Je me posais la question tout à l'heure, de ce que je faisais quand j'avais 23 ans. Non, je ne briguais pas une présidence prestigieuse...
Je sortais de mon école d'ingénieur, à Lyon. L'ECAM...
Politiquement, j'avais encore une certaine ambition, le 21 Avril n'était pas passé par là. Nous étions en 2001. Je venais de me faire élire à Montfaucon. Jeune élu gaulliste, qui croyait en ses idées. Si je croyais aussi en moi ? Pas plus qu'aujourd'hui... Je ne me suis jamais apprécié, pas plus à 23 ans qu'à 14 ans ou que demain...
A 23 ans, je commençais ma carrière d'ingénieur. C'était pathétique, vraiment... Une première expérience de 6 mois. Un échec sur le coup. Mais mon histoire m'a montré que j'aurais appris pas mal.
Puis mon vrai départ. A Marseille. Là bas, je rencontre celle qui aujourd'hui encore est une de mes plus chères amies...
Et ma vie est finalement loin des ors de la République. Aurais je été capable d'assurer, d'assumer, des fonctions prestigieuses ? Mes résultats professionnels me montrent que non. Mes résultats personnels valident cette réponse négatives. Relationellement, cette époque est pour moi un désert.
A 23 ans, je découvre réellement l'animation japonaise, et le net. L'un va avec l'autre. Je redécouvre Saint Seiya, les Chevaliers du Zodiaque. C'est là que je rencontre celle de Marseille, cette amie à qui je dois tant... C'est aussi là que je rencontre celle qui aura durablement marqué ma vie. Celle à cause, ou grâce, à qui ce blog existe.
Cette rencontre, la manière dont je l'ai appréhendé, mené, jusqu'à sa perte, valide vraiment le fait que j'étais vraiment pas brillant à 23 ans... Le suis je plus aujourd'hui ? La question ne se pose pas... et quelque part ça m'arrange.
A 23 ans, j'avais des espoirs, quelques illusions. Etait je excessif dans mes actes, dans mes idées ? Même pas. J'avais peur. De moi. D'être malheureux, d'échouer. Et quand on a peur d'échouer, on ne tente pas. On n'ose pas. Ni dans le boulot, ni dans les relations humaines, amoureuses. Donc politiquement, n'y comptons pas...
Non, à 23 ans, je n'aurais pas postulé à la Présidence ni de l'EPAD, ni de rien du tout. Déjà qu'à 20 ans, je n'ai pas été foutu de postuler à la Présidence du bureau d'élèves de mon école, qu'aurais je fait de plus 3 ans plus tard... A 23 ans, j'étais incompétent dans des domaines. Suis je différent aujourd'hui, 9 ans plus tard ?
Un vidéo qui marque mon époque. Kenshin le Vagabond, un animé qui compte pour moi. Un manga remarquable. Et une OAV magique... Cette musique, In Memories, m'évoque pleins de choses. Elle conclura ce billet.
Je n'étais pas brillant à 23 ans... Mais j'aimerais revenir à cette époque là, des fois... Qui n'a pas envie d'un retour en arrière. Pour effacer certaines erreurs, et se trouver plus beau en se regardant dans le miroir... ?
PS : Elmone m'a fait remarqué que je n'ai pas lancé de tag. C'est idiot... Je me rattrape. Et je commence à lancer le mistigri. Pour commencer, à Mathieu et ses copains, Polluxe, Néo-Verzatz, Hashtable et Eric. Et que file la chaine, qu'elle file...
Je sortais de mon école d'ingénieur, à Lyon. L'ECAM...
Politiquement, j'avais encore une certaine ambition, le 21 Avril n'était pas passé par là. Nous étions en 2001. Je venais de me faire élire à Montfaucon. Jeune élu gaulliste, qui croyait en ses idées. Si je croyais aussi en moi ? Pas plus qu'aujourd'hui... Je ne me suis jamais apprécié, pas plus à 23 ans qu'à 14 ans ou que demain...
A 23 ans, je commençais ma carrière d'ingénieur. C'était pathétique, vraiment... Une première expérience de 6 mois. Un échec sur le coup. Mais mon histoire m'a montré que j'aurais appris pas mal.
Puis mon vrai départ. A Marseille. Là bas, je rencontre celle qui aujourd'hui encore est une de mes plus chères amies...
Et ma vie est finalement loin des ors de la République. Aurais je été capable d'assurer, d'assumer, des fonctions prestigieuses ? Mes résultats professionnels me montrent que non. Mes résultats personnels valident cette réponse négatives. Relationellement, cette époque est pour moi un désert.
A 23 ans, je découvre réellement l'animation japonaise, et le net. L'un va avec l'autre. Je redécouvre Saint Seiya, les Chevaliers du Zodiaque. C'est là que je rencontre celle de Marseille, cette amie à qui je dois tant... C'est aussi là que je rencontre celle qui aura durablement marqué ma vie. Celle à cause, ou grâce, à qui ce blog existe.
Cette rencontre, la manière dont je l'ai appréhendé, mené, jusqu'à sa perte, valide vraiment le fait que j'étais vraiment pas brillant à 23 ans... Le suis je plus aujourd'hui ? La question ne se pose pas... et quelque part ça m'arrange.
A 23 ans, j'avais des espoirs, quelques illusions. Etait je excessif dans mes actes, dans mes idées ? Même pas. J'avais peur. De moi. D'être malheureux, d'échouer. Et quand on a peur d'échouer, on ne tente pas. On n'ose pas. Ni dans le boulot, ni dans les relations humaines, amoureuses. Donc politiquement, n'y comptons pas...
Non, à 23 ans, je n'aurais pas postulé à la Présidence ni de l'EPAD, ni de rien du tout. Déjà qu'à 20 ans, je n'ai pas été foutu de postuler à la Présidence du bureau d'élèves de mon école, qu'aurais je fait de plus 3 ans plus tard... A 23 ans, j'étais incompétent dans des domaines. Suis je différent aujourd'hui, 9 ans plus tard ?
Un vidéo qui marque mon époque. Kenshin le Vagabond, un animé qui compte pour moi. Un manga remarquable. Et une OAV magique... Cette musique, In Memories, m'évoque pleins de choses. Elle conclura ce billet.
Je n'étais pas brillant à 23 ans... Mais j'aimerais revenir à cette époque là, des fois... Qui n'a pas envie d'un retour en arrière. Pour effacer certaines erreurs, et se trouver plus beau en se regardant dans le miroir... ?
PS : Elmone m'a fait remarqué que je n'ai pas lancé de tag. C'est idiot... Je me rattrape. Et je commence à lancer le mistigri. Pour commencer, à Mathieu et ses copains, Polluxe, Néo-Verzatz, Hashtable et Eric. Et que file la chaine, qu'elle file...