Mes vacances printanières, mes matins à monter les meubles de futur bébé (et l’après-midi à dormir au bord de la piscine) font que je ne suis que très partiellement les actualités de mes amis blogueurs. Pour autant, difficile de passer à côté des nombreux billets sur le Parti Socialiste, et les présidentielles qui arrivent, sans celui qui devait être le grand champion des champions…
En théorie, ces discussions ne me concernent pas. Il est peu probable que je vote à gauche aux présidentielles. Il n’empêche : on ne peut rester indifférent, quand on s’intéresse à la politique, et quand on est républicain, à ce qui se passe dans le principal parti de gauche de France. Surtout quand ce dernier vient de se prendre un tel évènement en pleine figure.
Le Général disait que derrière lui, le risque de vide était bien moindre que celui du trop-plein. Derrière DSK, c’est pareil… Alors ses soutiens se posent la question : qui soutenir maintenant ? Mon ami Romain de Lyon brosse un portrait de tous les prétendants à la candidature socialiste, et en bon gars bien sympa, il trouve des qualités à chacune et chacun…
Nicolas écrit sur Hollande, ce candidat qui se veut normal. Elmone fait des éloges de Martine Aubry. Montebourg a ses soutiens. Ségolène Royal aussi. D’autres soutiennent Manuel Valls. Oui, ça fera du monde sur la liste de départ. Ou alors ça ne fera personne, parce qu’il y a un scénario que j’imagine assez bien…
A situation exceptionnel, mesures exceptionnelles… J’imagine bien Martine Aubry s’arrogeant les pleins pouvoirs, et signaler simplement la fin de ces primaires, qui risquent d’être plus violentes que franchement apaisées… Pour y aller elle ? Si elle en a vraiment envie, oui, je l’imagine bien. Je ne reviendrai pas sur Reims et la manière toujours contestable et contestée dont elle a pris le pouvoir au PS, mais (c’est de la fiction) je l’imagine assez bien dire « voilà, on a eu un séisme, c’est une situation exceptionnelle. Alors je prends qu’on arrête de s’amuser : le cirque c’est fini. Et la candidate du PS, ben ça sera moi ! ». Ajoutant que toute personne qui gueulerait derrière serait considéré comme « mauvais camarade » ne voulant pas la victoire de la gauche… Donc fermez là, et tous derrière…
Et je vais encore plus loin (soyons fou). Imaginons que tel son papa, Martine Aubry n’ait aucune envie d’être candidate. Je l’imagine bien imposer un candidat. Peut être François Hollande (quoique ça m’étonnerait), ou un Laurent Fabius tiens ! « Situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle : je décrète que un tel sera le candidat des socialistes ». Et zou on ferme la boutique.
Je donne juste comme ça une supposition. C’est de la fiction. Mais pourquoi pas : je parierai bien une pièce sur un renoncement… Les primaires au parti socialiste auront-elles lieu ? La suite au prochain épisode…
En théorie, ces discussions ne me concernent pas. Il est peu probable que je vote à gauche aux présidentielles. Il n’empêche : on ne peut rester indifférent, quand on s’intéresse à la politique, et quand on est républicain, à ce qui se passe dans le principal parti de gauche de France. Surtout quand ce dernier vient de se prendre un tel évènement en pleine figure.
Le Général disait que derrière lui, le risque de vide était bien moindre que celui du trop-plein. Derrière DSK, c’est pareil… Alors ses soutiens se posent la question : qui soutenir maintenant ? Mon ami Romain de Lyon brosse un portrait de tous les prétendants à la candidature socialiste, et en bon gars bien sympa, il trouve des qualités à chacune et chacun…
Nicolas écrit sur Hollande, ce candidat qui se veut normal. Elmone fait des éloges de Martine Aubry. Montebourg a ses soutiens. Ségolène Royal aussi. D’autres soutiennent Manuel Valls. Oui, ça fera du monde sur la liste de départ. Ou alors ça ne fera personne, parce qu’il y a un scénario que j’imagine assez bien…
A situation exceptionnel, mesures exceptionnelles… J’imagine bien Martine Aubry s’arrogeant les pleins pouvoirs, et signaler simplement la fin de ces primaires, qui risquent d’être plus violentes que franchement apaisées… Pour y aller elle ? Si elle en a vraiment envie, oui, je l’imagine bien. Je ne reviendrai pas sur Reims et la manière toujours contestable et contestée dont elle a pris le pouvoir au PS, mais (c’est de la fiction) je l’imagine assez bien dire « voilà, on a eu un séisme, c’est une situation exceptionnelle. Alors je prends qu’on arrête de s’amuser : le cirque c’est fini. Et la candidate du PS, ben ça sera moi ! ». Ajoutant que toute personne qui gueulerait derrière serait considéré comme « mauvais camarade » ne voulant pas la victoire de la gauche… Donc fermez là, et tous derrière…
Et je vais encore plus loin (soyons fou). Imaginons que tel son papa, Martine Aubry n’ait aucune envie d’être candidate. Je l’imagine bien imposer un candidat. Peut être François Hollande (quoique ça m’étonnerait), ou un Laurent Fabius tiens ! « Situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle : je décrète que un tel sera le candidat des socialistes ». Et zou on ferme la boutique.
Je donne juste comme ça une supposition. C’est de la fiction. Mais pourquoi pas : je parierai bien une pièce sur un renoncement… Les primaires au parti socialiste auront-elles lieu ? La suite au prochain épisode…