Je garderai le souvenir du Cercle des poètes disparus, où le suicide à une place forte dans ce film qui m'a fait tomber bien des larmes.
Un point amusant. : j'aurais appris l'information alors que je regardais des photos du cirque qui s'est installé hier à Merlette... Comme un symbole.
Ce monde est triste, décidément...
La mort d'un homme est toujours triste. Encore que lorsque Bref ne ou Ceaucescu ont passé l'arme à gauche je n'ai guère pleuré.
RépondreSupprimerJe garde de bons souvenirs du bonhomme, notamment de quelques unes de ses performances d'acteur. Quant au film Le cercle des poètes disparus, je reste mitigé. Ce qui me dérange, c'est l'apologie de l'individualisme. Non pas que cela soit un mal en soi, mais il me semble que l'époque en crève suffisamment pour qu'il ne soit pas besoin d'en ajouter une louche.
"La mort d'un homme est toujours triste", oui c'est aussi ce que je pense.
SupprimerYep, un acteur que je trouvais sympathique aussi.
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