ile, je trouverai un été positif. M'amenant des chantiers personnels excitants et motivants.
Je constate que des ruines, je n'en ai pas laissé uniquement à Lato ou à Cnossos...
Je constate aussi, et surtout, mon incapacité à changer des choses. Mais que puis je faire ? Je ne sais pas faire revenir ceux qui ont disparu, et je crois que je ne suis pas le seul à avoir ce manque de talent là... J'aimerais guérir les gens que j'aime, faire rajeunir ceux qui sont importants pour moi et qui ont cet age avancé qui irrite certains (ben oui, il parait que les vieux votent à droite...). J'aimerais que les gens que j'apprécie arrivent à se supporter et à passer outre des rancœurs personnelles tellement insignifiantes au regard d'évènement tellement plus dramatiques...
Et puis tant que j'y suis, j'aimerais bien aussi éradiquer la faim dans le monde. Faire que la France soit un pays où il fait bon vivre, sans cet insupportable climat de violence, sans délinquants ni crétins qui tirent sur des gendarmes ou tabassent des passants, sans déficit abyssaux et écarts de richesse qui font mal au ventre. J'aimerais que vivre dans un monde où le bonheur serait loi, où les soldats seraient troubadours. Où l'anarchie serait comme une fleur qui pousserait dans les rues de... Euh, je m'emballe là.
Mais oui, j'aimerais être meilleurs que je ne le suis vraiment.
En tous cas moins con, mais là y a du boulot...
Pendant que je soupire sur moi, je ne parle pas du reste. Je ne parle pas de Woerth, mais de toutes manières une certaine gauche a décidé qu'il était forcément coupable. Si par hasard la justice le dédouane et le juge coupable de rien, cette même gauche criera à la partialité de la justice. De toutes manières, la "présomption de l'innocence", le "respect de la personne", etc, etc, ce n'est pas valable pour les personnes "du camp d'en face".
Cela m'afflige, cela m'insupporte, cela contribue à me dégouter profondément de ce monde politique et militant. Je dis ça aujourd'hui, je disais ça hier pour Dray quand une certaine droite se déchainait contre cet homme qui représentait certains points (pas forcément mes préférés) des années Mitterrand.
J'avais posé chez mon copain Meclalex la question suivante : que diront les militants de gauche qui charcutent Eric Woerth à longueur de blog, quand une personne de leur camp sera également mise en cause ? Seront ils silencieux, comme ils l'ont été certains de responsable ont été condamné par la justice ces derniers temps (il y en a, qui ont même été réélu quelques mois plus tard) ? Appellerons t'il au respect de la personne et de la présomption de l'innocence, ce qu'ils ne font pas vis à vis d'autres personnes de droite, donc fatalement coupable ?
En tous cas, cette cabale menée contre un homme dont j'ai envie de combattre la politique (probablement je ferai grève le 7 Septembre, je ne sais pas mais sans doute...) ne me donne nullement envie d'apporter, en 2012, mes suffrages à cette gauche. Que je trouve au moins aussi sectaire que la droite actuelle au pouvoir, et autant peu objective.
Je n'aime pas cette histoire Woerth. Mais je n'aime rien de cette histoire Woerth. Parce qu'elle montre une droite UMP malade de ces ramifications avec l'argent et le pouvoir financier, ce qui validerait presque les thèses d'une politique qui massacre la classe moyenne pour épargner au maximum ses "amis". Je ne reparle pas de la défense de Bertrand ou de Lefebvre, qui devraient être virés par les militants s'ils espèrent sauver quelque chose pour 2012...
Mais aussi parce qu'elle montre une gauche qui ne me plait pas. Sectaire, injuste, sélective dans ces indignations. Qui donne des leçons aux autres, en refusant de se les appliquer.
Aujourd'hui, je parle encore de politique, alors que cela me dégoute et m'écœure au plus haut point. J'avais dit que j'étais plutôt satisfait de ne pas être considéré comme un "blog politique", aujourd'hui j'en suis ravi...
Pourtant, je vois un peu les limites de mes propres limites... Je dis que je ne veux pas être un blog politique, je ressens en moi le besoin de rester très loin de cette politique qui aujourd'hui me donne mal au ventre... Et pourtant, je parle politique.
Elle me rend malade en ce moment (nationalement, localement), et pourtant j'en parle... Comme cet alcool qui vous a fait vomir toute la nuit, et que vous ne pouvez vous empêcher de boire le matin suivant... C'est une drogue, malsaine pour moi aujourd'hui...
Pourtant, tout est politique... La réforme des retraites. On peut la politiser, les gentils gens de gauche forcément moral tout plein, contre ces méchants laids de droite qui veulent fracasser le bon peuple qui travaille...
Pour ma part, j'en reste à ce constat basique. 85% de la réforme des retraite sera financée par la classe moyenne qui travaille. Et cela me suffirait presque pour suivre les préconisations de mon syndicat, en vue du 7 Septembre...
Et d'une manière générale, il y a ce sentiment bizarre. En France, et dans le monde entier, on se rend compte que c'est la classe moyenne qui supporte les "réformes" entreprises pour lutter contre la crise de 2008. Y compris dans cette Espagne du forcément brillant Zapatero qui a tellement été pris en exemple par Zapatera et tous nos socialistes français.
La classe moyenne paye à cause de la crise. Cela voudrait il dire que pour le monde, c'est la classe moyenne qui est responsable de la crise ?
Ce billet est allé n'importe où... Pourtant, cela m'a presque fait du bien de l'écrire... Des fois, l'écriture, c'est mieux que des antidépresseurs...
Je ne sais pas comment va se finir cet été. Pour être franc, je suis extrêmement pessimiste. J'espérais que le 14 Juillet de cette année marquait la fin d'un cycle douloureux pour moi. Comme j'espérais que le printemps de cette année marque le début de la belle période : il a commencé par ce décès qui continue à me faire du mal.
Alors je suis assez peu optimiste...
Enfin, on va essayer quand même de profiter du soleil, du rosé le soir. Et du reste... Tant qu'il y a de la vie, il faut en profiter.
Après, on peut déjà beaucoup moins...
mardi 20 juillet 2010
Brice Hortefeux se moque de nous...
Une vidéo trouvée sur le Post où le ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a cette formule lapidaire et définitive : "Nous enregistrons des résultats spectaculaires dans la lutte contre la délinquance !".
Spectaculaire en effet. Grenoble, Saint Aignan, Sérignan, et tous les petits villages dont on ne parle pas, et où l'ambiance est insupportable, le prouvent tout le jours. Et l'élu local, citoyen, que je suis, confirme. Les résultats de la politique de Nicolas Sarkozy en matière de sécurité est spectaculaire de nullité et d'inefficacité.
Je suis de ceux qui pensent que la politique contre la délinquance menée en France est tout sauf répressive et "ultra-sécuritaire", comme on l'entend ci et là. Et je pense également qu'aspirer à la sécurité, c'est quelque chose de très légitime.
Des fois, la politique de communication devrait laisser la place au travail, et au moins à la décence d'arrêter de prendre les gens pour des cons...
Je suis de ceux qui pensent que la politique contre la délinquance menée en France est tout sauf répressive et "ultra-sécuritaire", comme on l'entend ci et là. Et je pense également qu'aspirer à la sécurité, c'est quelque chose de très légitime.
Des fois, la politique de communication devrait laisser la place au travail, et au moins à la décence d'arrêter de prendre les gens pour des cons...
lundi 19 juillet 2010
Mercato : Paul le Poulpe transféré en Russie ?
Le mercato en football est d'un calme aussi plat que ne l'est ma journée et ma forme. Par contre, le milieu bruisse ci et là de bruits de transfert possibles et intéressants.
Une des stars de ce mercato est l'incroyable Paul le Poulpe. Son club, le Sea Life Aquarium d'Oberhausen, a déjà refusé une offre du zoo de Madrid. Voilà qu'aujourd'hui nous apprenons qu'un site de pari en ligne russe a proposé 100 000 euros pour recruter Paul le Poulpe. Nous attendons la réponse de son club...
En attendant, Paul le Poulpe est déjà présent sur iPhone. Quant à moi, je recruterai bien un de ses cousins à Paul, pour le déguster dans mon assiette : la daube de poulpe au vin rouge, c'est remarquable !
Une des stars de ce mercato est l'incroyable Paul le Poulpe. Son club, le Sea Life Aquarium d'Oberhausen, a déjà refusé une offre du zoo de Madrid. Voilà qu'aujourd'hui nous apprenons qu'un site de pari en ligne russe a proposé 100 000 euros pour recruter Paul le Poulpe. Nous attendons la réponse de son club...
En attendant, Paul le Poulpe est déjà présent sur iPhone. Quant à moi, je recruterai bien un de ses cousins à Paul, pour le déguster dans mon assiette : la daube de poulpe au vin rouge, c'est remarquable !
dimanche 18 juillet 2010
Chère Ingrid Betancourt...
J'apprends chez l'amie Mirabelle que l'Etat français aurait proposé 450 000 euros de dédommagement à Ingrid Betancourt. Au nom de quoi ? Ben au nom de son emprisonnement pardi ! Il existe un Fonds de garantie des victimes,, et cette France qui a du cœur s'est empressé de proposer un dédommagement à Mme Betancourt, Ingrid cette fois.
Nous rappellerons qu'Ingrid Betancourt, qui a eu son portrait placardée en pleins de mairie et autres endroits en France, et qui a vu pléthores de 'chanteurs au grand coeur' chanter pour elle et pour sa libération, avait envisagé d'intenter une action judiciaire contre son pays, la Colombie. Pour lui réclamer du fric, au nom d'un préjudice réel.
Et cette France belle et immense, celle du cœur et des droits de l'homme, de venir proposer, alors qu'on ne lui a rien demandé, 450 k€... On croit rêver...
Je laisse le mot de la fin à Mirabelle. Dont je partage la colère. " je poserai alors une question très stupide : et les chômeurs longue durée ? et les handicapés ??? ils ont droit à quoi, eux ??? pour être empêchés de bosser et vivre convenablement, on leur octroie des sommes ridiculement misérables qui ne leur permettent même pas de faire face aux frais de la vie courante ... C'est comme les retraites cette histoire ... qui va se serrer la ceinture ??? les petits revenus ! "
J'y ajoute un autre sentiment. L'accablement, de voir que je vis dans un pays qui marche sur la tête...
Nous rappellerons qu'Ingrid Betancourt, qui a eu son portrait placardée en pleins de mairie et autres endroits en France, et qui a vu pléthores de 'chanteurs au grand coeur' chanter pour elle et pour sa libération, avait envisagé d'intenter une action judiciaire contre son pays, la Colombie. Pour lui réclamer du fric, au nom d'un préjudice réel.
Et cette France belle et immense, celle du cœur et des droits de l'homme, de venir proposer, alors qu'on ne lui a rien demandé, 450 k€... On croit rêver...
Je laisse le mot de la fin à Mirabelle. Dont je partage la colère. " je poserai alors une question très stupide : et les chômeurs longue durée ? et les handicapés ??? ils ont droit à quoi, eux ??? pour être empêchés de bosser et vivre convenablement, on leur octroie des sommes ridiculement misérables qui ne leur permettent même pas de faire face aux frais de la vie courante ... C'est comme les retraites cette histoire ... qui va se serrer la ceinture ??? les petits revenus ! "
J'y ajoute un autre sentiment. L'accablement, de voir que je vis dans un pays qui marche sur la tête...
samedi 17 juillet 2010
Et Jeanne Moreau est Liliane Bettencourt...
Cette affaire Bettencourt est un film. Pour les dates principales de ce feuilleton de l'été avec que des coupables, voir le très bon article de Jegoun.
Et donc puisque c'est un film, autant en faire un vrai pensent certains esprits intelligents ! Et alors que la fin du scénario est loin d'être écrit, le Parisien annonce que Michel Hazanavicius projette de mettre cette saga de l'été sur Grand Ecran. Avec notamment, dans le rôle de Liliane Bettencourt, une Jeanne Moreau qui serait formidable (toujours aussi belle Jeanne...).
Un film à 30 millions d'euros quand même !
Michel Hazanavicius est un mec formidable. Je ne plaisante pas quand je dis ça, mais quand on vient de l'univers de Nuls, on est formidable. C'est quand même pleins de sketchs des Nuls et dernièrement les OSS 117. Et c'est le frère de Serge Hazanavicius, qui a notamment officié dans l'immense Delphine 1 - Yvan 0...
Bon Bettencourt, c'est un peu différent, mais on rigole bien quand même...
Par contre qui va jouer le rôle d'Eric Woerth ? L'article ne le dit pas...
Et donc puisque c'est un film, autant en faire un vrai pensent certains esprits intelligents ! Et alors que la fin du scénario est loin d'être écrit, le Parisien annonce que Michel Hazanavicius projette de mettre cette saga de l'été sur Grand Ecran. Avec notamment, dans le rôle de Liliane Bettencourt, une Jeanne Moreau qui serait formidable (toujours aussi belle Jeanne...).
Un film à 30 millions d'euros quand même !
Michel Hazanavicius est un mec formidable. Je ne plaisante pas quand je dis ça, mais quand on vient de l'univers de Nuls, on est formidable. C'est quand même pleins de sketchs des Nuls et dernièrement les OSS 117. Et c'est le frère de Serge Hazanavicius, qui a notamment officié dans l'immense Delphine 1 - Yvan 0...
Bon Bettencourt, c'est un peu différent, mais on rigole bien quand même...
Par contre qui va jouer le rôle d'Eric Woerth ? L'article ne le dit pas...
vendredi 16 juillet 2010
La brillante FFF ouvre une enquête sur la grève des joueurs !
Pétard, 25 jours après la pitoyable grève de cette pitoyable équipe de France, la remarquable Fédération Française de Football ouvre une enquête ! Et on va voir ce qu'on va voir !
Que du beau monde pour diligenter cette enquête, demandée par l'inestimable futur ex président de la FFF, le grand Jean-Pierre Escalettes. 3 membres "indépendants". Pas forcément compétents, mais indépendant, c'est le mot à la mode...
Le président de la FFF a choisi Laurent Davenas, avocat général près la Cour de Cassation. Sans doute s'y connait il en football, ou en petit crétin imbu de sa personne. Frédéric Thiriez a choisi Jacques Riolacci. C'est l'ancien président de cette Commission de discipline de la LFP, forte avec les faibles et minable avec les puissant (Aulas en sait quelque chose !). Donc on peut craindre le pire.
Et Fernand Duchaussoy a désigné Patrick Braouezec. J'apprends que ce député communiste est aussi Président de la "fondation du football". On ne sait pas ce que c'est, mais ça offre une place à cet homme qui est sans doute pleins de compétences (mais vraiment pas de ma tendance politique... vive les fromages...)
Je ne sais pas pourquoi, mais je souhaite beaucoup de courage à Laurent Blanc... Et je me dis que le football français n'est pas prêt de se réformer, avec de telles huiles à sa tête...
Que du beau monde pour diligenter cette enquête, demandée par l'inestimable futur ex président de la FFF, le grand Jean-Pierre Escalettes. 3 membres "indépendants". Pas forcément compétents, mais indépendant, c'est le mot à la mode...
Le président de la FFF a choisi Laurent Davenas, avocat général près la Cour de Cassation. Sans doute s'y connait il en football, ou en petit crétin imbu de sa personne. Frédéric Thiriez a choisi Jacques Riolacci. C'est l'ancien président de cette Commission de discipline de la LFP, forte avec les faibles et minable avec les puissant (Aulas en sait quelque chose !). Donc on peut craindre le pire.
Et Fernand Duchaussoy a désigné Patrick Braouezec. J'apprends que ce député communiste est aussi Président de la "fondation du football". On ne sait pas ce que c'est, mais ça offre une place à cet homme qui est sans doute pleins de compétences (mais vraiment pas de ma tendance politique... vive les fromages...)
Je ne sais pas pourquoi, mais je souhaite beaucoup de courage à Laurent Blanc... Et je me dis que le football français n'est pas prêt de se réformer, avec de telles huiles à sa tête...
Que ferais je si je n'avais plus de blogs ?
Yann me pose la question, de savoir ce que je ferai si je n'avais plus de blog, à lire ou dans lesquels écrire...
A vrai dire, je ne me suis jamais posé la question. J'ai l'impression d'avoir une vie pleine. Je rentre à l'instant de courir 30 minutes (avec la sueur qui coule sur le clavier du Dell, c'est con), et je me prépare à aller piqueniquer au bord du Gardon avec la belle famille. Le soir, je regarde des dessins animés ou je lis des livres, et je bois du vin.
Et la semaine prochaine, j'aurais des échéances importantes et au boulot, et à ma mairie. Donc quelque part si je ne blogue plus, je ferais un peu plus de ce que je fais déjà. Et moins du blog et du net.
S'il reste quand même le net, je ferai ce que je faisais dans les années 2000. Je retournerai sur les forums et les newsgroups Saint Seiya par exemple. Espérant les mêmes rencontres qu'à l'époque, même les plus douloureuses...
Et en fait quelque part s'il n'y avait plus les blogs, ma vie serait sans doute différente c'est évident. Mais je ferai autre chose. Sans grands états d'âme, le blog doit rester un plaisir. Et un plaisir, ça ne doit pas être vital, sinon ce n'est plus un plaisir.
Je pose transmets la question à l'Hérétique, à Mathieu et ses copains, à nArf, à Disparitus et à Dada.
jeudi 15 juillet 2010
Bloguer dans son jardin...
Il fait beau. Des petits cousins et neveux à Falconette jouent dans la piscine. Et la chaleur commence à tomber, c'est la fin de la journée...Des moments où on n'a plus envie de parler de politique. D'oublier Eric Woerth et Nicolas Sarkozy... Laisser à d'autres, pas forcément de mon avis, le soin de commenter et disserter sur les péripéties au sommet du pouvoir.
Non, là une bière trappiste m'attends. Ou un peu de rosé. Ou les deux...
Ce soir, j'ai envie de profiter de l'été...
Non, là une bière trappiste m'attends. Ou un peu de rosé. Ou les deux...
Ce soir, j'ai envie de profiter de l'été...
Nicolas Anelka, c'est qui ?
Question que pose Anelka dans une interview où "il règle ses comptes" (soupir) : "Lizarazu, c'est qui ?".
Je vais lui donner ma réponse. Lizarazu, c'est un gars qui avec pas mal d'autres, m'a rendu profondément heureux. M'a donné envie de mettre le maillot de l'Equipe de France sur mes épaules, m'a fait rêver. Lizarazu, c'est juste un mec immense.
Et toi, Nicolas Anelka, tu es qui ? "Fier d'avoir joué avec toute cette Equipe de France" minable et nauséabonde, qui a fait honte et a rendu triste la France ? Et après ça, il va oser nous demander "qui est Lizarazu" ?
Et Nicolas Anelka qui continue à donner la leçon. "Que Lizarazu arrête de nous parler de respect". Non mais attendez, ce n'est quand même pas Nicolas Anelka qui va venir nous donner des leçons de respect quand même ?
On croit rêver des fois. Mais bon, il parait que c'est le propre de certaines personnes, pas les plus malines, de rester enfermé dans ses propres certitudes, ses propres erreurs.
Nicolas Anelka se pense irréprochable ? Et bien qu'il reste dans sa bulle. Et qu'il ne porte plus jamais un maillot de l'Equipe de France qu'il n'aurait jamais du avoir sur ses épaules. J'aurais été sélectionneur, il n'aurait plus jamais joué en Equipe de France...
Et bon courage Laurent Blanc, pour nous refaire aimer cette équipe de France. Sans ces minables sans scrupule ni honneur. Et avec des joueurs que l'on a vraiment envie d'aimer...
(Question subsidiaire : Anelka dit que "tous les joueurs étaient solidaires de la grève"... Mais il était où Anelka pendant la grève ? Il était dans l'avion. Et puis il faut le croire, lui ? Il nous a pris pour des cons pendant toute la Coupe du Monde, et aujourd'hui il faudrait écouter sa parole... Minable...)
Je vais lui donner ma réponse. Lizarazu, c'est un gars qui avec pas mal d'autres, m'a rendu profondément heureux. M'a donné envie de mettre le maillot de l'Equipe de France sur mes épaules, m'a fait rêver. Lizarazu, c'est juste un mec immense.
Et toi, Nicolas Anelka, tu es qui ? "Fier d'avoir joué avec toute cette Equipe de France" minable et nauséabonde, qui a fait honte et a rendu triste la France ? Et après ça, il va oser nous demander "qui est Lizarazu" ?
Et Nicolas Anelka qui continue à donner la leçon. "Que Lizarazu arrête de nous parler de respect". Non mais attendez, ce n'est quand même pas Nicolas Anelka qui va venir nous donner des leçons de respect quand même ?
On croit rêver des fois. Mais bon, il parait que c'est le propre de certaines personnes, pas les plus malines, de rester enfermé dans ses propres certitudes, ses propres erreurs.
Nicolas Anelka se pense irréprochable ? Et bien qu'il reste dans sa bulle. Et qu'il ne porte plus jamais un maillot de l'Equipe de France qu'il n'aurait jamais du avoir sur ses épaules. J'aurais été sélectionneur, il n'aurait plus jamais joué en Equipe de France...
Et bon courage Laurent Blanc, pour nous refaire aimer cette équipe de France. Sans ces minables sans scrupule ni honneur. Et avec des joueurs que l'on a vraiment envie d'aimer...
(Question subsidiaire : Anelka dit que "tous les joueurs étaient solidaires de la grève"... Mais il était où Anelka pendant la grève ? Il était dans l'avion. Et puis il faut le croire, lui ? Il nous a pris pour des cons pendant toute la Coupe du Monde, et aujourd'hui il faudrait écouter sa parole... Minable...)
Ca me blesse (Quand la diva s'en va)
Parfois je suis sollicité par mail à propos de mon blog. Généralement, je ne donne pas suite, je n'ai pas envie d'être un blog sandwich.
Mais parfois, ça me touche. Et sur ce coup là, j'ai adoré !!!
Un groupe que je ne connaissais pas, "Quand la Diva s'en va". Un groupe de Montpellier (personne n'est parfait ^___^). Au début, je croyais que c'était un groupe parlant de Gallas quittant l'équipe de France. Mais non. Et ce groupe est très bon !
La chanson mise en avant s'appelle "Ca me blesse". J'adore le clip, j'aime beaucoup la chanson. Donc je fais suivre, avec plaisir. Et je le mettrai sur mon Facebook, et sur mon Twitter.
Mais parfois, ça me touche. Et sur ce coup là, j'ai adoré !!!
Un groupe que je ne connaissais pas, "Quand la Diva s'en va". Un groupe de Montpellier (personne n'est parfait ^___^). Au début, je croyais que c'était un groupe parlant de Gallas quittant l'équipe de France. Mais non. Et ce groupe est très bon !
La chanson mise en avant s'appelle "Ca me blesse". J'adore le clip, j'aime beaucoup la chanson. Donc je fais suivre, avec plaisir. Et je le mettrai sur mon Facebook, et sur mon Twitter.
Vive les chouettes chansons françaises pas prises de tête !
mercredi 14 juillet 2010
Le combat politique par l'absence...
Je trouve le pouvoir actuel indigent, faible, irrespectable, irrespectueux. Et je n'approuve pas beaucoup de pans de sa politique. Pour autant, je trouve l'opposition de gauche (puisque le Centre et les autres droites sont inaudibles) globalement affligeante.
Je me souviens de cette intervention de Nicolas Sarkozy devant le congrès, à Versaille. Ça avait couté 8 k€ la minute ce caprice présidentiel de Juin 2009, mais le plus important n'était pas forcément ça pour moi. C'était le mode d'expression d'une grande partie de l'opposition de gauche : le boycott. La chaise vide. Du de Gaulle de fin de semaine...
Donc pour exprimer son désaccord, l'opposition avait trouvé une arme fabuleuse. Le boycott, l'absence... Ne pas aller voter plutôt que de voter contre.
Dans les Chevaliers du Zodiaque, il parait qu'une attaque ne marche jamais deux fois sur un Chevalier. Alors que dire de ce comique de répétition ? Avant hier, ils refusaient de voter la nomination du nouveau président de France Télévision. Hier, ils refusent de voter la loi sur la burqa.
Un parlementaire qui refuse de voter, il sert à quoi ? S'ils ne sont pas d'accord, qu'ils votent contre. S'ils expriment des réserves, qu'ils s'abstiennent. Là non. Ils "ne votent pas". Ils vont au bar, à la piscine, au cinéma, mais pas dans l'hémicycle pendant le vote. Faisons un caprice.
Je comprends leur opposition à ces lois sur le fond. Et c'est sain de ne pas toujours être d'accord (même s'il y a un systématisme parfois poussant au soupir...). Mais sur le fond, je trouve déplorable leur refus d'être présent au moment du vote.
Enfin, c'est leur problème après tout...
Je me souviens de cette intervention de Nicolas Sarkozy devant le congrès, à Versaille. Ça avait couté 8 k€ la minute ce caprice présidentiel de Juin 2009, mais le plus important n'était pas forcément ça pour moi. C'était le mode d'expression d'une grande partie de l'opposition de gauche : le boycott. La chaise vide. Du de Gaulle de fin de semaine...
Donc pour exprimer son désaccord, l'opposition avait trouvé une arme fabuleuse. Le boycott, l'absence... Ne pas aller voter plutôt que de voter contre.
Dans les Chevaliers du Zodiaque, il parait qu'une attaque ne marche jamais deux fois sur un Chevalier. Alors que dire de ce comique de répétition ? Avant hier, ils refusaient de voter la nomination du nouveau président de France Télévision. Hier, ils refusent de voter la loi sur la burqa.
Un parlementaire qui refuse de voter, il sert à quoi ? S'ils ne sont pas d'accord, qu'ils votent contre. S'ils expriment des réserves, qu'ils s'abstiennent. Là non. Ils "ne votent pas". Ils vont au bar, à la piscine, au cinéma, mais pas dans l'hémicycle pendant le vote. Faisons un caprice.
Je comprends leur opposition à ces lois sur le fond. Et c'est sain de ne pas toujours être d'accord (même s'il y a un systématisme parfois poussant au soupir...). Mais sur le fond, je trouve déplorable leur refus d'être présent au moment du vote.
Enfin, c'est leur problème après tout...
mardi 13 juillet 2010
Au nord, y avait des nichons (gros)
Le genre d'information que j'adore, et qui n'appelle que peu de commentaires : Les femmes du Nord de la France aurait une plus forte poitrine. Étude fort documentée, à lire sur 20minutes.fr.
Je me dis que les gens de cette étude, ils ont du en regarder des nénés... (y a des études agréables à faire).
Dans le même ordre de grande idée, on apprend que les habitants d'Ile de France préfère des sous vêtements couleur transparent, que les hommes alsaciens préfèrent les slips au caleçon (ça tient mieux les souilles), et que les aquitains aiment le vert.
Y a de ces études qui laissent pensifs...
Je me dis que les gens de cette étude, ils ont du en regarder des nénés... (y a des études agréables à faire).
Dans le même ordre de grande idée, on apprend que les habitants d'Ile de France préfère des sous vêtements couleur transparent, que les hommes alsaciens préfèrent les slips au caleçon (ça tient mieux les souilles), et que les aquitains aiment le vert.
Y a de ces études qui laissent pensifs...
Réactions à l'interview de Sarkozy... Caricature, toujours...
Je n'ai pas regardé Sarkozy hier soir. Par contre, je lis toujours avec sourire les réactions d'après interview. Toujours drôlement caricaturale la politique, mais les militants adorent, ils auraient tort de s'arrêter.
A gauche, c'est la déception et "ils ne sont pas convaincus". Quelque chose me dit qu'il était difficile que Sarkozy réussisse à convaincre des gens qui de toutes façons le trouveront nuls, mais bon. Remarquez, c'est normal : en ce qui me concerne, avant que Xavier Bertrand ou Ségolène Royal parlent, je sais que je ne serai pas d'accord avec eux... Donc à gauche, ils n'ont pas aimé, ils le disent.
François Hollande : "Nicolas Sarkozy a tenté de créer l'illusion du mouvement. Il a disserté, philosophé, pour éviter de répondre aux questions essentielles où il était attendu". Benoit Hamon, (le petit frère siamois de Frédéric Lefevbre) "Nicolas Sarkozy présente un discours démissionnaire par rapport aux problèmes des Français". Marie-Goerges Buffet, rien est à garder à l'intervention présidentielle. "C’est une vision ultra réactionnaire et destructrice du changement." Fermez le ban.
A droite, forcément, ils étaient sous le charme avant que ne parle le Roy. Donc on a la même caricature qu'à gauche. Les militants fanatiques étant les mêmes dans les deux camps... Frédéric Lefebvre salue "un langage de vérité, proche des préoccupations des Français" et "la réussite d'un exercice pédagogique". Xavier Bertrand, qui n'a peur de rien surtout pas des insultes : "ses priorités sont les mêmes que les français". L'UMP officielle est comblée : Vive le Roy.
Réactions faciles à prévoir, mais je triche. J'ai pris des réactions provenant des dernières interview de Nicolas Sarkozy. 25 Janvier 2010, et 7 Janvier 2008. Et de toutes manières, nous avons les mêmes commentaires, les mêmes réactions. Une gauche caricaturale feignant la déception et ne trouvant rien de bon. Une droite toute aussi caricaturale se pâmant d'un certains bonheur, à jusqu'à s'en mettre pleins les chaussures...
Je crois que c'est ça que je ne supporte plus dans ce militantisme fanatique. Et c'est pour ça que depuis 2000, j'ai rayé toute carte politique de mon portefeuille. Cette auto caricature qui plait aux sympathisants. Et qui rythme la vie politique...
Je ne sais pas si c'est très positif... En tous cas je confesse que cela ne m'amuse plus...
lundi 12 juillet 2010
12 Juillet & tubes de l'été
Tagué par le blog engagée pour parler de mes tubes de l'été préféré... Je me souviens, quand j'étais petit, que les chaines de télévision hertizienne passaient en boucle leur tube de l'été. La Lambada était la première. Et puis on en a eu pléthores derrières...
Si je devais n'en citer qu'un, de tubes de l'été, je parlerai de l'été de mes 20 ans. Juillet 1998'. Il y a exactement 12 ans aujourd'hui... A l'époque, l'équipe de France gagnait la Coupe du Monde. La France dansait sur I WilL Survive...
Je vous propose assez courte, chantée par l'Alien. Si vous ne connaissez pas, je vous invite à regarder jusqu'à la fin (ça m'amuse toujours...).
Je ne parlerai pas cette année du 12 Juillet 2002, 4 ans plus tard. La France était ridicule cette coupe du monde là (moins que cette année). Et le souvenir sentimental de cette journée là me laisse toujours une douleur amère dans la gorge... N'y pensons pas.
Le reste ? Je garde une tendresse pour la Macarana. Là encore, souvenir sentimental. Fête du village. Des gens qui dansent sur cette chanson à la con. Et moi qui regarde une fille, une copine, et... Moi qui ne fait rien. C'est toute ma vie sentimentale là : ne jamais frapper au but. Et le regretter longtemps après... Pourtant, il n'y avait plus le goal...
Les tubes de l'été sont intimement liés à des souvenirs sentimentaux aussi. L'été est beau. C'est pour ça que les tubes de l'été 1994' me laissent également un tendre souvenir.
Sinon, je citerai à la file les quelques chansons qui me laissent des chouettes souvenirs de boom et de fête votive. Le "mets de l'huile" de Reg'lyss, excellent. Children, de Robert Miles, me rappelle mon été de MathSup. La reprise Killing me Softly des Fugees cet été là m'est également un agréable souvenir.
Après, de cette époque 1998', je citerais à la file le Samba de Bellini, le I'm blue d'Eiffel 65. Après, l'immense Dragostea Din Tea des roumains d'Ozone mérite également citation.
En tous cas c'est bien l'été. Et je transmets le bébé à l'ami des vaches, à Mirabelle si elle veut parler d'autre chose que de politique, à Poireau s'il n'a pas encore répondu, à Alaiya et à Galac enfin parce que je les aime beaucoup.
Si je devais n'en citer qu'un, de tubes de l'été, je parlerai de l'été de mes 20 ans. Juillet 1998'. Il y a exactement 12 ans aujourd'hui... A l'époque, l'équipe de France gagnait la Coupe du Monde. La France dansait sur I WilL Survive...
Je vous propose assez courte, chantée par l'Alien. Si vous ne connaissez pas, je vous invite à regarder jusqu'à la fin (ça m'amuse toujours...).
Le reste ? Je garde une tendresse pour la Macarana. Là encore, souvenir sentimental. Fête du village. Des gens qui dansent sur cette chanson à la con. Et moi qui regarde une fille, une copine, et... Moi qui ne fait rien. C'est toute ma vie sentimentale là : ne jamais frapper au but. Et le regretter longtemps après... Pourtant, il n'y avait plus le goal...
Les tubes de l'été sont intimement liés à des souvenirs sentimentaux aussi. L'été est beau. C'est pour ça que les tubes de l'été 1994' me laissent également un tendre souvenir.
Sinon, je citerai à la file les quelques chansons qui me laissent des chouettes souvenirs de boom et de fête votive. Le "mets de l'huile" de Reg'lyss, excellent. Children, de Robert Miles, me rappelle mon été de MathSup. La reprise Killing me Softly des Fugees cet été là m'est également un agréable souvenir.
Après, de cette époque 1998', je citerais à la file le Samba de Bellini, le I'm blue d'Eiffel 65. Après, l'immense Dragostea Din Tea des roumains d'Ozone mérite également citation.
En tous cas c'est bien l'été. Et je transmets le bébé à l'ami des vaches, à Mirabelle si elle veut parler d'autre chose que de politique, à Poireau s'il n'a pas encore répondu, à Alaiya et à Galac enfin parce que je les aime beaucoup.
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